
Les images désastreuses du retrait précipité des forces armées américaines d’Afghanistan décidé par le président Biden sont encore dans toutes les mémoires.
Et voici qu’avec le tandem Biden – Trump l’armée d’Israël, Tsahal, doit se replier de Gaza et libérer près de deux mille terroristes dont beaucoup sont des assassins responsables des meurtres de centaines de juifs dans des attentats suicides, des fusillades, des attentats à la voiture bélier et des attaques au couteau.
La liste des terroristes qui seront libérés est encore pire que ce qui était craint.
Sur les plus hautes marches de la potence de la mort :
Les terroristes de la cellule de Silwan, 35 personnes assassinées ; Mohamed Abou Warda, 48 peines de prison à perpétuité pour sa responsabilité dans des attentats kamikazes qui ont entraîné dans la mort de 48 Israéliens ; Majdi Zaatarii : 23 personnes assassinées ; Thalev Mardawi : 21 personnes assassinées.
Ces monstres sont responsables de milliers d’attentats.
Tsahal considère que 82 % d’entre eux « retourneront sur le terrain » et aujourd’hui le Hamas salue et revendique les nouveaux attentats contre des israéliens.
Oui, le même Hamas avec lequel le gouvernement passe des accords et auquel il distribue de l’aide alimentaire et du carburant en temps de « guerre pour le détruire ».
Pendant ce temps nos soldats dans la Bande de Gaza n’ont que les murs pour exprimer leur opinion sur l’accord de capitulation désastreux avec le Hamas de peur de poursuite alors que les détracteurs de Netanyahou au sein de l’armée qui avaient appelé à la désobéissance n’avaient été ni interrogés ni inquiétés et peuvent encore continuer à nuire Israël, la censure et les poursuites étant réservées aux personnes de droite ou à ceux qui portent la Kippa.
Une image de Gaza court sur les réseaux sociaux qui reflète la pensée de nos soldats sur la situation, « Un accord de défaite ne justifiant pas les 840 cercueils au Mont Herzl ».
Israël Katz, ministre de la Défense d’Israël a sauvé l’honneur en signant l’annulation des ordres de détention administratives contre des juifs de Judée-Samarie qui avaient été emprisonnés pendant la guerre par son prédécesseur Yoav Gallant, sans aucune preuve, sans procès ni procédure régulière.
Parmi les détenus administratifs libérés, Abraham Shapira, un réalisateur arrêté alors qu’il était en train de préparer un documentaire sur les méthodes de persécution des juifs religieux ou de droite en Israël par la section – (anti)-juive du Shin-Beth. Il souhaitait porter à la connaissance des citoyens israéliens, en collaboration avec le journaliste Shimon Riklin, ses graves accusations.
Shapira avait été emprisonné sans procès, sans preuve ou charge seulement sur un simple motif griffonné sur un papier signé par Gallant : « Dangereux » !
La Théorie de la relativité s’applique de la même façon en Israël à la « démocratie » et aux droits des citoyens surtout s’il s’agit de quelqu’un qui porte kippa ou papillotes !
Tsahal et les fous de la génération Oslo comptaient sur Abou Abbas – Mazen pour assurer la sécurité des juifs contre les menaces des organisations islamistes auxquelles les terroristes libérés s’apprêtent à donner main forte : aujourd’hui Mazen vient de reconnaître la légitimité du Bataillon de Jénine qui regroupe des terroristes du Hamas, du Jihad islamiste et d’autres organisations islamistes et les autorise à « résister à l’occupation ».
Et pendant que Tsahal déploie ses forces en Judée-Samarie pour l’opération MUR DE FER, le gouvernement israélien continue à soutenir l’autorité palestinienne et envisagerait de lui accorder des droits sur Gaza.
La génération d’Oslo doit céder sa place à la Génération de la Victoire.
Le Président de l’État d’Israël Haïm Herzog ne se fait d’ailleurs aucune illusion : « Cet accord entraînera des défis et des moments douloureux et atroces que nous devrons affronter ensemble. Je serre dans mes bras de tout mon cœur les familles des personnes enlevées en particulier celles qui savent que leurs proches ne seront pas libérés tout de suite. Nous devons ramener tout le monde, ne pas nous reposer jusqu’à ce que cela advienne. J’espère que cela permettra de nous rassembler et de construire ensemble notre avenir commun en tant qu’une seule nation ».
« Si c’est la grandeur d’Israël de voir revenir de la tombe des survivants c’est aussi une grande victoire spirituelle car elle valorise la vie des êtres faible, là où nos ennemis valorisent la violence et la mort » a-t-pu lire.
Pourtant cette extorsion scandaleuse d’un « accord » catastrophique pour faire revenir quelques morts vivants prend en otage toute la population juive de Jérusalem et de Judée-Samarie où les terroristes libérés pourront y circuler à leur guise.
