Henda Ayari, Tariq Ramadan, la menteuse et la blanche colombe, Par Sarah Cattan

Voilà un leader religieux confronté à un éventuel scandale sexuel ? Un de plus ? Non ? Non. Saurons-nous ne point nous ériger en censeurs du Tribunal des réseaux sans pour autant rejoindre ces fidèles qui déjà crient à la persécution qui s’abat sur de pauvres hommes innocents qu’on chercherait à tout prix à salir.

Ces comportements low cost. Rappelez-vous : nous les avons rencontrés chez les catholiques dénonçant une persécution orchestrée par les média désireux de salir ces prêtres coupables de pédophilie, mais aussi, moins flagrants, quasi inexistants quand le circonciseur de Sarcelles accusé de viol fut mis récemment en examen. Chuuuuut disait la Communauté.

Qu’en sera-t-il pour Tariq Ramadan ? Et d’ailleurs, les fan de celui-là… Sont-ils surtout des observants. Tiens je devrais demander l’avis d’Hocine Drouiche. Hocine mon ami, même s’il est vrai que tu as bien assez à faire dans le combat qui est le tien.

Moi je ne donne pas de leçons, je donne juste l’exemple, disait celle-là. Simone Veil certes. Bon. Comment ne pas penser, au vacarme né des accusations de Henda Ayari envers Tariq Ramadan, à la presque maxime de celle qui décidément reste mon modèle.

Lui, Tariq Ramadan, lorsqu’il ne crie pas aux loups, prétextant la sacro sainte liberté d’expression qu’on aurait bafouée, juste le concernant, lui l’éternelle victime, lui donc, lorsqu’il ne professe pas et n’évoque pas à mi mots ses funestes projets, lui le père de famille qui fait la morale aux femmes, il aurait, à en croire celle que les media appellent l’écrivaine, abusé d’elle.

Dès lors ça se positionne dur sur les réseaux sociaux : les ennemis du frère musulman, ses partisans,  et puis les media. Bon, ceux-là, comme dhab, ils se taisent encore, de façon éhontée. Weinstein ? DSK ? Georges Tron ? Baupin ? Oui. Mais Tariq Ramadan : block out. Allez savoir pourquoi. Pourquoi ? Parce que. Cesse avec tes questions à deux balles d’abord.

Deux camps donc s’expriment. Tout dans la démesure, la jubilation des uns faisant face à la consternation des autres. Des enregistrements de supposés messages laissés sur les répondeurs de ses conquêtes, alors qu’il fait son boarding pour le Qatar, et une video hallucinante où un producteur style La vérité si je mens exige, furibard, une idée pour vendre. Vendre, tu entends. Et là naît l’idée géniale qu’une musulmane accuserait de viol un musulman. Pardon ? Complot tu dis ? Ourdi par un Juif ? Et donc ? Puisque j’te dis qu’il faut vendre. On en est là.

Né de l’affaire Weinstein, ce que d’aucuns nomment déjà le Ramadan Gate nous oblige à nous rappeler que Frère Tariq n’est pas Weinstein, tant en son affaire sexisme se retrouve intimement lié à l’entreprise d’entrisme du sulfureux prédicateur, quand bien même, à l’instar des  Weinstein, DSK, Baupin, tout ça suinte sous fond glauque-névrotico-politique de nos sociétés malades. Ça va faire mal. Très mal. A Tariq Ramadan.  I hope so.

Les faits ? Ils seraient gravissimes s’ils étaient avérés. Si chacun comprend l’importance ici plus que jamais que la vérité soit établie. Que outre l’affaire sexuelle d’une importance que nul ici ne saurait nier, rien de nos sympathies, dégouts ou désillusions ne doit interférer et qu’il faut sagement attendre, tant il est vrai que l’abject individu est à ce jour innocent tant que sa culpabilité n’est pas démontrée.

On appelle ça le Ramadan Gate et, alors que la Justice Française est saisie, l’embarras de son fan-club se fait jour : hystérie, menaces, théories du complot, injures, ébahissement : tout les ingrédients du soap opéra de mauvaise qualité sont convoqués. Ils crient à la diffamation. A la dénonciation calomnieuse.

