

L’assassinat politique du jeune influenceur chrétien conservateur Charlie Kirk, tué à seulement 31 ans, sera, à n’en point douter, un moment de rupture, un 𝑡𝑢𝑟𝑛𝑖𝑛𝑔 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡, nom justement de l’organisation des jeunes conservateurs qu’il avait fondée (Turning Point USA).
Représentatif de l’Amérique jeune, de la génération Z, de plus en plus consciente des errements anthropologiques (immigration de masse de remplacement, décivilisation, ensauvagement, insécurité endémique, appauvrissement, ingénierie sociale totalitaire sur le plan des identités, perte totale de repères moraux) dans lesquels l’Occident se fourvoie depuis quarante ans, il incarnait la jeunesse qui avait décidé de tourner le dos aux vieilles lunes de gauche révolutionnaires pour retourner à l’essentiel, à ce qui fonde la civilisation occidentale même.
Individuellement, chrétien évangélique, il inspirait énormément de jeunes en renvoyant consciemment et inconsciemment à l’essence même des États-Unis, comme Trump par ailleurs : une Amérique sûre d’elle, de sa chrétienté, de la croyance fondamentale en la liberté à travers notamment la sacralisation du 𝑓𝑟𝑒𝑒 𝑠𝑝𝑒𝑒𝑐ℎ (celui dont le Royaume-Unislamique ne cesse de se détourner), mais une liberté jugulée par des mœurs conservatrices ancrées dans une certaine religiosité. Ce dernier point est très éloigné de moi, de mon être-au-monde, mais c’est aussi ça les États-Unis, cette singularité nationale les distinguant des autres nations.
Par ce particularisme nationaliste revendiqué, mais ancré dans une universalité chrétienne, il était naturellement l’ennemi d’un totalitarisme mondialiste rêvant du sans-frontiérisme radical (l’idéologie trans), de l’effacement derrière l’idéologie totale caractéristique du fanatisme de gauche depuis la Révolution française.
Il parlait donc aussi, mais depuis l’autre rive, à cette autre Amérique, également de sa génération, celle dédiée corps et âme à cette pulsion de mort, à ce nihilisme.
Libéral authentique, il avait fait du dialogue, du débat d’idées, la force absolue de son mouvement, qui a contribué à la victoire de Trump : par la maïeutique socratique, il amenait le camp du chaos civilisationnel, naturellement celui de la confusion mentale, à dévoiler ses contradictions, ses aberrations, ses illogismes radicaux, pour mieux ramener les brebis égarées, observatrices, dans le droit chemin.
Il n’a pas été tué pour ses idées, ses discours, mais par ce qu’il révélait de celles de ses détracteurs.
C’est malheureusement vieux comme le monde : c’est le Socrate de Platon dans 𝐴𝑝𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒 ; le prisonnier libéré de la Caverne, chez Platon, qui est raillé, rejeté, voire menacé par ceux restés dans ladite caverne parce qu’il voit la réalité et la rapporte ; c’est un thème qui a été illustré maintes fois dans l’histoire de la pensée.
Or, le totalitarisme se fonde sur le mensonge visant à monopoliser la réalité sociale (idéologie totalisante, contrôle de l’information, terreur organisée) et donc à instituer une « vérité officielle » qui remplace les faits ou les interprétations indépendantes.
C’est cela qui a rendu Charlie Kirk insupportable aux yeux de la Gauche.
On voit là les limites de l’approche honnête et sincère de Kirk, cherchant à ouvrir les yeux par le dialogue. La Droite cherche toujours à essayer de séduire la Gauche, pour se rendre acceptable à ses yeux, comme si cette dernière détenait un magistère moral supérieur, quand elle est au contraire ce qui nie la morale la plus élémentaire. Mais le dialogue vaut avec ses adversaires, pas avec ses ennemis. Un ennemi, ça se soumet.
Les Américains ont la chance inouïe, ou plutôt pour être plus exact se sont donné la chance, d’avoir Trump au pouvoir. Il est plus que temps que l’État exerce sa coercition de manière étendue, et sans concession.
Les groupuscules de gauche doivent être dissous, persécutés ; les universités et leurs professeurs complices du pire sanctionnés sans pitié ; toutes les associations communautaristes de type LGBT interdites.
L’État est nul et non avenu s’il ne sait plus exercer la violence légitime, c’est-à-dire la force. S’il ne le fait pas, le spectre de la guerre civile planera alors.
L’histoire des États-Unis est très violente, et la Droite américaine est armée jusqu’aux dents, la Gauche ne semble pas en prendre la mesure. Le rôle régalien de l’État est d’« écraser l’infâme » par la force, pour éviter le bain de sang de la violence.
Il ne reste plus beaucoup de temps aux États occidentaux avant celui-ci, c’est à mes yeux une évidence. Si les Américains sentent qu’il n’y a pas de réponse, ils prendront celle-ci en charge eux-mêmes.
À bon entendeur…
© Sébastien de Crèvecœur
Ancien professeur de philosophie, Sébastien de Crèvecœur est aujourd’hui engagé dans le débat public

« Les groupuscules de gauche doivent être dissous, persécutés »
s’ils commettent des actes de violence ou des incitations manifestes, oui
« les universités et leurs professeurs complices du pire sanctionnés sans pitié »
absolument
« toutes les associations communautaristes de type LGBT interdites »
mmmh, ça dépend ce que vous entendez par communautarisme, énoncé comme ça on n’est plus vraiment dans le libéralisme
prenez vos médicaments et allez dormir. vous êtes vraiment pire qu’un terroriste. vos écrits sont lamentables. pour ma part je vous dirai ce que je pense le peuple israélien et le peuple palestinien ne sont pas responsables de la folie meurtrière du groupe terroriste du Hamas d’un côté et de l’autre de la folie meurtrière de Netanyahou. les peuples peuvent vivre en paix. ce sont les extrêmes qui détruisent les démocraties : politiques, religieux et …
« prenez vos médicaments et allez dormir »
Je vois quels sont les vôtres, les cachets Padamalgam et Célésionist distribués par les labos Bisounours.
« vous êtes vraiment pire qu’un terroriste »
Sans blague, j’ai tué, torturé qui? Où? Quand?
Il y a des modérateurs ici? Je demande les coordonnées, notamment l’adresse IP de ce sinistre individu => avocat, painte etc
Oui Il y a des modérateurs et Oui Ce Masini est passé « à l’insu de notre plein gré » comme dirait l’autre. Navrée. Sarah Cattan
Masini, 3 quart de la population à Gaza et dans les territoires sous contrôle de l’autorité palestinienne en Judée et Samarie, ont approuvé le massacre du 7 octobre 2023.
Le Hamas a été élu démocratiquement avec un programme dans lequel était écrit qu’il fallait extermner les Juifs.
Elu par des adutes qui durant des années ont laissé leurs enfant se faire endoctriner par cette secte islamiste sanguinaire, en connaissance de cause.
Aucun arabe de Gaza n’est aller porter secours aux israéliens après le massacre, ou ont tenté d’empêcher le massacre. Aucun, zéro, nada !
Aujourd’hui si des élections ont lieu, c’est le Hamas qui arrive en tête.. Malgré toutes les horreurs commises par ces terroristes. Malgré tout ce qu’ils sont en train de faire subir à leur propre population.
Trump fait un travail fantastique contre l emprise gauchiste aux USA , la tache est immense et l adversaire est sans foi ni loi , le meurtre de Kirk en est une preuve supplementaire .
Le courant libéral-conservateur depuis 1980, a fait du très bon boulot, avec entre autre le grand David Horowitz. Trump s’inscrit dans la continuité de cette bataille intellectuelle qui a commencé sans lui.
@Nicolas Carras En effet, Ronald Reagan « a fait du très bon boulot »…En soutenant, armant et finançant les Islamistes afghans, contribuant ainsi à la création des Talibans et d’al-Qaida. L’intervention des USA a permis d’obtenir aux barbares islamistes de remporter leur plus grande victoire, avec les conséquences qu’on voit aujourd’hui. La Russie a réussi à se reconstruire mais l’occident a signé son propre arrêt de mort. Quels hommes fantastiques que Reagan et ses amis, en effet ! (les « démocrates » auraient fait comme lui : c’est d’ailleurs Carter qui a lancé le « programme afghan » de la CIA).
Bonjour Sylvain
Je ne vois pas le nom de Ronald Reagan dans mon commentaire.
Pour le reste, allez étudier dans le détail ce dont vous parlez, cela vous évitera de faire ce type de propagande simplificatrice .