Nous avons affaire à des monstres et libérer autant de monstres est monstrueux.
Les massacres perpétrés par les terroristes sanguinaires le 7 octobre ont fait 1200 morts. Il y a eu 250 personnes prises en otage et 7500 blessés en 7 heures pendant les 7 heures où le Hamas a eu sur Israël une totale domination :
Cette folie criminelle aurait couté la vie à 4200 israéliens et fait plus de 25 000 blessés en 24 heures à D. ne plaise.
Il s’agit bien d’un rythme génocidaire proche de celui de la Shoah ou de celui du Rwanda.
Sans la bravoure et l’héroïsme de nos soldats le chiffre de 45 000 victimes en quinze mois que l’on voudrait reprocher à Israël aurait été atteint en 10 jours seulement par les monstres du Hamas.
Quels piètres génocidaires aurions-nous été.
Le 7 octobre ce sont des Gazaouis qui ont exterminés des juifs de la façon la plus abominable qui soit et nous comprenons parfaitement les sentiments de grande frustration, les colères et le chagrin que beaucoup ressentent à la suite de ce mauvais accord.
Malgré tout, nous ne devons pas donner une autre récompense à l’ennemi en approfondissant la division entre nous au sujet de « l’accord » sur les personnes enlevées.
Beaucoup de partis politiques s’y sont fermement opposés et ont fait tout ce qui était en leur pouvoir pour empêcher cette signature qui met Israël en danger.
Malheureusement, comme l’explique Betsalel Smotrich, ils n’ont pu empêcher cette capitulation momentanée mais ils ont insisté, pour garantir par une décision gouvernementale au sein du cabinet et par d’autres moyens, que la guerre ne se terminerait en aucune façon sans atteindre tous ses objectifs au premier rang duquel figure la destruction complète du Hamas à Gaza.
Ces partis ont exigé et obtenu l’engagement du Premier ministre de changer complètement la méthode de guerre : avec l’aide de D., une prise de contrôle progressive de toute la bande de Gaza, la levée des restrictions qui ont été imposées par l’administration Biden puis le contrôle total de la Bande afin que l’aide humanitaire n’atteigne pas le Hamas comme c’était le cas jusqu’à présent.
C’est le seul moyen, et il n’y en a pas d’autre, pour atteindre pleinement les objectifs de la guerre : la destruction du Hamas et le retour de tous nos otages.
« Ne vous laissez pas impressionner par la joie forcée de nos ennemis. C’est une société de monstres qui sanctifient la mort. Sur les ruines de leurs vies, très bientôt, nous effacerons à nouveau leurs sourires et les remplaceront par des cris de douleur et des gémissements, les gémissements de ceux qui n’ont rien eu et ont tout perdu ».
Ce n’est pas la Bérézina. Ce n’est pas la retraite de Russie. Le Premier ministre Benjamin Netanyahou avait résisté pendant 15 mois à la pression de Biden.
L’arrivée et la détermination de Donald Trump l’ont contraint à courber temporairement l’échine.
Néanmoins, contrairement aux exigences que formulaient nos ennemis depuis quinze mois, le Premier ministre insiste :
« Bookman Old Style »,serif;mso-fareast-font-family: « Bookman Old Style »;mso-bidi-font-family: »Bookman Old Style » »- Nous restons sur l’axe de Philadelphie.
« Bookman Old Style »,serif;mso-fareast-font-family: « Bookman Old Style »;mso-bidi-font-family: »Bookman Old Style » »- Il n’y a pas d’engagement à mettre fin à la guerre.
« Bookman Old Style »,serif;mso-fareast-font-family: « Bookman Old Style »;mso-bidi-font-family: »Bookman Old Style » »- Israël restera dans la Bande de Gaza.
« Bookman Old Style »,serif;mso-fareast-font-family: « Bookman Old Style »;mso-bidi-font-family: »Bookman Old Style » »- Israël pourra reprendre les combats quand il le jugera nécessaire et
« Bookman Old Style »,serif;mso-fareast-font-family: « Bookman Old Style »;mso-bidi-font-family: »Bookman Old Style » »- Il déclenche l’opération « MUR DE FER », action puissante pour éliminer les terroristes et les infrastructures terroristes en Judée-Samarie pour y rétablir la sécurité.
Pierre Lurçat considère aujourd’hui Benyamin Netanyahou comme le digne successeur de Vladimir Ze’ev Jabotinski, fondateur légendaire du Sionisme-révisionniste, c’est-à-dire nationaliste.
Preuve ultime ?
Après avoir assisté aux émeutes à Jérusalem en 1921, deux ans plus tard, Jabotinski publie en 1923 son article au titre devenu célèbre : « LE MUR DE FER ».
Et aujourd’hui l’opération d’élimination des terroristes en Judée-Samarie porte le nom de HOMAT BARZEL… MUR DE FER !