Elle ? En 2016, dans son témoignage J’ai choisi d’être libre[1], Henda Ayari relatait une agression sexuelle sans révéler le nom de l’homme mis en cause. Pour ma part, écrivait-elle en conclusion du chapitre X de son témoignage, je peine à oublier le comportement pervers et manipulateur de Zoubeyr. Et je pense que d’autres femmes espèrent comme moi qu’il en sera un jour puni. 

Et puis, #BalanceTonPorc aidant, elle jeta ça aux loups, annonçant publiquement les faits et offrant en pâture le nom de l’agresseur, haï ou adoré, le personnage le plus clivant qui soit.

Nous sommes en plein scandale Weinstein. Sera-ce parole contre parole ? Quelles preuves seront-elles retenues permettant que la loi soit dite.

C’est que lui, pour beaucoup, il est le dieu Ramadan. L’icône érigée en star. Par qui ? Par nos media complaisants. Laissant entrer le loup dans la bergerie : entrez donc, faites comme chez vous. Ses adeptes l’ont érigé en dieu, oubliant ce dogme central en islam qu’est l’unicité de Dieu, en faisant une idole, et lui les laissa faire. Lui, et puis son maître, Youssef al-Qaradawi. Les voilà dès lors partisans  d’un gourou. Manipulables à volonté, et puis prêts à tout gober, tout qui fût venu de l’icône en question. En lien avec ceux qui furent mes étudiants mais qui étaient devenus ses adeptes, je me souviens avoir ici perdu, l’espace d’un long temps, certains d’entre eux. Les plus brillants. C’est qu’il était difficile de faire entendre raison à ceux qui étaient entrés en Tariqreligion. Imperméables qu’ils étaient soudainement devenus à toute argumentation logique. S’évertuant à sauver, à tort ou à raison, l’icône mise en cause. Perdant la raison, criant au blasphème.

Rien n’a changé. Y en a bien qui vous disent aujourd’hui que Henda Ayari, elle serait islamophobe. Sauf que moi, de mes étudiants qui me quittèrent pour lui, j’eus l’intense bonheur d’en retrouver beaucoup. Pas tous.

Ils ne sauraient accroire que lui, tel un Weinstein ou un DSK, tel maint inconnu, serait coupable de comportements déviants et pénalement condamnables, tant ç’aurait été à l’opposé des règles morales qui ponctuèrent toujours ses prêches.

Lisez donc Mohamed Louizi, qui, feuilletant pour nous sur sa page Facebook les pages du roman islamiste à l’eau de rose : sexe & scandales, nous en raconte, des leurres du même acabit, qu’ils concernent cet imam-islamiste qui fut aussi imam-exorciste, ou cet imam nordiste, pieux charlatans, qui surent profiter, à moindre frais, de leur assise religieuse pour faire croire, surtout à de jeunes femmes vulnérables, qu’ils posséderaient le remède magique au mal-être psychologique engendré par un divorce ou un échec scolaire : Des fois, la main baladeuse de l’imam glisse plus vite que son regard désireux, effleurant l’attouchement sexuel. La tentation inhibe la morale. La femme se soumet malgré elle. «L’imam dont on attend la baraka a foulé la mosquée avec ses babouches» dit le proverbe marocain. La maison d’Allah se transforme, un laps de temps, en un bordel … bénéficiant de la loi de séparation des Églises et de l’État !

Mohamed Louizi, il nous dit, un peu gêné, le sens de Zoubeyr, un protégé parmi les protégés : Dans le dialecte arabo marocain, on utilise trivialement le terme zoub pour dire zizi. Ainsi le pseudonyme Zoubeyr prend-il une résonnance toute particulière.

Et il convoque cet imam républicain selon certains, réformiste selon d’autres. Très proche d’un qui fut candidat. Décoré de la Légion d’honneur. Grand-aumônier des prisons. Qui ne nommerait en qualité d’aumôniers de prison que des imams frères musulmans, détenteurs de ces postes clefs qui servent à diffuser l’idéologie de l’islam politique en milieu carcéral. Celui-là, de surcroît, aurait, selon des témoignages glaçants, couvert  des affaires concernant des attouchements sexuels, des atteintes à la pudeur, des voies de faits aggravés sur des mineurs dont de très jeunes filles. La charge accusatoire lourde viendrait de la plume de son ex-disciple Djellil Omar. Ce dernier n’ayant à ce jour jamais été attaqué pour diffamation ou dénonciation calomnieuse par notre grand imam bordelais. Les Musulmans de France, ex-UOIF, exerceraient sur les familles des victimes présumées des pressions d’une violence symbolique indicible pour que, ne sollicitant aucune réparation judiciaire, elles se taisent à jamais.

