
ENTRETIEN – Dans « Du racisme en général et du racisme anti- Blancs en particulier » (H & O éditions), l’historien décrypte les limites et les effets pervers d’un antiracisme dévoyé. « Derrière celui-ci se cache une forme masquée de racisme anti-Blancs », alerte-t-il.
LE FIGARO. – Lors d’un meeting politique, la semaine dernière en Seine- Saint-Denis, Imane Hamel (LFI) a fustigé « celui dont la seule gloire malheureuse est d’être né blanc » . Que révèle ce propos, qui a été qualifié de raciste sur les réseaux sociaux ?
PIERRE-ANDRE TAGUIEFF. – Pour les activistes néogauchistes contemporains professant un singulier « antiracisme politique », « naître blanc » signifie être porteur d’une malédiction. La « blanchité » ou la
« blanchitude » est fantasmée comme un péché originel, impliquant une culpabilité irrémédiable. Le prétendu « privilège blanc » est ainsi retourné en malheur d’être un « Blanc », c’est-à-dire un raciste. Les néoantiracistes qui militent dans des partis ou des mouvements d’extrême gauche pensent le monde social en termes de « races » ou d’identités ethno-raciales en conflit, sur la base d’une opposition fondamentale entre les « Blancs » et les « non- Blancs », les premiers étant voués à dominer et à discriminer les seconds, leurs victimes.
Il s’agit clairement d’une mise en accusation globale d’un groupe humain caractérisé avant tout par la couleur de peau de ses membres et certains traits de son histoire civilisationnelle censés dévoiler son racisme, tels que l’esclavagisme et le colonialisme, comme si les peuples « blancs » avaient été les seuls à avoir pratiqué la traite des esclaves et colonisé des territoires étrangers. Il est difficile de faire ici la part de l’ignorance et de la malveillance.
Il faut avoir à l’esprit que le paysage du racisme, individuel et groupal ou « institutionnel », est aussi vaste que diversifié : il va de l’indifférence plus ou moins marquée au sort de certaines catégories d’« autres », à la haine meurtrière culminant dans des génocides, en passant par l’intolérance, qui se manifeste par divers degrés de rejet, et par des formes plus ou moins radicales de persécution.
Le mot « racisme » se noie, selon vous, dans un « flottement de significations ». Cette confusion n’entre-t-elle pas en contradiction avec l’usage péremptoire et inflationniste qui en est fait dans le débat
public ?
Rappelons brièvement comment nous en sommes arrivés à patauger dans ce marécage de mots-slogans qu’est le discours dit « antiraciste » aujourd’hui.
Les travaux savants comme les intérêts politiques et militants se sont portés d’une façon croissante, tout d’abord, sur le racisme colonial, conceptualisé en tant que racisme d’exploitation, attribué aux seuls « Blancs ». Chercheurs, universitaires et activistes se réclamant de l’antiracisme ont fixé ensuite leur attention sur les discriminations et les modes d’exclusion dont sont réputées être victimes les minorités dites « racialisées » et « racisées » dans les nations occidentales, nations dites « blanches », les discriminations existant hors du monde occidental étant fort peu prises en compte.
Dans ce domaine, les études historiques et critiques consacrées au cas étasunien, centrées sur l’héritage négrophobe et ségrégationniste du système esclavagiste, ont joué le rôle d’un modèle théorique général. D’où l’orientation des milieux universitaires et militants, dans les démocraties occidentales tout particulièrement, vers l’étude des discriminations racistes, justifiant qu’on puisse parler de racisme d’exclusion et de discrimination, manifesté par des attitudes (opinions, croyances, etc.), des comportements, des fonctionnements institutionnels ou des doctrines idéologiques, sans qu’on s’interroge sérieusement sur les liens entre ces différents domaines. Or, depuis le début des années 1930, de nombreuses études ont établi, contre les idées reçues toujours observables, qu’entre les opinions racistes et les comportements racistes il n’y avait pas de relation nécessaire de cause à effet. Une opinion raciste ne se traduit pas nécessairement par des actes racistes (agressions physiques, meurtres, etc.)
