Le président de la république française, le chef du gouvernement, la présidente de l’Assemblée nationale, joignent à nouveau leurs voix à celles des antisémites de l’extrême gauche française et internationale.
Prétexte antijuif
Quels que soient les avis en Israël sur la situation militaire à Gaza, il s’agit d’un nouveau prétexte à la haine antijuive et aux intérêts politiques, financiers et commerciaux, d’ailleurs erronés, des politiques assoiffés de pouvoirs économiques et de rendements divers.
A l’inverse, les Accords d’Oslo organisant la paix avec la dictature palestinienne et très favorable à cette dernière n’empêchaient pas les mêmes crimes et les mêmes propos de haine perpétrés contre les Juifs en Israël et dans le Monde.
Que la situation soit favorable ou défavorable aux ennemis immédiats d’Israël, la terreur polymorphe antijuive est d’intensité identique.
Falsifications antisémites
La falsification des images, des chiffres et des faits, quasi-tous issus des criminels du hamas et repris par les media français et mondiaux comme dignes de foi et d’intérêt, répondent aux nécessités archaïques de la diplomatie et du commerce.
Les relations commerciales, financières et bancaires entre la France du président Macron et la théocratie qatarie, dont la famille régnante conteste à Israël le droit d’exister et que le parlement français ne parvient pas à élucider, constituent le fer de lance nauséeux de la diplomatie et de la politique française envers Israël en défense.
Diplomatie extravagante
En dépit de quelques tardifs et timides soubresauts du gouvernement français, l’Elysée se soumet aux injonctions et incarcérations décidées par le président algérien.
La position soumise de Paris à Alger est l’antithèse diplomatique de celle infligée à Jérusalem.
Cette dernière se compose de menaces, de votes et d’actes hostiles aux intérêts vitaux d’Israël en défense tout en ignorant la plupart du temps par principe comme par couardise et soumission la nécessité de la libération des otages aux mains des criminels du hamas.
Cette diplomatie contre-productive, colonialiste, extravagante est belliciste. Elle provoque, malgré les dénégations, la haine antisémite en France et dans le Monde.
LFI, Ecolos / Elysée
Le président Macron épouse encore une fois contre Israël les oukases et dénis de Droit de LFI et autres.
L’examen sommaire des abjections antisémites de LFI, Ecolos et consorts et de la politique israélienne de la France officielle atteste de l’identité nocive des conceptions entre les deux.
L’Exécutif français entreprend à l’endroit de Jérusalem une diplomatie du refus, du mensonge d’esprit colonial qui désormais s’identifie aux furies antijuives déjectées en toute impunité par l’extrême-gauche française et internationale, comme à la « diplomatie » des dictatures sanguinaires hostiles à l’existence de l’Etat hébreu.
Qu’une partie de l’opinion publique israélienne s’oppose au gouvernement israélien est légitime et ne change rien au problème ni à sa solution.
L’infamie et l’imposture ne constituent nullement une diplomatie ni un argument de paix ni encore moins une défense des peuples.
© Pierre Saba
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