Zineb, ou la “caution laïque” d’E. Macron. Zineb, ou la profonde désillusion ( I )

Nous, ses partisans, avions même rêvé qu’elle fût un jour la Marianne de nos mairies. C’était … avant.

Dans un article titré “Les supporters de Zineb et le test Israël“, nous nous étions un jour alarmés qu’une seule question sur l’engagement de Zineb El Rhazoui face à l’islamisme, question justifiée par des propos très diabolisants sur Israël et son premier ministre qu’elle tint jadis, une simple question donc, déchaînât la haine de ceux qui ne supportèrent pas qu’on touchât à leur idole et qui voulurent voir dans un questionnement légitime un crime de lèse-majesté: 

“En qualifiant, dès 2008, Israël d’Etat raciste et colonialiste dirigé par un criminel, Zineb El Rhazoui, qui abordait avec une ardeur étonnante la cause du peuple palestinien et donc par effet de miroir se livrait à une farouche critique de l’Etat hébreu, a participé avec d’autres à la diabolisation d’Israël qui a nourri l’antisémitisme”, écrivions-nous. “Voilà pourquoi avoir osé soulever la question de l’antisionisme de Zineb Al Rhazoui ne relève pas du blasphème, mais de l’étonnement devant l’incohérence qui réside entre vouloir lutter contre l’islamisme tout en soutenant la Palestine, ledit palestinisme étant une des portes d’entrées majeures du virus islamiste”, poursuivions-nous. “Ainsi, outre que nous aurons vérifié qu’il ne faut pas toucher aux idoles, lesquelles ont toujours une armée de bigots pour vous étriper et mieux les révérer, Charles Rojzman avait raison sur un autre point : son Israël test est un liquide tristement révélateur, comme en attestèrent ces extraits glaçants”, concluions-nous…

C’était le 27 octobre 2019.


Entretemps, la donzelle, qui s’était faite discrète, annonça récemment son soutien à la candidature d’Emmanuel Macron. Ô que ses soutiens furent nombreux à être désarçonnés, puis à conclure à une “trahison” de haut vol.


Aujourd’hui, c’est Mohamed Louizi qui nous interpelle via son compte Twitter officiel, à son sujet: lisez plutôt…

Sarah Cattan

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2 Comments

  1. Derrière Macron et les siens il y a toujours le double langage : le “En même temps” est la marque de fabrique du macronisme. Autrement dit : le double langage. C’est à dire l’art du mensonge et de la manipulation.
    Je ne commettrai pas la même faute qu’en 2017 :

    Errare humanum est, perseverare diabolicum.

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