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  1. Mélenchon est le fils spirituel de Mitterrand, l’ami de Bousquet, et son ralliement idéologique au décolonialisme et à l’islamisme s’explique par la haine antisémite qui a toujours caractérisé ce psychopathe. Et il en va de même de la presse française, de France Inter et des institutions de ce pays. On ne devient pas antisémite du jour au lendemain. On ne collabore pas avec le Hamas par simple électoraliste. Le fascisme est revenu au pouvoir en France à partir de 1981, mais comme aux États-Unis dans nos pays voisins sa mise en place
    s’est opérée de manière progressive. 2017 a marqué un point de non-retour. Depuis le 7 octobre dernier, on est passé au stade supérieur : la France est devenue un État nazi à l’image de ses médias majoritaires. Dans la mesure où la majeure partie de la population française est également menacée, seul un soulèvement populaire (venant des populations agricole et ouvrière) serait susceptible de renverser le pétainisme macroniste et mélenchoniste. Théoriquement, parce qu’un tel sursaut n’a presque aucune chance de se produire et je ne parierais pas un centime
    d’ancien franc dessus. Comme dans tout régime fasciste, la population française a été formatée et embrigadée par la presse, la Télévision, le cinéma et les livres contemporains depuis le plus jeune âge. Les rares écrivains hostiles au nazisme du Hamas (Sylvain Tesson, Michel Houellebecq) sont ostracisés. Les nouveaux Céline (Arnaux, Despentes) sont adulés.

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