Et Mohamed Louizi de nous interroger sur l’éthique islamique et la protection de l’enfance entre autres.

Djellil Omar ? Mais aussi Zineb el-Rhazaoui, dans son reportage intitulé Saint viol en maison d’Allah publié le 10 septembre 2014 dans le numéro 1160 de Charlie : De Marrakech à la Mecque, en passant par Dakar, les écoles coraniques, lieux où des enfants vulnérables sont placés sous l’indiscutable autorité d’imams souvent frustrés, voient se dérouler des actes pédophiles que l’islam officiel rechigne à reconnaître. Comment les dénoncer quand nombre de muftis autorise encore le mariage des fillettes à 9 ans ?

Eh oui. Mohamed Louizi nous explique qu’en islamistan, cette nation imaginaire fantasmée, des constructions idéalistes de l’esprit nous présentent les islamistes comme des dieux vivants chastes et pudiques, et met un drap sur les incohérences d’un réel islamisme sans maquillage, sans masques, sans voiles.

C’est qu’en islamistan aussi on négocie des arrangements avec la morale que tentent d’imposer aux autres des islamistes tout-puissants, profitant de corps d’enfants terrorisés et attirant dans leurs filets de jeunes femmes, une chambre d’hôtel faisant l’affaire et à défaut une salle annexée à des lieux de culte musulman.

Le hic, c’est la caractérisation du consentement des dites  jeunes femmes. Comment affirmer s’il leur fut  acquis ou si, choc et vulnérabilité aidant, il fut hésitant, voire forcé.

Mais revenons à nos moutons. Acculé à s’exprimer, le philosophe psychologue professeur opposa dès le samedi un démenti formel aux allégations de l’écrivaine, et tout se fit par la voix de leurs avocats à tous deux : Maître Jonas Haddad pour la plaignante, cette ancienne salafiste devenue militante féministe laïque, présidente de l’association Libératrices, le tout pour des faits criminels de viol, agressions sexuelles, violences volontaires, harcèlement et intimidation, et Maître Yassine Bouzrou pour lui, oui oui celui-là même qui défend Adama Traoré et déposa une plainte pour dénonciation calomnieuse auprès du procureur de la République de Rouen, plainte transmise in fine au parquet de Paris. Pour la petite histoire, sachant que j’allais m’intéresser à l’affaire, l’un de vous me prévint que Yassine Bouzrou était un antisémite notoire, qui défendit récemment le terroriste Reda Kriket et insulta, paraît-il, son Confrère Philippe Ohayon en ces termes: je nique ta grand-mère la déportée. Wouaaaa. Moi j’ai du mal à croire. Au tutoiement. Lol.

Des livres refont surface. Concernant le présumé innocent. Celui de Lucia Canovi : le livre Génie de l’Islam lui donna envie de mieux connaître Ramadan, ses hérésies et ses sophismes : c’est là que j’ai commencé à saisir toute la subtilité et la perversité de sa rhétorique. Un certain passage sur le « philosophe-chasseur » pour qui la femme est « une étape dans le dépassement du corps » m’avait interpellée. Et voilà comment naquit Le double discours. Tariq Ramadan le jour, Tariq Ramadan la nuit[2] , qui consacre plusieurs chapitres à la vie privée de l’islamologue. Vie privée et droit à l’information, Le chasseur et ses proies, Sur la piste du chasseur, autant de passages qui livreraient les témoignages de dizaines de musulmanes affirmant avoir été abusées par le saint homme qu’elles traient de pervers sans aucune morale. A combien, à les croire, ne proposa-t-il pas le mariage, marié qu’il était déjà devant dieu et devant les hommes. Un procès ? L’auteur confia à Monde Afrique qu’elle la souhaite, cette opportunité de faire enfin sortir au grand jour cette escroquerie intellectuelle qui présentait l’homme comme un savant théologien musulman qu’il n’était pas.

Celui de Ian Hamel, auteur en 2007 de La vérité sur Tariq Ramadan : sa famille, ses réseaux, sa stratégie[3]. Lui évoque la difficulté à dénoncer cet individu auréolé d’héroïsme : entre suivisme aveugle, mensonges en roue libre, pressions et menaces, des victimes, des témoins se taisent. Crient au scandale. A la manipulation. Allez faire un tour sur Oumma.com. Attention : armez-vous. De zen attitude.

