Twitter. Puis, saisi d’un doute, effacer lâchement. Mais certains prennet des captures d’écran.
Avant Hier Caroline Mécary. Hier Clémentine Autain. En commun: la haine. Mention spéciale pour Sandrine.
Une bonne nouvelle : l’antisémite Caroline Mécary ( cf son tweet ignominieux concernant l’affaire HALIMI ) est battue à Paris !
Une autre bonne nouvelle: la déception de … Clémentine, qui s’est réjouie trop tôt: Meyer Habib est élu.
Elle est tellement imbibée d’idéologie qu’elle en massacre la grammaire française. « Merci pour la campagne que vous avez FAIT et faite ». Cette femme a été vice-présidente de l’université de Lille et vice-présidente du conseil régional du Nord-Pas-de-Calais, chargée de l’enseignement supérieur et de la recherche. G. B.
“Petit plaisir du soir”, dit-elle.
On a les plaisirs qu’on peut.
Et celui-là s’est évaporé . Pauvre Clémentine !
G.W Goldnadel a bien répondu, comme d’habitude.
Ce qui encore très peu compris c’est que toute cette fange que l’on nomme “féminisme radical”, “néo féminisme” ou de manière plus juste “feminazisme” est non seulement un antiféminisme mais est également l’une des branches de la mouvance indigéniste, BLM, BDS, wokiste etc…Tous ces individus ont pour unique but de véhiculer l’antisémitisme, le racisme anti-blancs (dont les victimes sont souvent des femmes), ou encore la haine des valeurs universalistes, la haine obscurantiste de la culture et du savoir (*)…Tous ces sites et maisons d’édition se disant “en même temps” féministes radicaux et décoloniaux sont on ne peut plus explicites. Les feminazies ne défendent pas Sarah Halimi mais Kobili Traore. Et elles font partie de la NUPES et LREM (tant les deux semblent difficiles à différencier sur de nombreux sujets). ..
Mais bon, le fait que certains Juifs puissent voter Macron et que l’on en soit encore à parler des fantômes du passé pour masquer les monstres du présent ne m’incite pas à nourrir beaucoup d’espoir sur la capacité de mes contemporains à sortir de leur grotte.
(*) authentique : la Marinette Perrin se vante de ne jamais lire un livre écrit par un homme…