
Bruxelles, sous l'influence islamique, devrait être placée sous tutelle pour le bien de tous les pays européens.
— Maaroufi Fadila (@Maaroufi9) May 20, 2025
Le danger provient toujours de Bruxelles. Les institutions européennes, basées dans cette ville, en font un lieu prisé pour le lobbying.
Les islamistes ont compris… https://t.co/QNiJZlQfRc
Le @PSofficiel a terminé sa mue. Mazal tov & bonne chance pour la suite camarades (vous en aurez bien besoin) 🤟 https://t.co/ZEUZ5qarI6
— Joël Rubinfeld (@joelrubinfeld) May 19, 2025

Les partis socialistes en Europe ont toujours été la courroie de transmission de l’antisémitisme.
Dans la paix et une certaine prospérité de l’après-guerre, on avait certes oublié un peu vite ce que l’antisémitisme du XIXè siècle et celui du XXè siècle devaient déjà à la Gauche en général et au socialisme et au communisme en particulier (et cela ne signifie pas qu’il n’y a pas ou qu’il n’a pas existé d’antisémitisme à droite, bien au contraire). L’antisémitisme de gauche a une tradition forte : Voltaire, Proudhon, Charles Fourier, Alphonse Toussenel, Pierre Leroux, Jules Guesde, Jules Vallès, Jean Jaurès et même Emile Zola – pourtant défenseur du capitaine Dreyfus – sont tous auteurs d’écrits antisémites. Paradoxe français qui s’explique d’une part par leur pacifisme total, d’autre part par leur adhésion au pacte germano-soviétique, c’est bien une Gauche qui fut dreyfusarde et philosémite qui vota les pleins pouvoirs à Pétain et qui s’est massivement engagée dans la Collaboration en fournissant en nombre des auxiliaires zélés du régime de Vichy alors que les militants antisémites de la droite radicale, n’acceptant pas l’armistice de 1940 et la soumission à l’Allemagne nazie, s’engageaient, au-delà de sa représentation politique de l’époque, dans la Résistance et fournissait les premiers soutiens du Général de Gaulle. Les partisans de la Collaboration étaient les progressistes de l’époque, pacifistes et favorables à une Europe allemande ! Le retour de l’antisémitisme par la gauche n’a pu s’opérer que parce que ce courant de pensée, contrairement à ce qu’il a toujours affirmé, n’était pas au clair sur la question de l’antisémitisme, n’assumant pas son héritage collaborationniste ni son compagnonnage avec les dictatures rouges les plus meurtrières, étant peu critique vis-à-vis du passé de François Mitterrand et de ses amitiés pétainistes, une gauche enfin qui a toujours existé au sein des gouvernements socialistes, mais qui n’osait pas il y a trente ans tenir les propos qu’elle s’autorise aujourd’hui, et qui, toute honte bue, a constitué cette alliance abjecte qu’est la NUPES dont LFI est le porte-drapeau.Dans la paix et une certaine prospérité de l’après-guerre, on avait certes oublié un peu vite ce que l’antisémitisme du XIXè siècle et celui du XXè siècle devaient déjà à la Gauche en général et au socialisme et au communisme en particulier (et cela ne signifie pas qu’il n’y a pas ou qu’il n’a pas existé d’antisémitisme à droite, bien au contraire). L’antisémitisme de gauche a une tradition forte : Voltaire, Proudhon, Charles Fourier, Alphonse Toussenel, Pierre Leroux, Jules Guesde, Jules Vallès, Jean Jaurès et même Emile Zola – pourtant défenseur du capitaine Dreyfus – sont tous auteurs d’écrits antisémites. Paradoxe français qui s’explique d’une part par leur pacifisme total, d’autre part par leur adhésion au pacte germano-soviétique, c’est bien une Gauche qui fut dreyfusarde et philosémite qui vota les pleins pouvoirs à Pétain et qui s’est massivement engagée dans la Collaboration en fournissant en nombre des auxiliaires zélés du régime de Vichy alors que les militants antisémites de la droite radicale, n’acceptant pas l’armistice de 1940 et la soumission à l’Allemagne nazie, s’engageaient, au-delà de sa représentation politique de l’époque, dans la Résistance et fournissait les premiers soutiens du Général de Gaulle. Les partisans de la Collaboration étaient les progressistes de l’époque, pacifistes et favorables à une Europe allemande ! Le retour de l’antisémitisme par la gauche n’a pu s’opérer que parce que ce courant de pensée, contrairement à ce qu’il a toujours affirmé, n’était pas au clair sur la question de l’antisémitisme, n’assumant pas son héritage collaborationniste ni son compagnonnage avec les dictatures rouges les plus meurtrières, étant peu critique vis-à-vis du passé de François Mitterrand et de ses amitiés pétainistes, une gauche enfin qui a toujours existé au sein des gouvernements socialistes, mais qui n’osait pas il y a trente ans tenir les propos qu’elle s’autorise aujourd’hui, et qui, toute honte bue, a constitué cette alliance abjecte qu’est la NUPES dont LFI est le porte-drapeau.
Une parenthèse enchantée a existé ; elle ea commencé à se refermer il y a 25 ans.
Lire : Tout ce que l’antisémitisme du XXIè siècle doit à la Gauche… : https://www.tribunejuive.info/2024/05/24/bas-les-masques-du-jourdain-a-la-tayelet-les-antisemites-ont-toujours-aime-les-juifs-comme-leurs-steaks-saignants-ou-bien-cuits-jean-marc-2-2/