Des voix s’élèvent. Lui, prix Interallié pour L’amour nègre, évoque les frasques de son collègue et son renvoi, pour les raisons que vous savez». Cet autre, Ali Merad, professeur émérite à la Sorbonne, fut menacé d’une plainte pour avoir refusé de cautionner la thèse universitaire hagiographique que Tariq Ramadan voulait consacrer à son grand-père Hassan el-Banna. Il verrait ce qu’il verrait, si le doctorant n’avait pas son diplôme.

D’autres eurent peur de le dénoncer l’imposteur, ce Tartuffe de bas étage. Telle ancienne maîtresse évoque l’islamologue qui se présenta à elle comme le guide qui l’emmènerait vers la lumière. Vite elle découvrit la vraie nature de celui qu’un vaste public vénérait alors que lui trompait son monde sans vergogne. Majda Laroussi parla jadis à visage découvert au Point, apportant des mails et des enregistrements très compromettants pour celui dont le charme rendait les filles baba[4]. Lui. Le petit-fils d’Hassan el-Banna, le fondateur des Frères musulmans.

Celui-là, Mohamed-Chérif Ferjani, islamologue et universitaire lyonnais, évoqua dans un article paru en 2015 sur le site Monde Afrique La face cachée de Tariq Ramadan où il prouve combien l’islamologue niait tout caractère militaire et violent des Frères musulmans. Non rien.

Tous, nous savions tout. Sa thèse universitaire refusée par un premier jury à Genève. Les copieuses insultes qui fusaient à l’encontre de qui osait s’en prendre à pôv chéri. Ces jeunes filles abusées et qui souhaitaient conserver l’anonymat, de peur de représailles sur leurs familles et même parfois sur leurs enfants. Traitées qu’elles étaient de menteuses ou de prostituées à la moindre allusion contre le persécuteur. Le pro de la taqyya. Celui qui, outre qu’il était inféodé au Qatar, prônait en public un mode de vie très strict, évoquant en conférence Les grands péchés, tel le fait pour un musulman d’ oser regarder une femme en bikini ou celui de franchir la ligne jaune, à l’image de ce couple qui se tenait la main sans être marié.

En savez-vous d’autres qui à ce point fussent accusés publiquement de double langage. Et depuis si longtemps. Et impunément. Osant se plaindre qu’on ne l’invitât pas assez.

Alors ? Henda Ayari ? Qui dénonce des faits datant de 2012. Qu’on traite ici ou là d’opportuniste, de paumée qui veut juste booster les ventes d’un livre où elle dit avoir été folle amoureuse de lui.

Face à Tariq Ramadan qui aurait subi une attaque cybercriminelle, un piratage quoi, contre un de ces comptes personnels sur internet.

C’est la guerre sur les réseaux sociaux. Et que j’te balance des sourates pour rappeler à Henda que la délation c’est pas bien et puis pour dire au poète de l’amour que sa conduite n’est pas tip top. Et que j’te compare le salamalaïkoum des messages coquins que tous nous nous partageons avec le salamalaïkoum du conférencier. Et que j’t’explique qu’il dérangeait tellement qu’il fallait lui faire un coup tordu de ce genre.