Le nationalisme n’est pas nécessairement raciste, ni même xénophobe : la distinction entre « nous » et « eux » (ou « les autres ») ne prend pas nécessairement la figure d’une opposition manichéenne.
Pour les tenants du « racisme systémique », dénonciateurs du « privilège blanc », les discriminations racistes sont devenues un secteur particulier des « discriminations systémiques ». Dans la littérature engagée sous le drapeau du postcolonialisme et du décolonialisme, les nations occidentales sont criminalisées en ce qu’elles seraient les héritières du colonialisme supposé intrin sèquement raciste. Elles sont donc accusées de racisme, cette accusation tendant à se confondre avec celle de nationalisme, elle-même amalgamée avec celle de xénophobie. Or, le nationalisme n’est pas nécessairement raciste, ni même xénophobe : la distinction entre « nous » et « eux » (ou « les autres ») ne prend pas nécessairement la figure d’une opposition manichéenne conduisant à d’inévitables conflits, et n’implique nullement une essentialisation des identités nationales distinguées, ni leur réduction à l’ethnicité (comme dans les ethno-nationalismes).
Vous interprétez l’antiracisme comme une idéologie à part entière, dont le racisme anti-Blancs est devenu une composante implicite. « La mythologie coloriste est passée du vieux racisme au nouvel antiracisme dit politique » , écrivez-vous. Comment s’est opéré le glissement d’une critique légitime des discriminations vers une condamnation morale de la « blanchité » ?
Le cœur de l’argumentation néoantiraciste se trouve dans la thèse que le racisme est l’expression d’une domination ou d’un pouvoir. Or, le pouvoir, dans les « sociétés blanches », étant détenu et exercé par les « Blancs » qui sont irrémédiablement racistes, ces sociétés sont nécessairement racistes.
La grande prêtresse américaine de la religion néoantiraciste, Robin DiAngelo, a énoncé le dogme : « La suprématie blanche est le fondement des sociétés occidentales. » De très nombreux ouvrages « antiracistes » sur le racisme parus aux États-Unis depuis les années 1980 soutiennent la thèse de « la nature indélébile du racisme blanc ». Traduisons : les « Blancs » ne peuvent cesser d’être « racistes », car la « race blanche », pour être une construction sociale, n’en est pas moins porteuse de racisme. La référence à la « race » n’a donc pas disparu. Le racisme est devenu l’attribut principal de la « blanchité». Mais alors que les « Blancs » sont accusés de racisme, ils seraient les seuls à l’être. D’où le rejet sans discussion de la notion de« racisme anti-Blancs », perçue comme autocontradictoire.
L’utopie multiculturaliste des années 1990 a, selon vous, produit une société contemporaine multicommunautariste qui fait de la race une notion centrale du débat public. Comment comprendre ce basculement ?
La diabolisation de la nation et du sentiment national a fait émerger une pluralité d’identités culturelles ou ethniques infranationales mises sur un pied d’égalité, conformément à l’idéologie égalitariste des « progressistes », et supposées pouvoir coexister pacifiquement et harmonieusement dans un nouveau type de société n’ayant plus rien à voir avec le modèle républicain de la communauté des citoyens. La dislocation de la nation française ne peut faire naître qu’une mosaïque de communautés ou d’identités ethniques ou ethno-raciales fermées sur elles-mêmes et rivales. La société dénationalisée promise est une société divisée, fragmentée, conflictuelle, qui peut basculer dans une guerre civile.
Les activistes du néoantiracisme racialiste, pratiquant un terrorisme intellectuel importé du
monde anglo-saxon et s’inspirant de la « religion woke » autant que de la propagande
antisioniste »
Parallèlement, le nationalisme et ses présupposés, le principe de souveraineté, le sentiment patriotique et l’attachement à l’identité nationale (impliquant la défense et l’illustration de l’identité culturelle de la nation), ont été mis en accusation et « déconstruits » sauvagement par les nouveaux sophistes qui sévissent, donnent le ton et imposent leurs dogmes et leur pensée-slogan sur les campus universitaires, le tout relayé par les réseaux sociaux. Les activistes du néoantiracisme racialiste, pratiquant un terrorisme intellectuel importé du monde anglo-saxon et s’inspirant de la « religion woke » autant que de la propagande « antisioniste », jouent un rôle majeur dans ces mobilisations qui prennent l’allure d’une conquête de territoires culturels, politiques et institutionnels.
