Amateur de westerns, mon préféré reste « Les Sept Mercenaires » de John Sturges, inspiré des « Sept Samouraïs » d’ Akira Kurosawa.
Les habitants d’un village mexicain vivent sous la terreur de Calvera et de sa bande de pillards.
Ils décident de confier leur sort et leur défense à un groupe hétéroclite de porte-flingues professionnels.
Dans la première partie du film, les mercenaires vont repousser l’attaque des nervis de Calvera.
Effrayés, par la brutalité et les conséquences de l’action des mercenaires qu’ils avaient embauchés, les paysans vont, par couardise, négocier leur soumission à Calvera.
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Israël n’est le mercenaire de personne. Il se bat pour sa propre survie.
Mais son combat contre la théocratie Iranienne, concerne et protège tous ceux qui croient en la liberté des hommes et des femmes.
Passés quelques timides applaudissements après la première attaque israélienne qui a pulvérisé les trois-quarts de l’état-major iranien, nous assistons à de lâches redditions européennes, qui comme les paysans mexicains des « Sept Mercenaires », trouvent qu’Israël va trop loin.
Je ne parle même pas des propos explicitement antisémites de député(e)s LFI qui parlent d’Israël comme « d’un danger pour le monde ». Plus modestement, je dirai que eux ne sont qu’un danger pour la France.
Je ne parle même pas de la ghettoïsation du stand israélien au Salon du Bourget, enfermé entre quatre murs noirs, comme dans un cercueil dont il ne reste qu’à enfoncer les clous. Mais Israël a t-il besoin de ce Salon pour démontrer son savoir-faire militaire ?
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À la fin des « Sept Mercenaires », les villageois se sont enfin libérés des bandits, retrouvent leur honneur et une vie paisible.
Quatre mercenaires sont tombés au combat.
Face à la terreur islamique, ce sont des soldats de Tsahal et des civils de Bat Yam qui meurent.
Pour que le monde retrouve une certaine paix.
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J’ai cru entendre Yul Brynner et Steve McQueen dire : « Am Israël Haï ».
© Daniel Sarfati
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