Reagan a soutenu des moudjahidines, pas les Talibans ni al-Qaida
Les Talibans n’existent pas avant 1994, bien après le départ des Soviétiques et après la présidence de Reagan.
Donc Reagan n’a jamais soutenu les Talibans, ni directement ni indirectement. Votre commentaire qui prétend le contraire est historiquement faux.
Al-Qaida n’est pas un produit de la CIA : Oussama ben Laden et ses volontaires étrangers ont agi de façon autonome, financés par des dons saoudiens et pakistanais, pas par Reagan.
Vous confondez cause et effet
Reagan voulait affaiblir l’URSS.
La radicalisation et la création des groupes extrémistes sont des effets secondaires indirects, avec des dizaines d’autres acteurs (Pakistan, Arabie Saoudite, vétérans de guerre, guerre civile afghane).
Dire que Reagan « a créé » ces groupes est donc une absurdité historique totale.
Votre vision est manichéenne et simpliste.
Vous ignorez la nuance historique, le contexte de guerre froide, la diversité des acteurs et la complexité de l’Afghanistan post-soviétique.
@Nicolas Carras Évitez de me prendre de haut. Je sais parfaitement de quoi je parle. L’ingérence pro islamiste des USA en Afghanistan a été lancée par Carter AVANT l’arrivée des Soviétiques. Inutile d’essayer de réécrire l’histoire : les faits sont têtus, même s’ils vous déplaisent.
Par ailleurs je n’ai jamais écrit que Reagan avait créé al-Qaida et les Talibans. J’ai écrit (et il s’agit d’un fait) qu’il a soutenu des Islamistes, contribuant ainsi indirectement à la création d’Al-Qaida et des Talibans. https://www.lhistoire.fr/%C2%AB-le-terrorisme-islamiste-est-n%C3%A9-en-afghanistan-%C2%BB
Dans le régime communiste afghan, l’égalité homme femme était établie. Vous préférez sans doute les Talibans ?
Sylvain : « Dans le régime communiste afghan, l’égalité homme femme était établie. Vous préférez sans doute les Talibans ? »
Communisme = 100 millions de morts. Et des dizaine de milliers de morts en Afghanistan, sans oublier les tortures, toute la souffrance engendrée.
Il y avait une guerre contre le communisme et soviétisme à mener, communisme et soviétisme qui ont engendré bien plus de mort et de souffrance au 20e siècle que l’islam politique djihadiste durant la même période.
Au moins un milliard de personne, en dehors des morts, a directement souffert du soviétisme et du communisme.
Concernant l’invasion soviétique en Afghanistan + la guerre civile associée (1978-1989 ou jusqu’à 1992 selon les sources) :
Un minimum raisonnable de 500 000 morts civils pour la période 1979-1988 ou un peu plus.
Certains estiment qu’au total, toutes causes confondues (combats, bombardements, faim, réfugiés, etc.), il pourrait y avoir 1 à 1,5 million de morts.
Par exemple, le chercheur Noor Ahmad Khalidi estime environ 876 825 morts pour la période de 1979-1987.
Aussi, concernant Ben Laden et Al-Qaïda, il est important de détailler :
1. Qui étaient les combattants en Afghanistan ?
Dans les années 1980, l’Afghanistan était envahi par l’URSS.Les Américains, via la CIA (Operation Cyclone), ont soutenu les moudjahidines afghans, principalement des combattants locaux anti-soviétiques.
En parallèle, des volontaires étrangers (appelés parfois les “Afghan Arabs”) sont venus soutenir la lutte.
Parmi eux : Oussama ben Laden, un Saoudien, et des combattants provenant de plusieurs pays arabes.
2. Financement et autonomie
La CIA finançait les moudjahidines afghans locaux, souvent via le Pakistan (ISI), mais pas directement les volontaires étrangers comme Ben Laden.
Ben Laden et ses volontaires étaient financés par des dons privés, principalement venant de l’Arabie Saoudite et d’autres particuliers arabes.
Ils agissaient donc de manière autonome, avec leurs propres structures logistiques et entraînement. — Al-Qaïda a été fondée à la fin des années 1980 par Oussama ben Laden, un Saoudien issu d’une famille milliardaire, et le prédicateur palestinien Abdullah Azzam. Tous deux ont participé à la guerre de résistance contre l’occupation soviétique en Afghanistan. Ils ont créé le Maktab al-Khidamat (MK), une organisation destinée à recruter et à soutenir les volontaires étrangers, surnommés les « Afghan Arabs ». Après la guerre, ben Laden a progressivement pris le contrôle du MK, le transformant en Al-Qaïda, une organisation dédiée à la lutte contre les régimes arabes et l’Occident.
3. Pourquoi la confusion avec la CIA ?
Certains disent que la CIA “a créé al-Qaida” parce que ces volontaires ont combattu contre l’URSS avec des armes et du matériel financés par les États-Unis.
Mais en réalité :
La CIA ne finançait ni n’organisait al-Qaida.
Ben Laden utilisait simplement le contexte de la guerre afghane pour mobiliser des volontaires et créer sa propre organisation.
C’est donc un effet indirect, pas une création volontaire de la CIA.
Contrairement à certaines idées reçues, donc, , Al-Qaïda ne dépendait pas d’un financement étatique direct, notamment de la CIA ou du gouvernement pakistanais. Ben Laden utilisait sa propre fortune familiale pour financer ses activités initiales. Par la suite, l’organisation a diversifié ses sources de financement :
Dons privés : Des particuliers, principalement d’Arabie Saoudite et d’autres pays du Golfe, ont soutenu Al-Qaïda, souvent via des organisations caritatives ou des mosquées.
Organisations caritatives : Certaines ONG, comme la Muslim World League et l’International Islamic Relief Organization (IIRO), ont été accusées d’avoir facilité le transfert de fonds vers Al-Qaïda. Bien que ces organisations aient des liens avec le gouvernement saoudien, elles opéraient indépendamment de la politique officielle du royaume.
Activités criminelles : Al-Qaïda a également généré des fonds par des activités illicites, telles que le trafic de drogue, le vol, l’extorsion et la fraude.
Selon un rapport de la Commission du 11 septembre, Al-Qaïda n’avait pas de « trésorerie centrale » ; elle dépendait de réseaux financiers décentralisés et de facilitateurs pour lever et déplacer des fonds.
Le Pakistan, par l’intermédiaire de son service de renseignement (ISI), a soutenu les moudjahidines afghans pendant la guerre contre l’URSS, souvent en coordination avec la CIA. Cependant, ce soutien était principalement destiné aux groupes locaux afghans et non aux volontaires étrangers comme Al-Qaïda. Après la guerre, bien que certains éléments de l’ISI aient été accusés de soutenir les Talibans, il n’y a pas de preuves substantielles que le gouvernement pakistanais ait financé ou soutenu Al-Qaïda directement.
Maintenant vous parlez de Carter… Il était question de Reagan dans votre commentaire plain de fausseté. Votre vision simpliste évite la complexité de l’affaire… Vous faites de la propagande… Réduire toute la responsabilité aux USA ignore le rôle d’autres acteurs : Pakistan (ISI), Arabie saoudite (financement idéologique), réseaux panislamistes, etc. Sans ce soutien parallèle, les jihadistes n’auraient pas eu la même influence après 1989.
Concernant Carter, Oui, Carter a autorisé une aide secrète à l’opposition afghane avant l’invasion soviétique. C’est le fameux mémo de Zbigniew Brzezinski (conseiller de Carter) du 3 juillet 1979, qui donne le feu vert à la CIA pour soutenir les opposants au régime pro-soviétique de Kaboul. Brzezinski lui-même l’a reconnu dans une interview de 1998 : « Cette aide secrète a eu pour effet d’inciter les Soviétiques à intervenir. »
L’objectif était clair : tendre un piège à Moscou en l’attirant dans une guerre coûteuse, façon « Vietnam soviétique ».
Quand vous écrivez « Ingérence pro-islamiste », c’est anachronique et bien simplificateur.
L’objectif de Washington n’était pas de propager l’islamisme, mais d’affaiblir l’URSS. Les Américains ne faisaient pas la différence entre islamistes radicaux et résistants traditionnels afghans ; ils armaient les groupes qui semblaient les plus efficaces contre les Soviétiques.
Cette aide initiale était limitée.
Les gros flux d’armes et de fonds n’arrivent qu’après l’invasion soviétique de décembre 1979 et surtout sous Reagan (via l’opération Cyclone).