Mais moi je dis : il est où l’ami Plenel ? Il est où Edwy ? Tant elle était conforme, la formule de J M Bourget, décrivant les deux compères: L’Union Sacrée, celle d’un serrurier chargé d’ouvrir une porte et qui a besoin d’un passe-partout. Il est où, celui qui tendit charitablement les deux mains pour permettre à Tariq et aux siens de franchir un nouveau pas dans leur djihad en prenant en main l’islam en France. Il est où, l’ami de celui qui proposait d’islamiser par le bas, dévoilant son projet : On ne va pas changer toute la France en un an […] Un projet national commence par le local […] Être Français, c’est une situation géographique, ajoutant que lorsqu’on est musulman, on est d’abord musulman : c’est une conception de la vie, c’est le sens de ma vie, de ma mort, c’est au-delà de tout. […] La France est une culture maintenant musulmane. La langue française est une langue de l’islam. Vous avez la capacité culturelle de faire que la culture française soit considérée comme une culture musulmane parmi les cultures musulmanes. Il est où, l’ami du pro de la Taqqiya. Celui qui se rêvait le Mohammed Ben Abbès de Houellebecq. Ce faux universitaire, faux professeur mais vrai imposteur déjà dévoilé par Caroline Fourest dans Frère Tariq. Il est où, l’ami de celui qui s’institua Ni Charlie ni Paris, ni perquisitionnable. Ce faux intellectuel mais vrai propagandiste prétendant vouloir obtenir la nationalité française au nom du vivre ensemble, alors que nous, nous ne voulions pas vivre avec lui. Celui dont la chaire universitaire fut financée intégralement par le Qatar. Celui que protègent des dizaines de guetteurs sur la Toile. Celui qui avance, masqué, ôtant le costume de l’intellectuel pour enfiler celui du prédicateur. Le pro du Tamkine : De l’individu, il faut former le foyer musulman, puis le peuple musulman, puis atteindre le gouvernement islamiste, puis établir le califat, puis reconquérir l’Occident puis atteindre le Tamkine planétaire, expliquait encore Mohamed Louizi, ancien Frère musulman, au FigaroVox. Il est où, l’ami de cet homme qui donnait comme exemple à suivre Youssef Al Qaradâwî, celui qui prônait l’attentat terroriste type kamikaze, l’anéantissement du juifs, la mise en place de la charia avec son fameux pas de mains coupées durant les 5 premières années d’instauration de la charia, sa position sur les homosexuels, un grand modéré donc et modèle à suivre suivant Tariq Ramadan.

Ah mais oui. Souvenez-vous : parce qu’il est brillant, parce qu’il est beau, parce qu’il parle bien, pour certains des islamophobes, il est devenu une cible à abattre, nous prévenait le Directeur de Mediapart.

Mediapart qui prend part au débat, évoquant une Henda Ayari éternelle manipulée : Henda Ayari salafiste manipulée. Henda Ayari épouse manipulée. Henda Ayari amante manipulée. Henda Ayari éternelle victime.

Je vous disais : lui, pôv chéri. Blanche colombe. Auquel Caroline Fourest expliquera que le harcèlement n’était pas du libertinage. Pas plus que le féminisme ne devrait tourner au puritanisme. Que la séduction était un art délicat, élaboré, et consenti.  

Sarah Cattan

[1] J’ai choisi d’être libre – Rescapée du salafisme en France. Henda Ayari. Flammarion. 2016.
[2] Le Double Discours : Tariq Ramadan le jour, Tariq Ramadan la nuit… Lucia Canovi. Editions CreateSpace. 2017.
[3] La vérité sur Tariq Ramadan. Sa famille, ses réseaux, sa stratégie. Ian Hamel. Éditions Favre. 2007.
[4] L’Hebdo. Genève. 1998.

Suivez-nous et partagez

RSS
Twitter
Visit Us
Follow Me

14 Comments

  1. Enfin, les langues se délient.
    En avant, les femmes des familles musulmanes laïques : poursuivez sans relâche la lutte pour l’égalité hommes-femmes. Il en va de l’avenir social et culturel de la France, voire même de l’Europe.

  2. ahaha, cet article fait rire, il est mal sourcé et au regard du nom de ce site, je ne suis absolument pas surpris des propos et affabulations contenues dedans

    et pour finir de rire, citer Caroline Fourest qui a été condamnée et dont les mensonges ont été relevés et avérés ! chapeau à la “”journaliste””/bloggueuse

    • Vous seriez un des rares soutiens du Sieur Ramadan a avoir le coeur à rire encore.
      Mais admettons.
      Il sera aisé à tous les lecteurs de vérifier chaque assertion de ce papier. Concernant Caroline Fourest , quitte à vous chagriner, je vous rappelle que l’affaire a été classée : Caroline Fourest n’a donc pas été condamnée.
      Pour vous défendre, pour «  le » défendre, vous devriez user d’autres armes , plus convaincantes.
      Pour ma part, nulle envie d’en rire, avec ou sans vous: je pense à ceux et celles qui furent abusés par les prêches du prédicateur. Et je laisse la justice statuer.

