Pierre Saba. Agenda criminel

Le dilemme israélien est l’alternative entre le suicide ou la défense, mourir ou faire mourir

Les crimes de guerre et contre l’Humanité commis par le Hamas le 7 octobre dernier par les assassins de la milice armée, dirigée et financée par le régime sanguinaire des mollahs depuis Téhéran, poursuivent leurs effrayants agendas.

Israël poursuit sa riposte militaire, ralentie par les dispositions humanitaires qu’elle applique sur les populations civiles utilisées comme “boucliers humains”  par leurs geôliers. 

Israël alerte et recommande aux populations de quitter le nord du territoire de Gaza et de rejoindre le sud. Le Hamas les en empêche en leur tirant dessus afin de maintenir “sa chair à canon”.

Le dilemme israélien est l’alternative entre le suicide ou la défense, mourir ou faire mourir. 

Responsabilité iranienne 

Le noeud des crimes commis est le régime des mollahs. 

Ce régime asservit son propre peuple, le peuple libanais, celui de Gaza et du Yemen.

Il tente d’éliminer celui d’Israël par le financement de la haine et des moyens opératoires y destinés (enlèvements, violences sur les Juifs, hordes hurlantes publiques…)

Il effraie avec succès les démocraties occidentales submergées par les infiltrations de ses agents et les dictatures arabes (Égypte, Jordanie, autorité palestinienne-AP…) qui choisissent de suivre et d’accompagner sa haine d’Israël afin de se maintenir aux pouvoirs.

Tragiquement seule, la réaction israélienne est le seul rempart global contre l’agenda criminel et planifié des assassins de Téhéran.

Responsabilité des “alliés” d’Israël

L’absence d’actions internationales à l’encontre du régime sanguinaire de Téhéran, les  poursuites de négociations avec lui, les silences sur ses violations des droits humains les plus élémentaires, les manifestations de cordialités (serrages de mains et sourires entre le secrétaire général de l ’ONU et le “ministre” iranien des affaires étrangères photographiés sous l’égide et le logo de l’organisation, idem avec le président français Macron…), la nomination d’un représentant du régime des mollahs comme Président de la Commission des Droits des Femmes, la solitude imposée aux femmes d’Iran, aux minorités “interdites” (vocabulaire génocidaire) (Bahais), soumises au régime discriminatoire et subordonné du “dhimi” (Juifs…)

Tout cela et encore plus a conduit l’entité criminelle de Téhéran a user et abuser de sa force militaire et tactique contre des civils  israéliens désarmés et à mettre en oeuvre sa politique annoncée partout et depuis toujours d’élimination des minorités non musulmanes, à commencer par Israël au Moyen-Orient.

Une majorité d’États ayant pris part au dernier votre à l’ONU exigent un couloir humanitaire pour les civils de Gaza. Ces États feignent d’ignorer que ce couloir existe déjà par la possibilité qui est offerte aux civils par Israël de quitter les lieux du conflit et par l’entrée de camions d’alimentation.

Ils ignorent la nécessité d’un couloir humanitaire pour les otages du Hamas. 

Ils feignent d’ignorer la nécessité de pressuriser le Hamas. Ils se concentrent sur de prétendues obligations israéliennes. Ils ignorent les responsabilités des mollahs de Teheran. Quant à la France, membre du Conseil de sécurité de l’ONU, par son vote à une résolution infligeante envers Israël et exonérant le Hamas de ses otages civils français et autres, elle se désolidarise de ses obligations nationales, internationales et  humanitaires tout en pointant celles d’Israël.

La responsabilité occidentale est patente, attestée et complice en Droit comme en fait.

Responsabilité des États proches du Hamas

Le régime turc est un allié public, effectif et idéologique du Hamas. Les liens organiques entre le parti gouvernemental AKP et le Hamas sont une des fiertés des deux mouvances djihadistes. Le chef du Hamas bénéficie de la nationalité turque qui l’accueille aussi régulièrement que Téhéran et le Qatar.

Ce Qatar qui finance, diffuse, décide et négocie de tout, partout, en imposant au monde à coup de pétro dollars une aide supplémentaire aux mouvements criminels internationaux tout en gardant la respectabilité que lui octroie l’Occident.

Les États ennemis d’Israël (Algérie, Tunisie…) infectent activement les organisations internationales (ONU-Union africaine-…) du poison antisémite si utile au Hamas et à son maître de Téhéran.

Responsabilité des États  et entités voisins d’Israël

Les États arabes en paix avec Israël (Égypte, Jordanie, AP, Soudan) violent les Traités de paix et et ceux de reconnaissance mutuelle (Maroc) en s’associant à des degrés divers aux arguments du Hamas et à la condamnation générale de l’État juif.

L’AP, elle, soutient le Hamas. Elle continue grâce aux financements de l’Union-Européenne d’enseigner la haine scolaire des Juifs et d’Israël. Son dictateur n’a de cesse de déjecter son antisémitisme “urbi et orbi”.

Mise en garde

Irresponsabilité des États décideurs à l’ONU, violations de sa Charte par son secrétaire général, dévoiement sur la plupart des dossiers de l’organisation, votes internationaux iniques et contraires au Droit international public, nouvelles incriminations d’Israël agissant en légitime défense, mépris de ses mesures humanitaires uniques au monde et dans l’ Histoire militaire universelle, hordes antisémites manifestant dans le monde contre Israël et les Juifs, tout, absolument tout semble prêt pour la victoire djihadiste… 

Pourtant

L’hostilité de l’Internationale de la haine et de celle de la peur ne doivent pas influer Israël sur ses droits à l’autodétermination, à l’existence, à la légitime défense et à la paix. 

Les injonctions idéologiques de l’ONU contre Israël fonctionnent par la lâcheté et la prévarication de ses représentants et de ses dirigeants.  Elles servent les régimes qui la capturent et qui visent à l’élimination d’Israël. Cet État n’a pas à considérer des mesures qui toutes violent les statuts de l’organisation, le Droit international public et la réglementation internationale.

Seule une nouvelle victoire de la démocratie israélienne sur les régimes sanguinaires, conjuguée à un ordre géopolitique régional libéré de sa haine d’Israël, neutralisé et non belligérant, garantira une paix politique et militaire.

Israël dispose de sa technologie militaire surpuissante. 

Le danger n’est pas le combat en défense contre ses ennemis, mais la périlleuse tendance à la soumission aux pressions de dictatures sanguinaires et de démocraties vérolées par des électorats antisémites et des dirigeants couards et “munichois”.

Une fois encore, Israël est un exemple pour le Globe.

©Pierre Saba

5 novembre 2023

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