Raphaël Nisand – Tous pour un, un pour tous

L’épidémie de CORONAVIRUS est à présent dans une phase mondiale. Cette crise sanitaire née en Chine sans doute en décembre 2019 doit beaucoup à la négligence et au manque de transparence des autorités chinoises dirigées d’une main de fer par le parti communiste.

Plusieurs milliards d’êtres humains ont à présent perdu une grande partie de leur liberté par le confinement ou craignent pour la vie de leurs proches.
Les juifs de Strasbourg sont lourdement touchés par cette épidémie comme le sont de nombreux autres français.

Refoua chléma à tous les malades, avec une guérison pleine et entière.
On pourrait évidemment participer ici au questionnement général sur la meilleure façon de répondre à la crise.

C’est sûr que l’absence de masques, de gels ou de tests cela interroge et qu’il y aura bien un jour d’après où toute la lumière devra être faite sur le déroulement de la crise sanitaire.

Mais ce n’est pas l’heure. Une stratégie a été décidée au long cours et cette stratégie a pour nom confinement.

Quelles que soient les idées des uns et des autres, quels que soient nos âges et nos situations personnelles, le confinement doit être maintenant notre loi commune.

On peut encore trop souvent voir ici ou là des gens y compris des proches, qui pensent que cette injonction ne les concerne pas, qu’ils passeront sans souci à travers la crise et qu’une sorte de bulle protectrice les entourerait.

Or personne n’est à l’abri et surtout même les classes d’âge qui ne sont pas à risque peuvent involontairement transmettre le virus tueur à leurs proches plus fragiles. C’est donc une simple question de bon sens, de patriotisme mais aussi d’amour de ses proches qui doit conduire chacun d’entre nous au respect strict des consignes de confinement.

Ce sera sans doute long , ce sera sans doute dur , mais il faut que chacun s’approprie cette idée et l’applique : le coronavirus ne passera pas par moi.

En attendant je souhaite vivement à toutes les personnes touchées de guérir rapidement et totalement.

Raphaël Nisand

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