Le rejet haineux du « Blanc » est-il indissociable de celui du Français, de l’Européen, de l’Occidental, du juif ou du chrétien ?
C’est là en effet l’une des principales nouveautés de la configuration néoantiraciste : elle met en œuvre une vision racialiste qui dérive vers une criminalisation et une diabolisation des « Blancs », accusés d’être les inventeurs, les orchestrateurs et les exploiteurs du racisme. Les dénonciateurs du « privilège blanc » en viennent à imaginer un « privilège sioniste » qui fait renaître la vieille accusation complotiste et antijuive des « Juifs maîtres du monde » sous divers masques, du capitalisme ou de la
« haute finance » au sionisme « raciste, impérialiste et colonialiste ».
Du racisme en général et du racisme anti-Blancs en particulier
H & O éditions, 192 p., 17 €. H & O éditions
© Elea Cauvin

Moi je vais me teindre en noir.
Vous aurez les anti-racistes sur le dos.
@Joseph1 Vous voulez dire les racistes ?
Daniela
Malheureuse , un « black face » peut vous couter cher dans cette société devenue complétement maboule.
Le racisme inversé inclut haine des Blancs et haine des Juifs. Il se traduit par
1) une nature systémique : le discours anti-juifs et anti-blancs est toléré, encouragé et en phase avec l’idéologie dominante
2) une omerta : les crimes racistes de cette nature sont passés sous silence par nos États, l’ONU et les « antiracistes », même lorsqu’il s’agit de crimes de masse (des familles entières massacrées au Zimbabwe et en Afrique du sud, des milliers de filles violées en Angleterre) ce qui prouve que L »antiracisme » est intrinsèquement raciste.
3) la haine de soi : de nombreux Blancs et même des États dirigés par des Blancs (France, Angleterre, Belgique, Canada, États-Unis etc) pratiquent le racisme anti-blancs de même que certains Juifs sont antisémites (les Juifs antisionistes). Les deux haines de soi vont toujours de paire chez les mêmes individus.
Le racisme anti-blancs est surtout localisé en Afrique musulmane et chrétienne, dans l’anglosphere et dans l’Europe de l’ouest.
Par contre il ne serait pas permis en Europe de l’est et reste très marginal en Asie. En d’autres termes, un Blanc a beaucoup plus de « chances » d’être victime de violence raciste en région parisienne, en Petite (Grande)-Bretagne et aux États-Unis qu’ au Japon, au Viêtnam et même certains pays musulmans : ce qui montre paradoxalement que la théorie du « choc des civilisations » ne tient pas la route et que les Français, les Suédois, les Canadiens, les Belges ou les Anglais n’ont pas de pires ennemis que leurs propres gouvernements.
@Kinski. Votre commentaire est excellent. Je me permets juste une petite observation. Le racisme anti-blanc n’entre pas en contradiction avec le choc des civilisations tel que Huntington l’a théorisé. ce qu’il n’avait pas imaginé, c’est « l’autodestruction » de certaines sociétés occidentales face à la montée de l’islamisme. On pourrait y voir une phase 2 de la démonstration d’Huntington. Il y a toujours deux enmemis possibles, celui qui est en face de nous et celui qui est en nous.