Cela n’a pas « créé » automatiquement Al-Qaida ou les Talibans.
Cela a certes favorisé la montée de certains réseaux jihadistes, mais la radicalisation et la création de structures comme les Talibans viennent plus tard et sous d’autres influences (Pakistan, Arabie Saoudite).
que de bénédictions sur un personnage tel que lui. Un violeur, qui ne devrait même pas avoir eu le droit de se présenter, un homme vulgaire, et qui n’a aucune réelle humanité. désolée je comprends mal le « fantastique » là dedans. il a certes de la poigne mais si cest pour être inhumain, méchant, sadique et cruel; je ne pense pas qu’on doive remplacer le mal par un mal encore plus mauvais. il tient des propos horribles sur les femmes et vous trouvez moyen de le trouver fantastique.
« L’histoire des États-Unis est très violente »
Non… L’histoire de l’Europe oui.
55 à 73 millions de morts dus aux guerres en Europe entre 1800 et 2000.
Selon plusieurs bases de données historiques (p. ex. Correlates of War, Levy 1983), plus de 2 000 conflits armés (de petite ou grande envergure) ont eu lieu en Europe entre l’an 0 et aujourd’hui.
Plus de 100 millions de morts en 2000 ans.
En Amérique depuis son indépendance : 1 seule guerre totale interne (la Sécession).
Quelques guerres limitées (1812, Mexique). Et les guerre indiennes.
« Les groupuscules de gauche doivent être dissous, persécutés ; les universités et leurs professeurs complices du pire sanctionnés sans pitié ; toutes les associations communautaristes de type LGBT interdites. »
Je crois que vous avez oublié ce que sont les Etats-Unis… Un pays de liberté. Et c’est inscrit dans la constitution.
Faites le ménage chez vous pour commencer… La France est un pays de destruction des libertés individuelles, sans vraie droite libéral conservatrice, mais socialo-étatiste, jacobine, progressiste, planificatrice, réactionnaire, passant une partie de son temps a diaboliser Trump et à prendre les Français pour des cons, avec une partie assez bête pour continuer a voté pour ces imposteurs, qui n’hésite pas a faire passer Israël pour un pays d’occupation. « Israël, sûr de lui et dominateur, a décidé de s’agrandir encore et de s’installer sur les territoires qu’il avait pris lors du conflit. » – Colonel De Gaulle, 27 novembre 1967. Il a fait grande école…
Merci.
premièrement général de Gaulle. Trump et en train de détruire les bases de la démocratie des USA. la France ne détruit pas les libertés. et pour finir au lieu de vouloir refaire l’histoire. prenez des cours d’histoire sur l’Europe. cela vous fera le plus grand bien. Et pour ce qui est des morts. le nouveau monde quand il a été découvert : à fait des morts par dizaines de millions. Alors modéré vos propos et surtout quand l’on est ignorant comme vous l’êtes. l’on se taie.
« le nouveau monde quand il a été découvert : à fait des morts par dizaines de millions »
s’agissait-il d’américains (en devenir) ou d’Européens (fraichement arrivés). Ce genre de réflexion vous dépasse sûrement.
« quand l’on est ignorant comme vous l’êtes. l’on se taie »
D’oreiller? Vrai, vous devriez y laisser votre tête, H24.
Masini, bonjour.
1 – Vous écrivez : « premièrement général de Gaulle »
Non, colonel. Désolé. De Gaulle n’a été général que par décision administrative et politique, pas par un parcours militaire classique au sein de l’armée. IL a été nommé le 25 mai 1940 « Général de brigade à titre temporaire » : Ce grade était provisoire et accordé pour l’exécution de sa mission (organiser une contre-attaque). Il n’a jamais été confirmé « à titre définitif » par le gouvernement de Vichy (qui le dégradera même).
Il n’a donc jamais été général de division, de corps d’armée ou d’armée comme les « vrais » grands chefs militaires.
De Gaulle était bien colonel « de carrière », promu général de brigade à titre temporaire. Après la guerre, il reste « général de brigade », mais c’est surtout un titre devenu honorifique.
Formellement, au sens strict de la carrière militaire, Charles de Gaulle est resté colonel.
Désolé.
2 – Vous écrivez : « la France ne détruit pas les libertés. »
Les libertés fondamentales atteintes en France (aujourd’hui)
– Liberté contractuelle
Principe : Chaque individu doit pouvoir conclure des contrats librement, selon sa volonté et son intérêt.
Atteintes :
Législation très contraignante sur le droit du travail (Code du travail hypertrophié, plus de 3 500 pages).
Encadrement des loyers, interdiction de certaines clauses (pénales, indexation, etc.).
Obligation de suivre un formalisme excessif, contrôles multiples, taxation de chaque transaction.
Résultat : les individus et entreprises ne peuvent plus organiser librement leurs relations économiques.
– Liberté fiscale (propriété de son revenu)
Principe : Chacun doit pouvoir jouir des fruits de son travail.
Atteintes :
Prélèvements obligatoires parmi les plus élevés du monde (45 % du PIB).
Fiscalité lourde et complexe (impôt sur le revenu, TVA, CSG, IS, IFI, droits de succession, taxes locales…).
L’impôt devient confiscatoire et limite la liberté individuelle (choix de consommer, d’investir, d’épargner).
C’est une atteinte directe à la propriété privée, puisque l’État prélève par contrainte plus de la moitié du revenu de certains contribuables.
– Liberté d’expression
Principe : Dire, écrire, publier librement ses opinions.
Atteintes :
Lois Gayssot, Pleven, Avia : délit d’opinion étendu (ex. contestation de certains événements historiques, « discours de haine » définis de façon floue).
Censure indirecte via les plateformes (obligées de retirer des contenus sous peine de sanctions).
Auto-censure grandissante (peur de procès, de campagnes médiatiques ou de licenciement).
– Liberté d’association et d’entreprise
Principe : S’unir librement pour un projet commun.
Atteintes :
Création d’entreprise très réglementée (licences, diplômes obligatoires, paperasse).
Associations surveillées (possibilité de dissolution administrative élargie).
Normes et obligations qui rendent l’initiative privée coûteuse et risquée.
– Liberté d’enseignement et de transmission
Principe : Les parents choisissent l’éducation de leurs enfants.
Atteintes :
Restriction massive de l’école à la maison (loi de 2021).
Contrôle étatique renforcé sur les programmes scolaires des écoles privées hors contrat.
Monopole culturel et idéologique croissant de l’Éducation nationale.
– Liberté de culte
Principe : Pratiquer sa religion sans entrave.
Atteintes :
Surveillance et restrictions administratives pour certains cultes (fermetures de lieux de culte par simple arrêté préfectoral).
Lois sur le « séparatisme » qui permettent des dissolutions d’associations religieuses sans décision judiciaire préalable.
– Liberté de circuler et de disposer de son corps
Principe : Se déplacer et disposer de soi librement.
Atteintes :
Limitations de déplacement (pendant le Covid, mais aussi ZFE – zones à faibles émissions).
Obligation vaccinale dans certains secteurs, pass sanitaire (atteinte à l’autonomie corporelle).
Interdiction ou restriction de certains comportements personnels (drogues, prostitution volontaire).
– Liberté de la presse et pluralisme de l’information
Principe : Médias libres et pluralistes.
Atteintes :
Concentration des médias entre quelques groupes liés à l’État ou dépendant de ses subventions.
Lois sur les « fausses nouvelles » pouvant servir à limiter les opinions divergentes.
Pressions politiques et judiciaires sur les journalistes d’investigation.
– Liberté de défendre ses droits (État de droit)
Principe : Accès égal à la justice, protection contre l’arbitraire.
Atteintes :
Complexité et lenteur de la justice.
Multiplication de textes flous (crimes d’opinion, lois d’exception).
Surveillance numérique (Caméras, IA, fichiers, loi sur la cybersurveillance).
– Liberté économique globale
Principe : Produire, échanger et consommer sans entrave.
Atteintes :
Hyper-réglementation (code de l’urbanisme, code de l’environnement, etc.).
Protectionnisme déguisé, subventions faussant la concurrence.
Interdictions arbitraires (produits, services, publicités, horaires d’ouverture).
— Liberté de se défendre et légitime défense en France
Principe universel : La légitime défense est un droit naturel reconnu depuis l’Antiquité : chaque individu a le droit de se protéger lui-même et de protéger autrui contre une agression injuste.
En théorie, c’est une liberté fondamentale : on ne devrait pas dépendre de l’État pour sauver sa vie ou celle des siens.
