
L’un des signes les plus probants du totalitarisme est l’endoctrinement de la jeunesse. Imposer en tant qu’adulte à des enfants qui ne sont pas les siens des opinions politiques et/ou religieuses, sans le consentement des parents, relève tout bonnement de la maltraitance.
Cet endoctrinement existe pourtant dans les collèges et les lycées français puisque des professeurs – violant la neutralité requise par les règles de la fonction publique – se permettent d’imposer à leurs élèves leur haine de l’État juif.
C’est ce qui s’est passé le 25 mars dernier au lycée Janot-Curie de Sens (Yonne) où une professeure de physique-chimie n’a pas hésité à faire observer une minute de silence dans sa classe « pour les victimes de Gaza ». Après que l’Éducation nationale a pris connaissance de ce manquement gravissime au règlement, la professeure – qui très « courageuse » souhaite garder l’anonymat – a d’abord été suspendue, puis (bien sûr) réintégrée début juin en écopant seulement d’un blâme qu’elle a pourtant l’outrecuidance – avec les syndicats qui la soutiennent – de contester. Rappelons – comme le précisent Antoine Jacquet et l’AFP – que selon le ministère de l’Éducation nationale, « les minutes de silence organisées dans les écoles et établissements ne concernent que les événements commémorés au niveau national ou les disparitions tragiques d’enseignants dans l’exercice de leurs fonctions« . Le rectorat souligne que l’enseignante a donc contrevenu à son « devoir de neutralité » en étant à l’initiative de cette minute de silence.
Partons maintenant au collège Flora Tristan – qui se situe dans le 20e arrondissement de Paris – et dans lequel une vingtaine d’enseignants et de personnels n’ont rien trouvé de mieux à faire que d’enregistrer une vidéo haineuse et diffamatoire à l’encontre de l’État hébreu. On peut y voir des professeurs montés sur les marches de leur établissement avec une banderole sur laquelle est écrit « Soutien au peuple palestinien ». Puis les professeurs lisent tour à tour un texte de propagande (« lire » est d’ailleurs un bien grand mot puisque certains ânonnent cette prose indigeste) dont la teneur antisémite est avérée puisqu’ils y affirment que le gouvernement israélien perpètre des « crimes de masse » ou encore « mutile et affame » des enfants (vieille rengaine antijuive connue depuis le XIIe siècle sous le terme d’accusation de « crime rituel »).
Ces profs islamo-gauchistes qui devraient être la honte de l’Éducation nationale ne savent évidemment pas de quoi il en retourne quand ils parlent du conflit à Gaza ! Ils ne savent pas qu’Israël fait passer – malgré les mensonges du chef de l’État français Emmanuel Macron ! – tous les jours des convois humanitaires qui partent de Jordanie sous escorte israélienne afin de délivrer de la nourriture et des médicaments à Gaza. Depuis le 26 mai 2025, 11,5 millions de repas ont été distribués aux Gazaouis grâce à Israël. D’ailleurs, comme l’a dit, sur I24news, le Docteur Richard Rossin – ancien Secrétaire général de Médecins sans frontières – : « C’est la première fois qu’un État en guerre apporte de l’aide à son ennemi ».
Je rappelle qu’Israël a organisé jusqu’en novembre 2024 des campagnes de vaccination antipolio pour plus d’un million cent mille enfants gazaouis ! Donnez-moi un seul exemple d’un « État génocidaire » qui aurait favorisé des campagnes de vaccination pour les enfants du camp ennemi ?! Allons ! Ces diffamations abjectes doivent cesser !
J’aimerais aussi dire à ces professeurs que je ne les ai pas vus ni entendus demander une minute de silence ou apporter leur soutien aux victimes juives des massacres du 7 octobre : pas un mot, pas une manifestation pour ces femmes, enfants et hommes juifs brûlés vif, abattus comme des chiens, violés et mutilés sexuellement par les terroristes du Hamas (avec bien souvent la complicité active de la population civile de Gaza) !
Où étaient tous ces enseignants et qu’ont-ils fait lorsque les corps sans vie du petit bébé Kfir Bibas, de son frère de quatre ans Ariel et de leur mère Shiri ont été rendus lors d’une cérémonie immonde orchestrée par le Hamas, dignes héritiers des « vampires métaphysiciens dont parlait Jankélévitch au sujet des nazis ? J’ai toujours dit que l’expression « deux poids, deux mesures » était un des marqueurs de l’antisémitisme : on en a la preuve ici !
Cela fait bien longtemps que de trop nombreux professeurs idéologisés se sentent dans leur bon droit (les sanctions à leur encontre étant faibles ou inexistantes) quand il s’agit de diffamer l’État juif. Le fait que la majorité d’entre eux vote à gauche est évidemment la raison pour laquelle l’antisémitisme est si répandu dans leurs rangs.
© Frédéric Sroussi

de parfaits collabos, une tradition !
La majorité des enseignants français sont « de gauche » leur confier nos enfants est risqué leur cerveau étant malléable. Nous les Juifs de France avons des écoles pour nos enfants, les français non-juifs, s’ils ont les moyens, peuvent choisir une école privée.Pour les plus démunis, je crois que c’est gratuit.
Inutile de s’adresser à ces profs, figés dans leurs certitudes idéologiques. On n’en fera rien, ils sont sous emprise. Il ne faut pas s’étonner de ces émeutes de jeunes en France, qui sont en réalité une intifada appelée des vœux de LFI. Cette collusion avec les islamistes est un traitrise de plus de la part de la gauche, vis à vis de la France.