Merci @Nathalie69 Si je juge la théorie d’Hunnington peu fiable c’est qu’elle ne se contente pas de parler d’une opposition entre islam et occident (qui est vraie et était déjà constatée par d’illustres auteurs,Monstesquieu Chateaubriand, Claude Lévy Strauss…) mais qu’il évoque un choc entre Occident et Asie (Chine, Japon, Vietnam etc) Cela n’a aucun sens ! Même le gouvernement chinois est bien moins dangereux pour nous que ceux de Paris, Londres, Bruxelles et l’UE. Il n’existe pas de choc civilisationnel entre ces pays et l’occident : les sentiments de la population chinoise envers l’occident sont au pire une légère défiance au mieux de la sympathie. Le plus souvent de l’indifference (plutôt bienveillante). Il n’existe pas de péril jaune ! Quant à la Russie, qui se trouve à cheval entre l’Europe et l’Asie, elle est bien plus européenne que cette Europe de l’ouest et ce Canada islamisés, « »racisés » » et palestinés. Même certaines villes de Sibérie (où il ne fait pas froid tout le temps) ressemblent plus à la France que la France où vous et moi vivons. L’inde n’est absolument pas l’ennemie de l’occident et d’Israël. Même certains pays musulmans (Indonésie par ex) ne sont pas hostiles envers nous. En revanche, l’Algérie, la Turquie et le Qatar _ alliées de nos gouvernements _ sont extrêmement hostiles et dangereux. Je trouve la théorie du choc des civilisations beaucoup trop simpliste pour comprendre la complexité de ce monde multipolaire.
Amicalement.
Ch Kinski
@Kinski. Bonjour, merci pour votre réponse. Je suis totalement d’accord avec vous. Il n’existe pas de choc civilisationnel entre l’Occident et l’Asie. Ce que j’admire, notamment dans les pays asiatiques et au Japon, ce sont des valeurs telles le respect, la politesse, la fierté d’un pays. L’Occident est en perte de valeurs. C’est le rejet du passé. Il n’y a pas de culture française selon Emmanuel Macron. Cette citation d’Albert Camus « Tout ce qui dégrade la culture raccourcit les chemins qui mènent à la servitude ». Les pays asiatiques ont su concilier la technologie de demain et la culture d’hier. Ce qui est aussi valable pour Israël, c’est la conscience collective, l’histoire et la fierté d’un pays. Ce que sont devenues nos sociétés occidentales, c’est la soumission à des pays très dangereux pour nous, l’Algérie, le Qatar, la Turquie. C’est aussi en France, le danger d’un individu comme Mélenchon qui est l’ami des islamistes et des antisémites. Ce genre d’individus me fait très peur pour l’avenir. Que deviendrait la France si LFI était au pouvoir? Un pays de dhimmis pour tous les non musulmans, plus de droits pour les femmes, plus de liberté de penser, plus de culture etc. Ce serait la charia compatible. Pour les personnes françaises de confession juive, il y a un refuge Israël. En tout cas le pays met en oeuvre tous les moyens pour défendre ses concitoyens. Ce qui n’est pas le cas de la France qui a abdiqué. Pour tous les autres français, nous n’avons aucun pays refuge. On ne peut que regarder l’avenir avec inquiétude. Pour les néoantiracistes, les blancs sont le mal, ce sont eux les racistes avec leurs mots (colons, génocidaires, nazis, privilège blanc, esclavagisme etc). Deux visions du monde qui s’opposent et qui fracturent le pays.
Amicalement.
Nathalie
Le racisme anti-blancs se manifeste par des crimes, des meurtres et souvent des viols. En dessous d’un ancien article de Pierre André Taguieff, j’avais déjà évoqué le viol collectif d’Évry commis sur une jeune femme blanche : le motif raciste était connu de tous et fut étouffé par les autorités. Un cas parmi d’innombrables autres : on ne peut pas être antiraciste et l’on ne peut pas être féministe si l’on ne condamne pas ce fléau qui ne se réduit pas à une banale affaire de « blackface » interdit. D’ailleurs la négation du racisme anti-blancs constitue un négationnisme _ un négationnisme d’Etat _ puisque des crimes contre l’humanité (traite des Européens, génocide des Blancs d’Haïti) ont déjà été commis sur des Blancs. La collusion entre haine des Blancs et haine antijuive, que rappelle @Kinski, est plus qu’évidente. Mes proches et moi avons déjà quitté la France. Nous ne comptons pas y remettre les pieds, pas même pour y faire du shopping.