Régime en France : Le Code pénal (articles 122-5 et 122-6) reconnaît la légitime défense, mais sous des conditions très strictes :
L’agression doit être injuste, actuelle et réelle.
La riposte doit être simultanée (pas après coup).
La riposte doit être proportionnée à l’attaque.
L’intention doit être de se défendre, pas de se venger.
Problème : ces critères sont souvent interprétés de manière restrictive par la justice.
Atteintes à cette liberté : Criminalisation fréquente des victimes : des personnes agressées se retrouvent poursuivies parce qu’elles ont « dépassé » la proportionnalité.
Interdiction stricte du port d’armes : en France, le citoyen ordinaire n’a quasiment aucun droit de porter une arme à feu ou de défense.
Délai judiciaire long et incertain : la légitime défense n’est parfois reconnue qu’après des années de procédure, alors que l’individu a déjà été traité comme un suspect.
Culture de suspicion : la jurisprudence a tendance à protéger l’agresseur si celui-ci est blessé ou tué dans la riposte, surtout si la riposte dépasse un « strict minimum ».
Conséquences concrètes : Beaucoup de citoyens hésitent à se défendre, de peur d’avoir des ennuis judiciaires plus graves que leurs agresseurs.
Cela crée une dépendance accrue à l’État (police/justice), alors que ceux-ci ne peuvent pas toujours intervenir à temps.
Cela affaiblit le sentiment de sécurité et favorise l’impunité des délinquants.
La légitime défense est reconnue en théorie mais limitée en pratique.
En ce sens, on peut dire que la liberté de se défendre soi-même est atteinte en France, car l’État monopolise presque complètement le droit à la violence légitime et punit souvent ceux qui prennent leur sécurité en main.
Conclusion :
La France reste une démocratie formelle, mais presque toutes les libertés classiques sont désormais limitées, encadrées ou conditionnées.
La surpression fiscale est bien une atteinte directe à la liberté individuelle car elle prive l’individu du fruit de son travail et l’oblige à financer des politiques qu’il n’a pas choisies — ce qui en fait une contrainte comparable à une servitude partielle.
Re désolé…
3 – Vous écrivez : « le nouveau monde quand il a été découvert : à fait des morts par dizaines de millions »
Déjà il est question ici des Etats-Unis. Vos ête donc a coté.
Il y a eu un choc viral… Des maladie qui ont engendré une chute démographique au sein des population indiennes, amérindiennes. Il n’y pas eu génocide, ni de plan pour exterminer des millions de personnes.
Re re désolé
4 – et pour finir au lieu de vouloir refaire l’histoire. prenez des cours d’histoire sur l’Europe.
Vous ne remettez pas en question, ce que j’ai écrit. Et c’est doublement un argument
d’autorité : Sous-entendre que mon propos est faux – mais sans expliquer pourquoi.
Faire appel à une supposée autorité (celle des « cours d’histoire ») pour te disqualifier.
Re re re désolé
Dans un pays civilisé (ce que n’est plus la France) l’incitation à la haine et l’apologie du terrorisme ou de crimes contre l’humanité ne relèvent pas du droit d’expression : ce sont des délits très graves. Dans de véritables États de droits, les mouvements islamonazis (BLM, Nation of Islam, PIR, LFI etc) auraient été dissous et mis hors d’état de nuire depuis longtemps. Une véritable démocratie (le contraire de la France ou des USA) ne tolérerait pas ce qui met en danger la vie d’innocents : le racisme et l’antisémitisme ne sont pas des « opinions » mais des délits.
Le jacobinisme qui persiste … Les Etats-Unis ne sont pas un pays de jacobins… Vous ne comprenez pas que tout système de censure centralisé pourra être également utilisé pour empêcher le bien de s’exprimer. Et le bien pourra être classé incitation à la haine… On peux le voir en France, ou vous pouvez être accuser de discours de haine alors que vous faites le bien. Voilà où mène le jacobinisme … qui a exercé la censure de manière très systématique et centralisée pendant la Révolution française, surtout durant la période de la Convention (1792-1795) et plus encore sous la Terreur (1793-1794).
Mais qui a imprégné tout le XIXᵉ siècle français, y compris dans sa manière d’utiliser la censure pour « protéger la République » ou, paradoxalement, l’État centralisé.
Et ce jacobinisme ne disparaît pas au XIXᵉ siècle : il se transforme, il se sécularise et il se républicanise encore davantage au XXᵉ siècle.
Une entité sectaire et malveillante pourra s’installer dans l’état et son système centralisé prenant le droit de censurer…
— « La censure aboutira principalement à décourager tout savoir et à arrêter le cours de la vérité de sagesse civile et religieuse. Même si l’on laissait souffler sur la terre tous les vents des doctrines contraires, dès lors que la vérité aussi se trouve parmi elles, on aurait grand tort de permettre et d’interdire, car cela reviendrait à jeter un doute sur la force propre de la vérité. Laissez-la s’empoigner avec l’erreur. Qui a jamais vu la vérité avoir le dessous dans une controverse libre et ouverte ? Réfuter librement l’erreur est le plus sûr moyen de la détruire. » – John Milton, Areopagitica, 1644.
Et sans oublier l’extermination des Juifs d’Europe, et la déportation des juifs de France par l’état français. Je crois qu’en matière de violence le Français, l’Européen, n’a strictement aucune leçon a donner à l’Amérique.
Franchement vous êtes à vomir. vous voulez refaire l’histoire. faites vous soigner.
Masini, j’avais oublié les crimes durant la révolution française, un holocauste national, ayant grandement inspiré les totalitarismes du 20e siècle… et suivis des guerres napoléonienne, une boucherie totale organisé par un détraqué criminel de guerre.
Total global sur la décennie révolutionnaire : 200 000 à 300 000 morts (sans compter les guerres étrangères contre les coalitions européennes, qui ajoutent plusieurs centaines de milliers de morts militaires).
Nature des crimes :
Massacres de masse (Vendée, noyades, fusillades collectives).
Exécutions politiques (guillotine, tribunaux d’exception).
Assassinats populaires (lynchages, pillages).
Déportations (prêtres, suspects politiques).
Persécutions religieuses (profanations, destructions de monastères et églises).
Bonne journée ! HA HA HA !
cet assassinat est un attentat fasciste. A mettre en relation avec le meurtre raciste d’une Ukrainienne par un Noir à New York. Trump s’indigne et à juste titre. Quand le même genre de crime raciste se produit au Royaume-Uni ou dans l’Hexagone, le pouvoir et les médias disent : « Circulez, il n’y a rien à voir ». Macron et Starmer sont des criminels de masse. C’est une bataille civilisationnelle qui se joue en ce moment. Bataille que l’Europe de l’Ouest a déjà perdu.
@Joseph29 Oui, et pas un mot des associations prétendument antiracistes ni du monde du spectacle : ce qui en dit long sur leur nature abjecte. Cette jeune Ukrainienne a quitté la barbarie de la guerre et a été tuée par une autre barbarie : celle du racisme anti-blancs et anti occidental qui tue régulièrement dans l’indifférence générale. Ceux qui le pratiquent et le prônent sont également antisémites et antisionistes. Ce silence médiatique est presque aussi effrayant que l’acte lui-même.
Ce Charlie Kirk était violemment opposé à l’avortement à un point tel que ses odieux propos réitérés ont toujours constitué une insulte permanente à la grande dame que fut Simone Veil.
Simone Veil ne fut pas pour l’avortement incontrôlé , elle fut pour une interruption de grossesse pour que les femmes ne meurent pas en se faisant du mal ou en ayant à faire à ce qui étaient nommés à l’époque « des faiseuses d’anges ». Simone Veil aimait la vie elle savait combien elle était précieuse; elle fut déportée.
« Ce Charlie Kirk était violemment opposé à l’avortement »
Pouvez vous nous expliquer la violence de Charlie Kirk concernant l’avortement ?
Des exemples de violence de sa part ?
Et quand a t-il insulté Simone Veil ?
Merci.
Merci pour cet article
Il a fait un travail magique contre l’obscurantisme
Il a lutté contre toutes les haines
Paix à son âme
Je vous félicite, Nicolas Carras, pour cet énoncé parfait.
Un potentiel président… assassiné !
Avez-vous vu sur CNews, lors de la journée du 10, ce jeune militant d’extrême-gauche, prêt à frapper le journaliste qui l’interroge sur les raisons de ses transes émeutières et qui portait ce tee-shirt blanc sur lequel était écrit en lettres de sang : « eat the rich » (mangez les riches) ?
