Quand on veut sortir d’un trou, il faut arrêter de creuser!
En faisant respecter l’interdiction de l’Abataya, Politiquement, le gouvernement joue gros.
C’est l’autorité de l’état français qui est en jeu.
Qu’est-ce que testent les Frères musulmans à travers ces offensives?
Qu’elles soient vestimentaires, alimentaires ou symboliques?
C’est la force de caractère de la France.
Les islamistes veulent importer leur façon de vivre jusque dans les plus petits détails de la vie.
Ils le font, en utilisant tout l’arsenal juridique, moral et émotionnel que la France, met naïvement à leur disposition.
Ils ne se gêneront pas pour l’utiliser dans cette histoire.
De quoi parle-t-on?
-de l’extension à l’infini des droits individuels.
-de la répétition jusqu’à la nausée
-de la culpabilité coloniale.
-des différentes Cours de justice et de leurs jurisprudences.
-des Institutions européennes
-de la gauche mélenchioniste
Qui, dans un même élan victimaire, ont choisi de faire des islamistes, les nouveaux damnés de la terre.
On assiste donc, au spectacle délirant, d’une démocratie libérale, qui protège mieux ceux qui veulent la détruire que ceux qui la défendent.
L’Abaya n’est pas la cause des tensions communautaires, mais la conséquence d’un multi-culturalisme qui s’est imposé aux français sans qu’on leur demande leur avis.
Les gouvernants se sont contentés d’ouvrir les frontières avec une consigne:
LA FRANCE POUR TOUS !
FINALITÉ
il y a des adolescentes, qui sont françaises, qui portent une frontière vestimentaire en classe
et refusent d’intégrer une France qui ne serait pas à leur image.
L’abaya c’est le symbole de l’échec absolu de l’intégration, de l’assimilation et de l’immigration.
On voit bien qu’il est inutile de combattre ce phénomène sans réduire les flux migratoires.
Quand on veut sortir d’un trou, il faut arrêter de creuser!
© René Seror
Il y a un lien entre l’ affaire actuelle de l’ abaya et celle de 2003 sur le voile dans un collègede Creil . Dans les deux cas cela accroît la pression pesant sur les musulmanes ou considérées comme telles.
Un article de Libération décrit très bien ce phénomène :
Des filles non voilées témoignent de la pression qu’elles subissent quotidiennement dans leur quartier à Paris, Lille, Mulhouse ou Avignon.
https://www-liberation-fr.cdn.ampproject.org/v/s/www.liberation.fr/france/2003/12/10/leur-voile-j-ai-envie-de-l-arracher_454783/?amp_gsa=1&_js_v=a9&outputType=amp&usqp=mq331AQIUAKwASCAAgM=#amp_tf=Source :
Merci d’ avoir publié cet article.
Le voile et l’ abaya ne sont pas des bouts de tissu mais des bouts de Charia.