    • Vous seriez un des rares soutiens du Sieur Ramadan a avoir le coeur à rire encore.
      Mais admettons.
      Il sera aisé à tous les lecteurs de vérifier chaque assertion de ce papier. Concernant Caroline Fourest , quitte à vous chagriner, je vous rappelle que l’affaire a été classée : Caroline Fourest n’a donc pas été condamnée.
      Pour vous défendre, pour «  le » défendre, vous devriez user d’autres armes , plus convaincantes.
      Pour ma part, nulle envie d’en rire, avec ou sans vous: je pense à ceux et celles qui furent abusés par les prêches du prédicateur. Et je laisse la justice statuer.

      • Tiens pourquoi ne pas rappeler l’affaire de HANI Ramadan visé par un complot orchestré par les agences de renseignement Suisses Françaises et israéliennes. Ça vous dit un truc? en fait la manière dont Henda s’y est prise pour DENONCER Tariq Ramadan a été extrêmement mal choisi puisqu’il n’est pas sans rappeler la Lâcheté Et l’art dont l’accusation a été menée. Hani a été piégé par un agent secret employé par la suisse et incité à conduire des jeunes à partir effectuer le Djihâd. Le souci c’est que cela a pas fonctionné car hélas Hani Ramadan n’est pas mauvais, n’est pas un terroriste et n’a aucune relation de connivence avec des groupes terroristes qui rappelons le sont crées de toute pièce par les forces étrangères afin de justifier leur action en territoire étranger. Le fameux agent espion s’est retourné contre son agence de recrutement et s’est converti à L’islam avec conviction alors qu’il était initialement payé pour se convertir à l’islam et infiltrer une mosquée en suisse afin de faire plonger Hani Ramadan. C’est fou tous les
        moyens qui sont mis en œuvre pour détruire des individus intégrés que les forces occultes prennent un malin plaisir à salir juste parce que leur intégrité et leur intelligence sont une menace farc au diable teiologiquement boen reprensebge par l’laliance FRANCE israël États désunis. Monsieur Ramadan a également subi des préjudices et des calomnies en tout genre mais sa puissance intellectuelle est tellement supérieure à ses détracteurs que par la langue’ et la raison il balaye et Humilié Sarkozy Fourest Finkel crotte et des Bhl à la pelle’ comme du vulgaire popcorn. Et oui c’est la puissance de Monsieur Ramadan qui dérange et ses partisans ne le considèrent pas comme Dieu. Ils l’apprécient pour son intelligence et sa capacité à dénoncer le blâmable et prêcher le convenable. On l’accable de double discours mais je ne comprends pas ou est le double discours. Je dirais même que ces propos sont très complotistes à l’heire ou on chasse les consourationistes ll est normal de ne pas accorder de credit à tous ces faux intellectuels Français qui poussent comme de la mauvaise herbe et qui nous ennuient avec leur théorie de double’ discours. Puisse Monsieur Ramadan être innocent 🙂

  3. Putain c koi ce torchon d’article..meme Les Francais on ne croient pas a ce que dit cette folle de Fourest…elle ment comme elle respire..la preuve..elle a ete bani de certains plateaux a cause de ses mensonges..mais bon…un article mediocre qui n’apporte aucune preuve..juste des fanaisie de l’auteur…

  4. Putain c koi ce torchon d’article..meme Les Francais on ne croient pas a ce que dit cette folle de Fourest…elle ment comme elle respire..la preuve..elle a ete bani de certains plateaux a cause de ses mensonges..mais bon…un article mediocre qui n’apporte aucune preuve..juste des fantaisies de l’auteur…

  5. Tariq Ramadan est un imposteur de l’islam, de Dieu, de la théologie, de nous tous…personne ne doit l’accuser pour ce qui est dénoncé…je le désigne comme un imposteur de Dieu qui ne PEUT LE RECONNAITRE CAR DIEU TRAHI…le reste n’intéresse que les abrutis, contre ou pour….

  6. TR est un homme très fort. Mais sérieux! Il est entrain de battre la France avec son propre arme. Les armes de la France sont les médias. À croire que Mr TR est plus fort que la F. TR maîtrise le français plus que tous les français c’est pourquoi la France veut sa chute. Caroline F n’a pas honte de se montré après le déba avec Mr TR.
    TR est un homme que Dieu a envoyé pour montré à ses français qu’en faite ils ne savent rien. Haï ça pique, Haï ça fAGait mal…..
    Ils pouront rien prouvé c’est comme ça ils sont

Poster un Commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*