Cher France Culture , le sport de haut niveau a toujours été pour tous les pays du monde un engagement de fierté et de rayonnement.
Chaque équipe nationale dans chaque sport porte l’honneur et la fierté du pays représenté.
En soulignant, selon vos habitudes , ce que fait une équipe israélienne dans tel ou tel sport, vous continuez à vouloir imposer à Israël un statut spécial. Israël est un pays démocratique au sein duquel des projets sportifs se déploient comme dans toutes les démocraties du monde.
Je sais bien que vous voulez absolument y lire autre chose mais si vous foutiez un peu la paix à Israël, à nous , citoyens français cela nous ferait un peu de vacances pour apprécier le Tour de France pour ce qu’il est : un événement populaire et sportif.
Gad Weil.
Gad Weil est co-président de Judaïsme En Mouvement.
Bravo! Marre de cette ostracisation systématique d’Israel par certains médias !
“Certains médias”, et notamment : Le Monde, Libé, les chaînes radiophoniques et télévisuelles publiques.
Ce sont donc beaucoup plus que “certains”, mais continuons à résister en attendant l’embellie.
La haine d’Israël est l’une des marques de fabrique des médias français. France Culture, France inter France Télévision, Le Monde…Les médias publics ou subventionnés avec de l’argent public sont parmi les plus abjects. L’État subventionne la haine et la désinformation…volontairement ?
Depuis le mois de septembre 2000, je ne lis plus Le Monde, Le Nouvel Obs et Libération. Je n’écoute plus France Inter. En revanche, il y a des émissions ecoutables sur France Culture, faire le tri
J’ai beau lire et relire ce message (tweet, apparemment) de France Culture et je n’y trouve rien à redire.
Leur travail consiste à donner des informations et les commenter ; ce qui revient souvent à les placer dans leur contexte.
En l’occurrence ils l’ont fait bien et brièvement.
D’autant plus que l’équipe ne fait pas mystère de sa finalité « communicatrice », puisqu’elle se nomme « start-up nation ».
Et que Sylvan Adams, son financier-propriétaire, assume clairement faire, par ce biais, de la « diplomatie ».
France Culture ne fait que relayer le message. On voudrait quoi ? Qu’ils taisent l’existence de cette équipe ?
Et si Gad Weil, se disant représenter le MJLF, cessait de crier au loup matin et soir en connaissant les effets pervers ?
Israël sur la lune, Israël aux Emirats, Israël est sur cette planète terre et concourt aussi au tour de France. Rien d’anormal. Pas de quoi en faire une info. Ça semble extraordinaire ? Ça dérange ? Israël a traversé les siècles malgré ses ennemis et les jaloux et n’a pas besoin d’être aimé par tout le monde. Ce qui me paraît certain c’est qu’Israel est un marqueur. Selon le regard qu’on lui porte, on est plutôt ceci..ou plutôt celà. Au choix.
Depuis dégueule en passant par pompom (les ballets bleus)giscard avec le babare qui trainait furtivement aux alentours des banques suisses à genève et tout le reste, même le nain sarko, c’étaient tous des FDP, quant au dernier inutile de préciser qui il est, les journalistes du monde entier le savent, sauf les français qui sont subventionnés par nos impôts pour déblatérer des ignominies.
Fake news, qu’est-ce? Une fausse information! dit-on. On retourne en réalité au « Meilleur des Mondes » qu’Adous Huxley a écrit en 1931 le roman imaginant une société qui se développe en conditionnant et contrôlant les individus. Un nouvel ouvrage vingt-sept ans plus tard: « Retour au meilleur des monde » … En voici un extrait empruntés à la traduction de Jules Castier: « En ce qui concerne la propagande, les premiers partisans d’une presse libre ne l’envisageaient que sous deux aspects : vraie ou fausse. Ils ne prévoyaient pas… le développement d’une immense industrie de l’information, ne s’occupant dans l’ensemble ni du vrai, ni du faux… Dans leur propagande, les dictateurs contemporains s’en remettent le plus souvent à la répétition de slogans qu’ils veulent faire accepter pour vrais, suppression de faits qu’ils veulent laisser ignorer… ». (Adous Huxley en 1958).
Les actualités se doivent être au plus proche de la réalité. Certains journaux exposent leurs exigences du journalisme pour valoriser leur travail, ils revendiquent le sérieux, l’investigation, le recoupement… le professionnalisme. Leur devoir est de reconnaître quand il y a eu erreur ou intoxications. On nomme ces journaux « mainstream » (qui reste conforme aux standards) car ils respectent leur propre charte déontologique. Evidemment, c’est important; les Médias véhiculent une culture, une vision du monde, ils forment nos esprits, valorisent le bien, dénoncent le mal, imposent leurs interprétations en couvrant les événements importants et significatifs.