Lisons Vladimir Jabotinski :
« Le conflit entre Israël et les Arabes est de nature nationale et la nation arabe ne renoncera pas à ses droits sur la Terre d’Israël en réponse à de belles paroles de coexistence pacifique ou en échange « d’avantages économiques » apportés par le retour des Juifs sur la terre de leurs ancêtres.
Aussi longtemps que les arabes auront le moindre espoir de se débarrasser de nous ils ne se résigneront pas à céder leur place.
Il faut faire comprendre à nos ennemis que le peuple juif est de retour pour l’éternité sur sa terre historique et ancestrale avec Jérusalem pour capitale éternelle une et indivisible et que ce droit du retour ne souffrira d’aucune entorse.
On ne transige pas sur les droits du peuple juif.
Le sionisme devra s’imposer grâce à une muraille d’acier, un MUR DE FER : une armée juive puissante pour la réalisation de son projet.
Notre détermination absolue et totale reposera sur la force de notre armée et il ne faudra autoriser aucune faille dans notre MUR DE FER.
C’est n’est que lorsque les groupes extrémistes arabes avec leurs slogans – jamais au grand jamais – perdront leur influence et qu’ils céderont la place à des groupes plus modérés que ceux-ci pourront faire entendre leurs voix et proposer des concessions mutuelles…
La seule voie qui nous mènera à un tel accord est la construction d’un MUR DE FER – c’est-à-dire la création d’une force armée juive puissante imperméable aux pressions arabes.
Autrement dit : le seul moyen d’arriver à un accord futur est le renoncement à la tentative d’arriver à un accord aujourd’hui.
Je le répète :
Cela n’arrivera que lorsque les arabes auront perdu tout espoir de se défaire de nous et que toute brèche dans le MUR DE FER aura été définitivement colmatée ».
L’originalité de l’analyse de Jabotinski réside ainsi tant dans le respect qu’il porte à la nation arabe que dans son refus de transiger sur les droits du peuple juif grâce à la capacité de dissuasion de son armée qui annihilera les velléités arabes.
© Docteur Jean-Marc Metzger
Jean-Marc Metzger est Président d’Israël Is Forever-Alsace
Le mot » accord » n a pas sa place au moyen orient , comme le mot » compromis » qui n existe pas dans la langue arabe donc dans la mentalité liée a cette langue .
Il n y aura donc pas d accord avec qui que ce soit , mais , comme avec l egypte et la jordanie des cesser le feu durables .
Israel devra se montrer fort et impitoyable , juste pour maintenir des periodes de non belligerance aussi longues que possible , sans hesiter a prendre possession des espaces utiles a sa securité , ce qui n etonnera pas nos voisins qui ne respectent que la force et la determination .
Il faut que nos dirigeants s ouvrent a la culture arabe pour comprendre nos voisins et cesser enfin de raisonner a l européenne .
Il est mort en 1940 Jabotinsky et il a laissé le champ libre à Ben Gourion qui a accepté un territoire exigu et quasiment indéfendable pour créer l’Etat d’ Israël ! Zeev qui était un vrai génie savait que coexister avec les arabes est une mission impossible et il voulait un mur d’acier pour empêcher ce que nous avons vu le 7/10. Je suis persuadé que Zeev avait raison mais s’il était vivant en 1948. , il n’y aurait pas eu de majorité à l’ ONU pour approuver le plan de partage ! Ben Gourion et Jabotinsky étaient rivaux mais ils étaient complémentaires !
On dit aussi « une main de fer dans un gant de velours », adage qui peut servir à rendre plus efficace le « mur de fer » d’Israël car l’ennemi antisémite (Hamas ou autre) a une arme cachée à côté de ses armes militaires et terroristes, et cette arme cachée, Israël ne peut l’anéantir que par un surcroît d’humanité et d’esprit de vérité, pas par la guerre ; je m’explique : l’arme cachée des antisémites arabes, ce sont les mensonges avec lesquels ils défigurent la vérité du sionisme et de l’identité juive, en les faisant passer pour du colonialisme et de l’anti-humanisme ; or, Israël ne peut pas combattre des mensonges avec des armes à feu ou un « mur de fer », car des mensonges ne peuvent être anéantis que par le « velours » de la vérité, c’est-à-dire en répandant partout dans le monde arabe et ailleurs les images fortes et chaleureuses de l’humanisme juif et de l’enracinement puissant de l’ldentité juive en terre de Sion, afin que l’antisémitisme soit entièrement démasqué et définitivement discrédité . Donc, un « mur de fer » oui, mais accompagné des « sons » du « shofar » de l’humanisme juif faisant entendre partout sur terre les accents de ses sublimes vérités . Donc, le Judaïsme doit s’ouvrir davantage au monde, et le Sionisme recouvrir son « mur de fer » du « velours » de son humanisme .