Un groupe de scientifique israélien a réussi à définir le génome du blé, selon le site d’informations NRG.
Depuis des siècles, l’homme a toujours cherché à percer le mystère du génome du blé, mais sans succès. C’est pourtant une poignée de scientifiques d’NRGene, une petite compagnie israélienne située à Ness Tsiona, dans le centre du pays, qui a réussi à déterminer la définition exacte de ce génome, composé de 17 milliards de lettres (le génome de l’homme n’en est composé que de 3 milliards). Mais puisque les choses n’étaient pas assez compliquées, le génome du blé «populaire» est composé de trois plantes ayant chacune, des génomes différents. Il s’agissait donc de découvrir les trois ! Le génome du blé se résume donc à 54.000 livres de 200 pages chacun!
Lors d’un colloque à Bologne en juin dernier, le Dr Assaf Distelfeld a annoncé de manière officielle aux personnes présentes que ses collègues et lui-même avaient réussi à trouver le génome du blé, ce même puzzle sur lequel plus de 1500 chercheurs sont occupés depuis de longues années. Le silence qui s’en suivit était palpable, selon les Israéliens présents dans la salle. L’incrédulité des spécialistes présents sur place a choqué le Dr Distelfeld, qui l’explique par la probabilité que les chercheurs n’aient tout simplement pas cru à la découverte des chercheurs israéliens, tant celle-ci est complexe.
Dr Distelfeld explique son étonnement : «Je pensais recevoir un tonnerre d’applaudissements et que les scientifiques viendraient me voir à la fin de mon allocution pour me demander de voir mes notes, mais absolument personne ne s’est donné la peine de me poser la moindre question. Pour eux, nous ne sommes que la périphérie, ils ne nous ont tout simplement pas crus !»
Cette avancée dans la recherche ne servira pas uniquement les botanistes et les agronomes, elle aura une influence directe sur l’économie mondiale : on pourra désormais fabriquer du pain moins cher et en plus grande quantité dans les endroits du monde où le pain est l’aliment de base, mais aussi et surtout d’en permettre la production là où cela était jusqu’à présent impossible.
Y.B
http://www.israpresse.net/les-
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