Merci @Nathalie69 Si je juge la théorie d’Hunnington peu fiable c’est qu’elle ne se contente pas de parler d’une opposition entre islam et occident (qui est vraie et était déjà constatée par d’illustres auteurs,Monstesquieu Chateaubriand, Claude Lévy Strauss…) mais qu’il évoque un choc entre Occident et Asie (Chine, Japon, Vietnam etc) Cela n’a aucun sens ! Même le gouvernement chinois est bien moins dangereux pour nous que ceux de Paris, Londres, Bruxelles et l’UE. Il n’existe pas de choc civilisationnel entre ces pays et l’occident : les sentiments de la population chinoise envers l’occident sont au pire une légère défiance au mieux de la sympathie. Le plus souvent de l’indifference (plutôt bienveillante). Il n’existe pas de péril jaune ! Quant à la Russie, qui se trouve à cheval entre l’Europe et l’Asie, elle est bien plus européenne que cette Europe de l’ouest et ce Canada islamisés, « »racisés » » et palestinisés. Même certaines villes de Sibérie (où il ne fait pas froid tout le temps) ressemblent plus à la France que la France où vous et moi vivons. L’inde n’est absolument pas l’ennemie de l’occident et d’Israël. Même certains pays musulmans (Indonésie par ex) ne sont pas hostiles envers nous. En revanche, l’Algérie, la Turquie et le Qatar _ alliées de nos gouvernements _ sont extrêmement hostiles et dangereux. Je trouve la théorie du choc des civilisations beaucoup trop simpliste pour comprendre la complexité de ce monde multipolaire.
Amicalement.
Ch Kinski
Dans mon commentaire du 4 novembre 2025 à 12H30 adressé à Kinski, j’ai fait une erreur dans ma phrase qui n’était pas claire:
Il fallait lire:
« @Kinski. Bonjour, merci pour votre réponse. Je suis totalement d’accord avec vous. Il n’existe pas de choc civilisationnel entre l’Occident et l’Asie. Ce que j’admire, notamment dans les pays asiatiques et au Japon, ce sont des valeurs telles le respect, la politesse, la fierté d’un pays. L’Occident est en perte de valeurs. C’est le rejet du passé. Il n’y a pas de culture française selon Emmanuel Macron. Cette citation d’Albert Camus « Tout ce qui dégrade la culture raccourcit les chemins qui mènent à la servitude ». Les pays asiatiques ont su concilier la technologie de demain et la culture d’hier. Ce qui est aussi valable pour Israël, c’est la conscience collective, l’histoire et la fierté d’un pays. Ce que sont devenues nos sociétés occidentales, c’est la soumission à des pays très dangereux pour nous, l’Algérie, le Qatar, la Turquie. C’est aussi en France, le danger d’un individu comme Mélenchon qui est l’ami des islamistes et des antisémites. Ce genre d’individus me fait très peur pour l’avenir. Que deviendrait la France si LFI était au pouvoir? Un pays de dhimmis pour tous les non musulmans, aucun droit pour les femmes, aucune liberté de penser, aucune éducation et culture, etc. Ce serait la charia compatible. Pour les personnes françaises de confession juive, il y a un refuge Israël. En tout cas le pays met en oeuvre tous les moyens pour défendre ses concitoyens. Ce qui n’est pas le cas de la France qui a abdiqué. Pour tous les autres français, nous n’avons aucun pays refuge. On ne peut que regarder l’avenir avec inquiétude. Pour les néo-antiracistes, les blancs sont le mal, ce sont eux les racistes avec leurs mots (colons, génocidaires, nazis, privilège blanc, esclavagisme etc). Deux visions du monde qui s’opposent et qui fracturent le pays ».
Amicalement.
Nathalie
Bonjour @Nathalie69, je viens seulement de lire votre réponse car je fréquente de moins en moins le net francophone (à cause des pro-palestiniens et pro-européens qui y pullulent et rendent l’air irrespirable, comme dans l’ensemble de la société). Je dirais que pour les non-Juifs, et bien sûr certains Juifs également, les pays slaves sont les refuges. Le Soleil se lève à l’est : c’est désormais le cas aussi en ce qui concerne les nations. En espérant cependant que les pays européens de l’est ́ne deviennent pas peu à peu comme ceux de l’ouest,le Canada et New york : c’est pour cela qu’il faut que l’UE disparaisse et retourne dans les ténèbres d’où elle n’aurait jamais dû sortir, pour le bien général. Bonne journée à vous.