Il ne s’agit plus pour la gauche radicale de faire disparaître symboliquement ou physiquement ceux qui sont ses adversaires, ceux qui ne pensent pas comme eux, soit une très grande partie de l’humanité, il s’agit désormais de les dévorer, de digérer leur chair après avoir effacé jusqu’à la trace de leur nom.
Et quand tous les riches auront été dévorés à l’occasion de ces agapes sexarépublicaines en qualité de plat principal, il est fort à parier que le tour viendra de cuisiner les moins riches pour finir par servir en pot-au-feu les plus bas morceaux, à savoir les plus pauvres. La révolution dévore ses enfants, c’est bien connu. Et parfois même tout cru.
Je ne crois pas que l’anthropophagie soit un projet politique compatible avec ce qu’on nomme habituellement la civilisation. Je suis même sûr du contraire, et cela doit valoir aussi pour cette nouvelle civilisation créolisée dont Mélenchon s’est fait le chantre, si elle se veut encore une civilisation capable de chasser la barbarie. Si donc une telle formule n’est pas une simple hyperbole destinée à épater le petit-bourgeois, une saillie surréaliste, si elle est vraiment la formulation d’un programme, alors je dirais à notre jeune militant que je préfère de beaucoup être un fasciste qu’un cannibale. En espérant avoir le loisir de lui expliquer, au moment du café, ce qu’était réellement le fascisme, enfant du socialisme, de lui apprendre qui était « Monsieur » Pétain, lequel, comme lui, aimait beaucoup les Juifs, toujours au menu de ses repas quotidiens.
@Nicolas Carras
En réponse à certains de vos propos précédents.
1°) Êtes-vous vraiment sérieux quand vous écrivez, je vous cite : « Il (de Gaulle) a été nommé le 25 mai 1940 général de brigade « à titre temporaire » : ce grade était provisoire et accordé pour l’exécution de sa mission (organiser une contre-attaque (sic)). Il n’a jamais été confirmé « à titre définitif » par le gouvernement de Vichy (qui le dégradera même) ». Si je vous comprends bien de Gaulle usurperait son titre puisque son grade, obtenu, dites-vous, à titre temporaire – avant toutefois le 10 juillet 40, date à laquelle l’Assemblée de Front Populaire votera les pleins pouvoirs au Maréchal Pétain – n’aurait jamais été validé après coup par le gouvernement de Vichy, gouvernement dont la légitimité politique ne va pas de soi, me semble-t-il. Et parce que Vichy aurait dégradé le général de Gaulle pour en refaire un simple colonel, il faudrait donc entériner cette décision et appeler en toute rigueur de Gaulle : « colonel », comme vous le prétendez ? Suivre Vichy plutôt que l’usage commun sur ce point, c’est montrer plus d’extravagance que d’exactitude. Quand on connaît « Monsieur » Pétain que de Gaulle connaissait aussi parfaitement – « ce vieux libertin ! », disait de Gaulle en parlant de lui –, il ne faut pas s’étonner de sa mise au ban par Vichy ; il vaudrait même mieux s’en féliciter. Tout le monde n’a pas la chance d’être décoré de la francisque, et d’être photographié serrant la main du Maréchal, afin de témoigner de sa fidélité à sa personne. La postérité a convenu d’appeler de Gaulle, « général », ou même, « mon général » pour les plus fervents de ses admirateurs. Ainsi quand vous le nommer « colonel », pour démasquer en lui un usurpateur galonné, vous tordez l’usage commun avec complaisance, espérant que quelqu’un vous reprenne pour avoir le plaisir de le corriger et faire étalage de votre « érudition » vétilleuse qui verse, hélas, dans l’amour des paradoxes et l’expression suffisante d’une désolation feinte.
2°) Vous répondez : « non » à qui prétend que l’histoire des États-Unis aurait été très violente. Revoyez, afin de réviser votre jugement, l’admirable film de John Ford intitulé « les Cheyennes » et sorti en 1964. Le parallèle saisissant qui est suggéré tout au long de ce chef d’œuvre entre le sort de ces Indiens confinés dans leur réserve de l’Oklahoma et affamés par la soldatesque fédérale et celui des juifs polonais du ghetto de Varsovie exterminés par les SS, viendra peut-être jeter une ombre sur le tableau irénique de l’histoire des États-Unis que vous vous figurez. Les crimes d’une nation – qui peut les nier ? – ne sauraient effacer la grandeur de son histoire, n’en déplaise à cette haine de soi wokiste et décolonialiste qui n’en retient que les seuls crimes. Je ne connais pas de nations dans le monde dont l’histoire n’ait pas été entachée de violence ou de massacres parfois abominables. Faites m’en part si vous en connaissez une, afin d’éclairer ma lanterne. Car une nation est d’abord une conscience de soi qui se constitue historiquement par l’affirmation d’une identité commune en opposition plus ou moins violente aux identités affirmées par d’autres, chacune souvent de manière exclusive, et qu’il ne faudrait pas confondre avec du racisme ou de la xénophobie, comme le croit abusivement la gauche dans sa lutte toute verbale contre le fascisme, devenue l’unique raison de son existence. Le métissage n’est pas toujours une loi de l’histoire, même s’il faut en reconnaître peut-être l’effectivité à long terme. Ce ne sont jamais les bons sentiments ou les préceptes de la psychologie positive qui conduisent la vie des peuples. La Grèce est le fruit des guerres médiques et de l’Odyssée, d’une différence posée entre la « civilisation » et la « barbarie », sans parler d’Israël, fruit de la Thora et des guerres incessantes qu’il dut livrer au cours de son histoire afin de survivre et de pouvoir transmettre la splendeur de son héritage.
De Gaulle a formellement été colonel… Général est bien un titre honorifique après la deuxième guerre mondiale.
Il a bien été nommé Général temporairement.
George Patton par exemple, est un vrai général. Il a gagné ce grade via son parcours de soldat.
« l’admirable film de John Ford intitulé « les Cheyennes » et sorti en 1964 »
Je ne savais pas que John Ford était un spécialiste de l’histoire des Guerre indiennes.
Les combattants Indiens ont également massacré des milliers de civils (femmes, enfants, vieillards) venus d’Europe au 19e…
Si elles en avaient eu la puissance militaire nécessaire, certaines tribus (Apache, Sioux, Cheyenne et Arapaho, Kickapoo et Kiowa) auraient massacré la totalité des européens au 19e siècle.
Il n’y a pas eu de plan pour massacrer la totalité des Indiens d’Amérique.
Vous mettez sur un même plan critique le sort des indiens confinés dans leur réserve de l’Oklahoma et affamés par la soldatesque fédérale a celui des Juifs d’Europe entre les années 1930 et 1940 ?
C’est une plaisanterie ?
Aussi, concernant les trails of tears, il y a eu des condamnations internes à l’époque : certains hommes politiques, journalistes et missionnaires ont critiqué la politique fédérale, la corruption des agents et les mauvais traitements.
Les médias de l’époque ont rapporté les famines, les maladies et les abus dans les réserves, parfois en suscitant l’indignation publique.
Certains membres du Congrès et de la magistrature ont exprimé leur opposition :
Des sénateurs et représentants ont dénoncé la violence et la famine résultant des déplacements.
La Cour suprême, dans l’affaire Worcester v. Georgia (1832), a jugé que les lois de Géorgie violant la souveraineté Cherokee étaient inconstitutionnelles.
Jackson aurait répondu (probablement apocryphe) : « John Marshall a rendu sa décision ; maintenant, qu’il l’applique ! » — montrant la résistance exécutive à la mise en œuvre de protections légales.
Des personnalités comme Davy Crockett ou des journalistes et missionnaires ont publiquement critiqué les conditions des déplacements et les famines.
Des associations religieuses ou philanthropiques de l’époque ont essayé d’apporter de l’aide aux tribus déplacées. … Quakers, presbytériens et méthodistes. ont fourni nourriture, vêtements, abris et soins médicaux dans les réserves. Des organisations de bienfaisance urbaines (ex. à Philadelphie ou Boston) ont envoyé des fonds ou du matériel. Ces groupes ont joué un rôle clé dans la publication de rapports et d’ouvrages dénonçant les injustices.
Certains ont dénoncé publiquement les abus et les famines.
Donc, contrairement à certaines idées reçues, ce n’était pas un secret, et il y a eu des débats et des condamnations à l’intérieur même des États-Unis, même si ces critiques n’ont pas toujours entraîné de changements immédiats.
