Les Juifs de cour sont les pires ennemis d’Israël, mais aussi leur propre pire ennemi

Dans une haine de soi qu’une psychanalyse seule pourrait peut-être mettre à jour et apaiser.
Sinclair (nom de naissance Anne-Élise Schwartz), Horvilleur, Sfar…
Des fragiles en réalité, face à la destruction des juifs et leur éradication ultime, qui serait le seul et vrai génocide si les Israéliens se désarmaient, dans cette guerre où la propagande frappe à l’émotion plutôt qu’à la raison.
Mais, malgré un sentiment d’amertume et de révolte, de colère sourde contre ces juifs renégats, comment ne pas envisager leur faiblesse et l’étouffement de leur judéité, leur détestation d’eux-mêmes, sous l’angle de la peur ?
Celle de disparaître et d’être dissous.
De ne plus être invité à ce banquet de la vie qu’ils ont fait leur, dans lequel ils s’imaginent être reconnus et aimés.
Des années d’insertion pour s’agréger au pouvoir, ne plus être vus comme juifs, ou alors, comme le disait si malicieusement Finkielkraut dans « Le Juif Imaginaire », seulement pour séduire. Allant jusqu’à faire élire Mitterrand, l’ami intime de Bousquet, l’initiateur des rafles des juifs, dont celle du Vel d’hiv, à la présidence.
C’est compliqué d’être juif…
Comment ne pas céder aux privilèges des reniements pour exister quand même, alors que la planète, le lendemain du 7 octobre 23, et bien qu’Israël fût la victime d’une barbarie innommable, s’est réveillée antisémite, comme si le massacre de juifs en Israël et la profanation de leur chair avaient fait remonter dans les mémoires et les gorges l’odeur d’un sang haï et enfin versé.
Le minuscule pays d’Israël, perdu dans une immensité territoriale musulmane, si fier d’avoir su bâtir sa nouvelle Sion, d’avoir résisté à plusieurs guerres au travers de sa jeune existence et obtenu plus de Nobel à lui tout seul que la France, pouvait enfin être mutilé, brisé, mis à terre…
C’est difficile et pour certains effrayant d’être juif et d’assumer de l’être lorsque les gènes ont intégré qu’être juif aujourd’hui met en danger constant dans une réalité déformée et mensongère ; sauf de détruire la pensée du judaïsme en la discriminant et en la sacrifiant sur l’autel d’antisémitismes érigés en droits, ce qu’ont fait ces derniers jours Horvilleur, Sinclair, Sfar et quelques autres, sauf d’être juif en Israël.
Et être Israélien, c’est bien autre chose qu’être Juif.
La religion et ses rites ont maintenu la cohésion du peuple juif en diaspora, mais si elle demeure prégnante en Israël, comme une amie éternelle, les Israéliens l’ont poussée sur le côté pour la cantonner à la spiritualité, au bénéfice d’une nation laïque et démocratique.
Ce que Shimon Peres énonça clairement il y a quelques années en ces termes : « Notre plus dangereux ennemi n’est pas Arafat dont on sait qu’il est chef de guerre, mais nos religieux qui se mêlent de politique. Il faut laisser la religion aux âmes et le devenir de la nation à la laïcité ».
Ce dont les juifs de cour, courtisans par essence et chef de meutes par peur de mourir, refusent le concept, préférant à l’indépendance morale et physique d’Israël une collaboration entière avec l’ennemi, hier Pétain, aujourd’hui le Hamas, et les fait comparer Gaza à Auschwitz dans un négationnisme ordinaire comme la banalité du mal l’est, lorsque cela concerne les juifs.
Il faudrait des pages pour écrire l’ignominie d’une telle comparaison, aussi je vais conclure en rappelant que cette marée de haine qui s’élève contre Israël et les Israéliens, la même qui aujourd’hui en France met les juifs en danger, n’est pas sans rappeler les heures noires des années 30, quand la stigmatisation des juifs précéda leur disparition dans des camps d’extermination.
Le génocide qui se profile n’est pas celui des Gazaouis qui peuvent rendre les otages pour que la guerre s’arrête, mais celui des Israéliens dont l’existence n’est jamais acquise, quoi qu’ils fassent, dans la guerre ou la paix.
© Louise Gaggini

la peur,seconde nature forgée au cours des siècles avec en prime le désir fou d’être aimé,ne pas abandonner son statut social et voilà le cocktail fou qui pousse à se mettre du côté des ennemis d’israel qui jubilent!
« Mais je vous le dis : votre amour du prochain, c’est votre mauvais amour pour vous-même » écrivait Nietzche et ces paroles prennent tout leur sens dans le contexte actuel. Bien qu’il ne s’agisse nullement d’amour du prochain mais d’amour de l’Ennemi et de haine de soi : ce mouvement de suicide collectif était déjà pleinement exprimé par le mouvement raciste, antisémite et pro-Hamas Black Lives Matter qu’ont soutenu des millions de Blancs non-juifs et de Juifs dans une même logique de hara kiri collectif. Tout ce à quoi l’on assiste depuis le 7 octobre est la continuation directe du débordement sans précédent de racisme inversé et d’antisémitisme ayant marqué l’année 2020.
Les sociétés comme la France et l’Angleterre livrent leurs enfants , leurs jeunes filles et leurs femmes en pâture aux barbares qui les violent ou /et assassinent. C’est à cela qu’on reconnaît des sociétés ayant totalement basculé hors du monde civilisé.
Israël défend ses femmes et ses enfants en proie à la même barbarie raciste et génocidaire. C’est le propre d’un pays civilisé.
Israël mène une guerre contre le 4ème Reich Islamonazi auquel appartiennent de nombreux pays d’Afrique, d’Orient et l’Europe de l’Ouest.
La prise de conscience étant quasi inexistante, y compris chez de nombreuses personnes soutenant Israël, le même déni et les mêmes causes produiront invariablement les mêmes effets.
Venalité , cupidité , car les juifs renegats sont en general largement recompensés dans le monde occidental post chretien .