Par contre, l’utilisation des supports médiatiques en vue de faire propagande, en ne s’occupant nullement du vrai ni du faux, mais en répétant des slogans et en ignorant les faits gênants dans le but d’asséner une opinion… est attribué aux médias mal odorants et dangereux, voir populiste, reflets d’un régime autoritaire!
Un souvenir : Monsieur Alain Legaret écrit le 2 juin 2014 s’être trompé en pensant que les erreurs des médias étaient involontaires. « … aujourd’hui l’agence Reuters a passé la ligne rouge… Il s’agit ici… de dénoncer un antisémitisme subtil, subliminal, lent car il a tout son temps, et terriblement efficace, qui ancre dans les esprits qu’Israël est le diable, et les juifs qui le soutiennent sont donc ses démons. Le vendredi 30 mai 2014, l’Agence publie dans la rubrique Sport une dépêche intitulée “Une victoire internationale pour les footballeurs palestiniens” relatant un match de football qui s’est tenu aux Maldives entre les équipes palestinienne et philippine. Rien de bien spécial jusque là. Mais c’est sans compter sur l’existence des pulsions déviantes de son auteur…. Ainsi, dans cette dépêche traitant de sport, on a droit à un bout de phrase hors contexte. Je cite : “C’est la première fois que l’équipe palestinienne remporte une compétition internationale depuis la création de la Fédération palestinienne de football en 1928, vingt ans avant la naissance de l’Etat d’Israël ». Pourquoi donc venir mêler Israël à cet événement sportif qui ne le concerne pas ? Que vient faire ce “vingt ans avant la naissance de l’Etat d’Israël” au milieu de cette dépêche ? Quelle est donc la motivation du journaliste ? … On comprend que la phrase hors contexte introduite par Reuters dans sa dépêche n’est pas si anodine que ça. Elle vient ajouter sa pierre à l’édifice du révisionnisme en cours au Moyen-Orient en induisant un message politique très subtil : la Fédération palestinienne de football est antérieure à la naissance de l’Etat d’Israël, donc c’est bien la preuve que le peuple palestinien existe depuis cette date et donc, c’est encore bien la preuve qu’Israël est venu plus tard, pour se substituer à eux et les voler… ce qui est pervers ici, c’est que non seulement le journaliste se livre à une attaque gratuite dans un texte où elle n’a pas lieu d’être, mais que cette attaque est basée sur une inversion des faits, faisant passer pour arabe une réalisation juive. Elle participe à la spoliation du patrimoine juif.
Car en 1928, la fameuse Fédération Palestinienne de Football à laquelle le journaliste de Reuters fait référence était composée de juifs, que son hymne était l’Hatikva, hymne qui est celui de l’état d’Israël aujourd’hui, que l’appellation “palestinienne” évoque ici la société juive locale, tout comme le journal Palestine Post était un journal sioniste, qui s’est appelé Jérusalem Post après la naissance de l’Etat d’Israël…
Cette volonté de Reuters d’aller chercher Israël pour le dénigrer est tout simplement insupportable, dangereuse, et destructrice. C’est de l’ANTISEMITISME PUR… Ces médias ne font plus leur travail. Ils sont à la solde de la nouvelle peste. Ils détruisent les esprits et les consciences. Ils détruisent l’humanité »…
Personnellement, à ce sujet j’ai trouvé des informations qui n’étaient pas mis en évidence: Y aura-t-il un drapeau national qui vienne de la période d’avant le 15 mai 1948 lorsque les Juifs sont venus « voler le pays » ? Non le drapeau actuel a été emprunté ! Alors, il y a bien eu une émission de timbres ? Les philatélistes ont bien quelques collections qui ont marqué l’époque « pré-sioniste » de 1948 à présenter ? Non, les timbres de cette époque présentent des initiales qui n’existent qu’en hébreu et signifie « Terre d’Israël ». Puis, les pièces de monnaie ont la même indication. Ah, il y a quand même des souvenirs du match de football qui a opposé la Palestine à l’Australie en 1939!
Le sigle des maillots est celui d’Israël…
J’ai le même sentiment en lisant cette honteuse « communication » de France Culture. Pour tout dire je ne suis pas Juif, mais un lecteur des journaux numériques du monde … heureusement !
Chapeau et merci ! On a besoin De gens honnêtes comme vous !
Bravo à vous monsieur. France Culture, France Inter, est-ce que quelqu’un va enfin leur expliquer que ce merveilleux pays qui s’appelle Israël est le seul pays démocratique de la région.
ROSA
Bravo! Merci Mr Rayet de restituer les faits réels détournés par Reuters ! Une cause quelque qu’elle soit ne devrait pas avoir besoin de mensonges et de détournement des faits pour convaincre elle se suffit à elle-même.