Et plus tard des auteurs comme Helen Hunt Jackson (A Century of Dishonor, 1881) ont dénoncé publiquement les injustices subies par les tribus.
Ce jeune père de famille, chrétien évangéliste qui soutenait Israël, avait courageusement entrepris, avec débats et rencontres, de mettre un frein à la déchéance de la société occidentale de plus en plus pervertie par les agissements de wokes et de progressistes, islamos collabos totalement dénués de bon sens comme de moralité, et qui sont en train de saper tous les fondements de notre civilisation sous des prétextes mensongers cachant mal leurs intentions destructrices.
Il avait de belles valeurs que n’ont pas ses adversaires, eux qui ne respectent pas la vie et qui donc l’ont tué. Pas de débat pour eux : ils tuent.
Il faut soutenir et continuer l’ oeuvre de cet homme de bien.
« Or, le totalitarisme se fonde sur le mensonge visant à monopoliser la réalité sociale (idéologie totalisante, contrôle de l’information, terreur organisée) et donc à instituer une « vérité officielle » qui remplace les faits ou les interprétations indépendantes.
C’est cela qui a rendu Charlie Kirk insupportable aux yeux de la Gauche. »
L’ extrême gauche gauche manipule les faits comme rappelé ci-dessous.
M. Julien Odoul alerte M. le ministre de l’intérieur sur l’urgence de dissoudre le collectif « Urgence Palestine » et le groupuscule d’extrême gauche ultra-violent la « Jeune Garde Antifasciste ».
En effet, ces mouvements d’extrême gauche prônent en permanence la violence et la haine contre les Français de confession juive tout en se livrant à des actions qui menacent l’ordre républicain.
En premier lieu, le collectif « Urgence Palestine », sous couvert de défendre la cause palestinienne, se fait le relais de la propagande du groupe terroriste et islamiste du Hamas, responsable du massacre de 48 citoyens français le 7 octobre 2023 en Israël, notamment en diffusant une haine antisémite nauséabonde.
https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/17/questions/QANR5L17QE1264
Le PIR, Urgence Palestine et la « Jeune Garde » sont d’authentiques groupuscules neonazis. Le troisième ayant déjà eu recours à la violence physique, ses membres aurait déjà été emprisonnés si les lois existantes étaient appliquées. Mais ces Nazis bénéficient de la complicité de l’Etat et d’Emmanuel Macron.
@Nico/ @Nicolas Carras
Oui Carter puis Reagan…En quoi est-ce que c’est compliqué à comprendre ? Tous les deux n’étaient ils pas présidents des États-Unis ?
Non seulement vous tordez et réinterprétez l’histoire pour des raisons idéologiques mais nous ne savez pas lire : à aucun moment je n’ai dit que les États-Unis étaient seuls en cause (j’ai également cité Londres et Paris) ni qu’ils avaient créé intentionnellement les Talibans
« ils ne faisaient pas la différence entre islamistes radicaux et résistants traditionnels afghans »…C’est justement ce qui leur est reproché : leur cynisme et leurbirresponsabilité. Avec les conséquences que l »on sait.
Épargnez moi vos longues tartines : tordre l’histoire comme vous le faites et déformer les propos des autres est une preuve de bêtise ou de malhonnêteté.
Monsieur, vous affirmez des bêtises dans vos commentaires qui tendent a faire croire que Carter aurait été un pro-ismaliste… C’est énorme, et que Reagan aurait amener à la création d’Al-Quaida et des Talbans.
Il faut de plus recontextualiser…
Il y avait une guerre contre le communisme et le soviétisme.
Comme je vous l’ai écrit plus haut :
Sylvain : « Dans le régime communiste afghan, l’égalité homme femme était établie. Vous préférez sans doute les Talibans ? »
Communisme = 100 millions de morts. Et des dizaine de milliers de morts en Afghanistan, sans oublier les tortures, toute la souffrance engendrée.
Il y avait une guerre contre le communisme et soviétisme à mener, communisme et soviétisme qui ont engendré bien plus de mort et de souffrance au 20e siècle que l’islam politique djihadiste durant la même période.
Au moins un milliard de personne, en dehors des morts, a directement souffert du soviétisme et du communisme.
Concernant l’invasion soviétique en Afghanistan + la guerre civile associée (1978-1989 ou jusqu’à 1992 selon les sources) :
Un minimum raisonnable de 500 000 morts civils pour la période 1979-1988 ou un peu plus.
Certains estiment qu’au total, toutes causes confondues (combats, bombardements, faim, réfugiés, etc.), il pourrait y avoir 1 à 1,5 million de morts.
Par exemple, le chercheur Noor Ahmad Khalidi estime environ 876 825 morts pour la période de 1979-1987.
L’anticommunisme primaire et l’antiaméricanisme primaire conduisent tous deux au fanatisme. Dans les années 70 et 80, l’URSS ne constituait plus du tout une menace prioritaire : le Nazisme islamiste et décolonial en expansion représentait le danger numéro 1. Les fous obsédés par l’URSS ont fortement contribué à la situation actuelle…et à l’enfer sur terre pour les femmes afghanes réduites au rang d’esclaves.
@Alain Bienaimé a raison : vous me faites penser à un programme informatique « d’intelligence » artificielle. Ce qui laisse mal augurer de l’avenir.
Sylvain : « L’anticommunisme primaire et l’antiaméricanisme primaire conduisent tous deux au fanatisme. »
Vous avez écrit sans rire : « Dans le régime communiste afghan, l’égalité homme femme était établie. Vous préférez sans doute les Talibans ? »
Le régime communiste afghan a été sanguinaire. Le régime communiste afghan a duré un peu plus de 14 ans, de 1978 à 1992.
On estime qu’entre 50 000 et 100 000 personnes auraient été exécutées ou tuées dans les prisons rien qu’en 1978-1979 (avant même l’intervention soviétique).
Ajoute à cela les civils tués par les bombardements, les famines liées aux destructions agricoles, et les déplacements massifs — on parle de plusieurs centaines de milliers de morts sur la durée du régime.
Et ma critique serait d’un anticommunisme primaire ? Et je purrais être un fanatique anticommuniste ?
Faire la guerre au communisme c’est être un fanatique ?
Communisme qui a engendré 100 millions de morts, et directement la souffrance d’au moins un milliard de personne.
Il y avait une guerre totalement légitime a mener contre le communisme et contre le soviétisme.
Crime du communisme Afghanistan
– Arrestations massives :
Dès 1978, la police politique (AGSA puis KHAD) arrête des dizaines de milliers de personnes : paysans, chefs tribaux, religieux, intellectuels, parfois simplement pour « hostilité à la révolution ».
– Exécutions sommaires :
Témoignages de charniers près de Kaboul (notamment à Pul-e-Charkhi, grande prison où auraient été exécutées des dizaines de milliers de prisonniers politiques).
– Torture systématique :
Survivants racontent électrochocs, viols, pendaisons inversées, simulacres de noyade — techniques souvent importées des services de sécurité soviétiques (KGB).
Des témoins parlent de « disparition » de familles entières accusées de collaboration avec les rebelles.
– Méthodes de torture documentées (le régime communiste afghan a massivement utilisé la torture)
Les rapports d’Amnesty International, Human Rights Watch et les témoignages de survivants décrivent des méthodes très proches de celles utilisées par le KGB et les services secrets soviétiques :
Électrochocs appliqués aux parties sensibles du corps.
Pendaison inversée (suspension par les pieds) pendant des heures.
Brûlures de cigarettes sur la peau.
Simulacres d’exécution pour terroriser les prisonniers.
Noyades simulées ou immersion prolongée dans l’eau glacée.
Violences sexuelles, y compris viols collectifs contre hommes et femmes.
Extraction d’ongles, fractures volontaires de membres.
De telles horreurs ont également été commises par la CIA, les services secrets français et sans doute ceux de nombreux autres pays. Mais vous n’avez pas une pensée pour les Afghanes…et toutes les autres victimes de la barbarie islamiste ? Si vous mettez sur un pied d’égalité l’URSS (où la condition des femmes était équivalente à celle des pays occidentaux) et les islamistes, vous êtes malade.
J’abhorre le parti raciste et islamophile des démocrates, mais grâce à vous, je me rappelle que le camp trumpiste a aussi son lot d’extrémistes.
