Albert Chennouf-Meyer. Lettre d’un citoyen au Président de la République


Monsieur Emmanuel Macron,  j’ai 69 ans et je n’ai jamais assisté à un mandat aussi apocalyptique que le vôtre, aussi clivant et mal administré.
Au début de votre élection, vous aviez ciblé les #VIEUX, cette génération dorée qui aurait volé l’avenir des jeunes. Ces mêmes jeunes que vous aviez méprisés en leur faisant la leçon: « Je traverse la rue, je vous trouve du travail » …
Les femmes n’ont pas échappé au châtiment, lorsqu’en 2014 vous leur adressiez cette gentillesse: « Il y a dans cette société une majorité de femmes et il y en a qui sont pour beaucoup illettrées ».
Viennent ensuite les retraités que vous avez massacrés en leur ponctionnant une demi-pension par an, tout en les humiliant et en les méprisant, leur reprochant d’être quasiment tous propriétaires, et les opposant à leurs enfants.
S’ensuivent les Gilets Jaunes. Pendant cette période, vous aviez #pinochétisé nos Forces de l’Ordre, sans lesquelles vous auriez perdu votre trône au prix de nombreux éborgnés, de blessés de toutes sortes et même de morts.
Le personnel de santé a durant des mois sans interruption battu le pavé des rues des villes de France pour se faire entendre, en vain. Il a fallu l’apparition du #virus chinois pour que vous daigniez comprendre ce qu’il vous demandait sans toutefois leur octroyer un kopeck.
En décembre 2019, une pandémie en provenance de Chine tomba sur la tête des français. Le moins qu’on puisse dire, c’est que votre gestion de cette crise sanitaire a été catastrophique. Je pense même qu’il y a eu plus de décès dus à votre gestion que par le virus lui-même.
Le mensonge, la cacophonie, l’incohérence des décisions prises … ! En somme, vous avez profité de la crédulité, voire de la naïveté des français pour fomenter un coup d’État sanitaire et asseoir des lois liberticides.
Vous avez fait ce qu’aucun Président n’a pu faire, à savoir fédérer tous les corps de métier contre vous.

Bravo et je vous remercie. C’est sincère !
Les vieux, les jeunes, les femmes, les retraités, les infirmières, les Gilets jaunes, les restaurateurs, les propriétaires de salles de sports, de boites de nuits, les stations de ski, les fournisseurs, les organisateurs d’évènements, les amateurs de football, de rugby, de handball, les skieurs, les commerçants, les français précaires, les français à qui vous préférez les étrangers, les Universitaires qui ne peuvent ni étudier, ni travailler, les policiers, les gendarmes, les militaires … etc, la liste n’étant pas exhaustive !

À cela, s’ajoute votre dernière interview sur le média #Brut, où vous affirmez, vous le Chef des Armées, que les Forces de l’Ordre sont racistes.
Est-ce que c’est la faute des policiers ou des gendarmes si les malfaiteurs ou terroristes interpellés n’ont pas la bonne couleur ?
Vous vous êtes ému du tabassage de Monsieur #Zecler par 3 policiers. Soit ! Toutefois, je ne vous ai pas vu ému lorsque « #Une chance pour la France » abrégea la vie d’une jeune femme gendarme, ou lorsque 4 autres « #chances pour la France » massacrèrent un chauffeur de bus.
Pourquoi permettez-vous l’incarcération de deux policiers qui ont certes fauté mais n’ont tué personne, alors que vous avez laissé Monsieur #Alexandre Benalla en liberté, traînant derrière lui des affaires judiciaires et politico-médiatiques et ce en qualité de coordinateur de vos différents services lors des déplacements officiels et privés ?
Pourquoi n’avez-vous pas incarcéré le député #LREM #M’Jid El #Guerrab qui avait, en août 2017, asséné deux violents coups de casque sur le crane du socialiste Boris Faure ?
Monsieur le Président, vous vous mesurez souvent au Général De Gaulle, ce qui est une ineptie. Toutefois, pourquoi n’agissez-vous pas comme lui ? Soyez courageux et prenez la décision qu’il priT en 1969, à savoir celle d’organiser un référendum. Ce sera un plébiscite ou un désaveu.
Le sentiment qu’ont les français, c’est que vous vous dirigez, au cas où vous vous représenteriez, à une défaite cuisante et humiliante.

Soyez pour une fois à la hauteur de De Gaulle ! Ayez de l’honneur !
© Albert Chennouf-Meyer.

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