Il y a 7 ans j’avais fait un post sur ce qui se passait dans les universités américaines devenues des repaires de l’islamo-gauchisme. C’était sous la présidence de Trump… Rien n’a vraiment changé et de nombreuses universités avaient déjà commencé à perdre un peu de leur prestige. Maintenant la chute est inéluctable.
Je n’étais pas un devin mais j’observais avec attention ce qui se passait dans le pays où je vivais. Je ne pense pas m’être trompé sur ce sujet.
Ce qui se passe aujourd’hui n’est donc vraiment pas une surprise pour moi, je le voyais venir depuis une dizaine d’années… et c’est malheureusement arrivé.
“2017. Il se passe des choses terribles et gravissimes dans les universités américaines, de la côte est à la côte ouest. La liberté d’expression est en train de régresser à une vitesse impressionnante et la propagande la plus sordide gagne de plus en plus de terrain. Beaucoup d’universités sont déjà tombées sous la coupe des islamo-gauchistes. La censure a fait son apparition, la violence aussi. Le politiquement correct est en grande partie à l’origine de cela mais les étudiants islamistes ont beaucoup participé à l’intox et aux mensonges avec un grand pouvoir de persuasion sur des étudiants très peu au courant de ce qui se passe dans le monde et particulièrement au Moyen-Orient.
Quand on voit qu’Omar Barghouti, le promoteur de BDS, peut non seulement faire des discours librement sans la moindre censure mais encore recevoir le Prix Gandhi de la Paix à Yale University, quand on sait que Lynda Sarsour, une théocrate voilée pro-Charia se faisant passer pour une féministe, va prononcer l’allocution de fin d’année académique à CUNI, une des plus grandes universités new-yorkaise et qu’on refuse avec force intimidation que des intellectuel(le)s et des commentateurs(trices) comme Anne Coulter, sous prétexte qu’elle a des opinions conservatrices, puissent s’exprimer, on comprend le danger qui guette ce bastion de la liberté d’expression et de l’éducation de haut niveau”.
© Eber Haddad
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