@Nico Maintenant, on va passer au volet intérieur « Un pays de liberté. Et c’est écrit dans la constitution »…Quel argument ! Rares sont les constitutions qui affirment explicitement : « Nous sommes pour l’oppression ! »
J’ai lu vos interminables tartines, et en effet il est vrai que globalement, historiquement, la société américaine n’est pas forcément plus violente que la société européenne, et qu’elle est moins violente que d’ autres. Mais vos logorrhées sur la « Liberté » sont autant risibles qu’insuiétantes :
1) l’incitation à la haine raciale et l’apologie de crimes contre l’humanité ou du terrorisme ne relèvent pas de la liberté d’expression…(sauf dans les régimes fascistes où ils sont même encouragés par l’Etat, comme en Algérie, au Qatar, en France, au Royaume-Uni etc) La liberté d’expression ne consiste pas à inciter à la haine et à la violence comme le font les Houria Bouteldja, Rockaya Diallo et Jean-Luc Mélenchon d’ici ou d’ailleurs
2) les USA sont marqués par d’innombrables atteintes aux droits de l’homme : de nombreuses personnes sont condamnées à des peines lourdes malgré leur innocence ou après avoir commis des délits insignifiants tandis que des criminels très dangereux sont relâchés ou restent en liberté.
3) tout comme en Europe, les agressions et crimes racistes commis par des « racisés » sont légion et le politiquement correct interdit de nommer les choses, bien que Trump ait le mérite de vouloir changer cela. Tout comme en Europe et même encore davantage le showbiz, les médias et les universités sont sous le règne des wokistes et islamonazis, et la liberté d’informer ou d’enseigner est souvent impossible
4) Dans certains États des USA existent des lois liberticides en matiere de sexualité. En Californie, par exemple, la majorité sexuelle est fixée à…18 ans. Ce qui signifie concrètement qu’une personne de 19 ou 20 ans peut être arrêtée par la police puis envoyée en prison et classée « pédophile » à vie parce que son petit ami ou sa petite amie a 17 ans !. Et c’est ce qui se produit : ces lois liberticides et moyenâgeuses, qui ont détruit beaucoup de vies, sont plus dignes d’un pays obscurantiste que d’une démocratie libérale.
Naturellement, cela ne concerne pas tous les États américains et la société étasunienne varie considérablement d’un État à l’autre..Mais vos slogans appris par cœur sur les États-Unis « pays de la liberté » sont pathétiques. Vous me semblez aussi endoctriné et fanatisé que ceux qui cherchent à diaboliser constamment les USA : mes propos (que vous essayez d’attaquer en les deformant, ce que je n’apprécie pas du tout et cela démontre votre malhonnêteté) sont beaucoup plus nuancés.
Sylvain
Tout système de censure centralisé est dangereux, car il pourra être utilisé a des fin purement idéologie et politique de manière totalement injuste, et amener a des procès politiques même contre des gens de bien.
Je soutiens une totale liberté d’expression, haine comprise, ensuite, c’est aux individus de se mobiliser, de répondre, de porter plainte s’ils se sentent lésés, de critiquer publiquement les propos.
Ce système de censure centralisé fait partie d’un ensemble, d’une logique qui aura toujours tendance à détruire les libertés fondamentales, et tiens, comme c’est étrange, à affaiblir l’état de droit (qui peut aller jusqu’à justifier l’injustice sous prétexte de justice), toujours au nom du bien. Même logique qui va vous dire qu’au nom du bien, il faut vous prendre une grande partie du fruit de votre travail, et qui va finir par financer le mal… Logique corruptrice.
Et c’est exactement ce qu’il se passe dans ce pays depuis plus de 200 ans.
@Nico
Les réponses que vous me faites pour réfuter ce que je vous ai dit sont autant de réfutations que vous vous faites, et notamment sur la violence de l’histoire des États-Unis que vous contestez contre toute évidence (quatre présidents assassinés, sans compter de nombreux autres cas : Martin Luther King, Robert Kennedy, etc, pour de rien dire des ball-traps que sont aujourd’hui nombre de lycées et d’universités américaines). Nous n’avons visiblement vous et moi pas les mêmes sources d’information. Mais il est vrai que je ne suis pas le militant que vous semblez être, c’est-à-dire une personne préparée à répondre à tout et même capable de parler contre l’évidence s’il le faut.
Votre remarque sur Ford relève de l’attaque ad hominem ou du procès d’intention, arguments contre lesquels, par habitude, je ne réponds jamais. Le parallèle suggéré par le film entre le sort des Cheyennes et celui des Juifs n’est pas une plaisanterie ou une fantaisie de ma part, je vous assure. Ce sont là des sujets, croyez-moi, où je me garde bien de plaisanter. Il s’impose à qui regarde ce film avec attention.
Comme Sylvain, je trouve que vous récitez un peu trop une leçon qui me paraît apprise ou peut-être l’œuvre de l’IA. Chercher à persuader en accumulant les arguments est un procédé rhétorique qui a ses limites et qui finit par se retourner contre celui qui en abuse comme vous. J’éprouve cela chaque fois que quelqu’un essaie de me vendre une nouvelle assurance ou me faire une offre commerciale qu’il prétend avantageuse pour moi.
Amitiés
Vous me citez le film d’un réalisateur de fiction cinématographique, alors que l’on parle d’histoire des Indiens d’Amérique.
Si vous m’aviez cité Peter Cozzens…
Comparé à l’histoire de Européenne, je peux dire que les Etats – Unis ne sont pas très violents à coté… Oui.
@Nico
Vous écrivez à Sylvain : « Je soutiens une totale liberté d’expression, haine comprise ». Cette haine comprise, comme vous le précisez, n’est que la conséquence nécessaire de la totale liberté d’expression que vous posez en principe. Diable ! Voilà une confession de foi libertarienne qui me laisse rêveur dans la mesure où j’ai du mal à la distinguer de ce qu’on nomme simplement le laxisme : laissez dire, laissez faire et nous verrons bien.
Mais crier « mort aux Juifs ! » quand je suis seul dans ma salle de bain, est-ce la même chose que de le dire quand on le publie dans un journal, sur les réseaux sociaux, qu’on le dit à la radio, dans une conférence, une réunion publique ? Dans le premier cas, mes propos ne menacent personne réellement si je suis effectivement seul dans ma salle de bain. Dans l’autre cas, ces propos constituent une menace pour tous les Juifs ainsi visés. De tels propos relèvent du délit et doivent être condamnés puisqu’il menace la vie et la sécurité des Juifs qui vivent encore en France et n’ont pas déjà fait leur alya. Notre désaccord sur ce point est total.
Notre liberté est sociale c’est-à-dire limitée par la loi, laquelle est là pour nous rappeler l’existence des autres, que nous ne sommes pas seuls au monde, que le monde n’est pas né avec nous, que nous sommes responsables de ce que nous faisons quand il y va de l’existence ou de l’intérêt des autres dans ce que nous faisons. Cette liberté sociale est et doit rester toujours devant la loi, être limitée en intension et extension par elle. C’est la leçon du judaïsme que le christianisme comme le libertarisme – un de ses nombreux avatars – ont sans doute totalement oublié.
Au sujet de l’Afghanistan (1979-89), il est factuel que l’intervention de Washington, Londres et Paris a indirectement provoqué l’une des plus grandes catastrophes des temps modernes et que nous étions dans le mauvais camp. Mais le degré de fanatisme des dirigeants occidentaux et leurs chiens de garde médiatiques est tel qu’ils n’ont pas retenu les leçons de leurs fautes et ont récidivé plusieurs fois. Notamment en Irak, en Libye et en Syrie. Il ne s’agit pas de nier la nature sanguinaire et psychopathique des dictateurs irakien, libyen et syrien mais chacune de ces interventions (qui n’était en aucun cas motivées par de nobles intentions) a eu pour conséquences la victoire des barbares islaminazis. Daesch est une conséquence de la guerre en Irak. La guerre au Mali puis l’opération Barkhane (qui ont tué ou mutilé nombre de soldats français) sont une conséquence de l’intervention en Libye. Combien de Français et d’occidentaux le savent ? La folie criminelle des dirigeants occidentaux n’a d’égale que la lobotomisation de masse inouïe du public. Sans compter qu’en Irak et en Libye les bombardements ont tué beaucoup de civils innocents. Ce qui rend d’autant plus abjectes et écœurantes les propagandes antirusse et anti-israélienne. Ceux qui lancent des appels au boycot et sanctionnent les autres font partie de ceux qui devraient être boycottés et sanctionnés.
Sylvain : « … a eu pour conséquences la victoire des barbares islaminazis. Daesch est une conséquence de la guerre en Irak. … »
La barbarie islamique commence à Médine avec Mahomet.
Il y a 1400 ans.
Mettez votre pendule à l’heure.
Votre commentaire mélange réalités géopolitiques, indignation morale et raccourcis historiques. Il confond conséquence et causalité, fait de l’Occident le coupable unique, et réécrit l’histoire en oubliant que la barbarie jihadiste précède les interventions occidentales. Bref, c’est un récit de propagande anti-occidentale plus qu’une analyse sérieuse.
@Nicolas On va mettre les points sur les I une fois pour toutes.
M’accuser de « propagande anti-occidentale » alors que je suis le premier, et l’un des rares, à dénoncer la similitude entre Nazisme et Islamisme/Indigénisme de même que le collaborationnisme criminel de nos gouvernants est franchement grotesque. Par ailleurs, le fait que vous vous opposiez à la censure des discours haineux sans même comprendre que les mots conduisent TOUJOURS à des actes m’en dit assez long sur votre niveau éthique et intellectuel.
Il est factuel que le fanatisme antisoviétique des dirigeants anglo-saxons (et français) a conduit à la victoire des Islamonazis en Afghanistan et ce avec des répercussions catastrophiques au niveau planétaire. Que cela ait été « à l’insu de leur plein gré » n’ôte absolument rien au côté criminel de cette politique que vous approuvez. Cela signifie seulement qu’en plus d’être des criminels, nos dirigeants sont des imbéciles et des irresponsables incapables d’anticiper les conséquences de leurs actes. Au fait, question d’ordre général : l’imbeccillité constitue-t-elle une circonstance atténuante…ou aggravante ?
D’autant qu’ils ont fait preuve d’une remarquable constance dans leur folie, les bougres !…Iraq, Libye, Syrie…La défaite russe en Afghanistan a été, que cela vous plaise ou non, la victoire du Nazisme islamiste. Elle a d’ailleurs été accompagnée par l’essor du Nazisme indigéniste (en grande partie via les universités étasuniennes puis ouest européennes) et la création de l’UE, (dont seules des masses aussi endoctrinées que les Nord Coréens les plus obéissants peuvent ne pas voir qu’il s’agit d’un totalitarisme et d’un cheval de Troie de l’islamisme.)
Votre incapacité à penser par vous-même et votre refus systématique des faits contredisant vos croyances idéologiques montrent que votre fonctionnement cérébral est exactement le même que celui des wokistes.
L’incapacité à tirer les leçons des fautes du passé est une preuve d’inintelligence, et je m’exprime là d’une manière très, très, euphémique : cela vaut pour vous comme pour tous les autres dans votre cas.
Non cordialement.
Alain Bienaimé : « Mais crier « mort aux Juifs ! » quand je suis seul dans ma salle de bain, est-ce la même chose que de le dire quand on le publie dans un journal »
Le problème, c’est que la même loi qui va m’interdire sur les réseaux sociaux d’écrire « Mort aux Juifs ! », va m’interdire également d’écrire « Mort au Hamas ! »
Sera même condamné un discours de haine, dans une critique totalement raisonnée et sans haine du palestinisme.
Et j’ai été exclu des réseaux sociaux, Facebook et Twitter à l’époque, pour cette raison, et traité de nazi et de fasciste sioniste.
Aujourd’hui, vous pouvez avoir un procès pour haine raciale, alors qu’il n’y a aucune haine raciale dans ce que vous avez pu écrire ou dire.
Mais vous pouvez manifester dans la rue en hurlant « Free Palestine, du Jourdain jusqu’à la mer morte ! »
Vous partez du principe qu’un état est vertueux et sans corruption… Mais l’état n’est pas vertueux, et l’administration qui va s’occuper de la censure pourra être corrompue idéologiquement.
Selon l’idéologie en place, je pourrais avoir plus de problèmes en écrivant « mort au Hamas ! » que « Mort aux juifs ! ».
Et quelqu’un qui critiquera de manière raisonnée Israël, pourra également être condamné pour haine raciale, selon l’idéologie en place.
La loi qui censure sera utilisée à des fins purement idéologiques et politiques.
Et engendrer des procès politiques.
— « D’un point de vue strictement conséquentialiste, censurer quelqu’un, c’est lui faire une publicité dont il n’aurait jamais pu rêver. C’est en faire une victime d’autant plus intransigeante, qui continuera de toute façon dans la clandestinité. Ne pas le censurer, c’est au contraire lui permettre d’exhiber sa bêtise / sa haine / ses préjugés au grand jour, et de devoir faire face aux arguments rationnels, ce dont il a le plus souvent horreur. Il faut donc laisser s’exprimer même les totalitaires et les antilibéraux, autrement on ne pourrait même pas savoir qu’ils existent ! » – Wikiberal
@Nico Cela est dû au fait que nous ne vivons ni dans des Etats de droit ni dans des démocraties mais au contraire dans des dictatures islamonazies ayant institutionnalisé le racisme inversé et l’antisémitisme. La France, la Belgique le Royaume-Désuni, le Canada, et les USA post modernes représentent la negation de l’Etat de droit. Les USA ne sont ni pires ni meilleurs que l’Europe de l’Ouest (qui n’a plus grand chose d’européen).
@Nico
Je ne conçois pas la morale, vous l’aurez sans doute deviné, de manière conséquentialiste. Mon vieux fond kantien me l’interdit et aussi un vieux fond juif qui m’aura été transmis peut-être par quelque bonne dame catéchiste patiente avec le petit catholique que j’étais à l’époque.
Vous me dites, je vous cite : « Le problème, c’est que la même loi qui va m’interdire sur les réseaux sociaux d’écrire « Mort aux Juifs ! », va m’interdire également d’écrire « Mort au Hamas ! » »
Pas exactement, si l’on regarde les choses de plus près. La différence entre ces deux énoncés paraitra évidente sur le fond. Si la loi interdit de crier « mort aux Juifs ! » c’est qu’au sens propre, cette expression est un appel au meurtre, à assassiner des personnes (d’où l’importance du pluriel ici : les Juifs). « Mort au Hamas! » n’est pas un appel au meurtre, car il ne vise pas des personnes physiques mais une personne « morale », une organisation. Dès lors cet énoncé ne peut être compris qu’au sens figuré. « mort au Hamas » n’est qu’une métaphore qui dit en réalité, proprement : il faut éliminer le Hamas, le faire disparaître en tant qu’entité politique.
Mais il est vrai que dire « Carthago delenda est » ne va pas sans dommages collatéraux pour les Carthaginois, si l’on cherche à exécuter un tel plan. J’en conviens. Mais là encore les distingos sont importants. S’il n’est pas possible à un Juif de ne pas être Juif – et même en le cachant ou en se cachant, ce que l’on a appelé dans l’histoire espagnole (décidément !) le marrane – il est toujours possible à un Carthaginois de quitter Carthage. Autrement dit, il est possible à un palestinien du Hamas ou qui le soutient de renoncer à le faire – possible ne voulant pas dire facile –, il est possible au Hamas de libérer les otages, de renoncer à contrôler et diriger la bande de Gaza et immédiatement alors la guerre menée contre lui, la volonté de l’éliminer politiquement, de le neutraliser prendra fin car les buts de guerre seront atteints. Voilà tout ce que veut dire « mort au Hamas » au sens nécessairement figuré.
Ce sont alors les juges qui interprètent mal la loi. Ils font parfois (pas tous) de « mort au Hamas » un appel au crime et de « mort aux Juifs » l’expression imagée, figurée, un peu forte, d’une simple opposition au sionisme confondue à une critique politique du gouvernement Netanyahou. C’est bien là une inversion des valeurs : le sens propre devient le sens figuré – et l’on peut en appeler impunément au meurtre des Juifs sans que cela ne choque plus les juges, les journalistes du service public, les éminents universitaires, les électeurs de gauche – et le sens figuré devient le sens propre – et l’on peut crier à l’islamophobie contre des musulmans radicaux et au génocide contre les palestiniens.
La solution dite à deux États est une lune qu’on nous ressert depuis plus de cinquante ans. On nous la présente comme une remède quand elle n’est qu’un poison c’est-à-dire une manière définitive d’aggraver le mal. Il faut s’appeler Macron le Micron ou Sanchez pour croire que la reconnaissance de l’État palestinien apportera la paix au Moyen Orient. Car personne n’en veut mais pas pour les mêmes raisons : les Israéliens par prudence et souci de leur sécurité, les Palestiniens par haine culturelle des Juifs, par antisémitisme.