Décolonisons la langue: la vérité n’est pas morte

DÉCOLONISONS LA LANGUE !

📜 Judée-Samarie : La vérité inaltérable

🔄 En février 2025, Israël et les États-Unis sonnent le glas d’une fiction géographique. La Knesset approuve officiellement le remplacement du terme « Cisjordanie » (« West Bank ») par « JUDÉE-SAMARIE », tandis que le sénateur Tom Cotton dépose un projet de loi fédéral visant à bannir des documents administratifs américains l’appellation impérialiste, imposée par les Hachémites et reprise en chœur par les palestinistes.

💫 Ce n’est pas un simple changement de mot. C’est une réaffirmation historique, un acte de mémoire qui replace un territoire dans sa réalité historique.

🏺 Le terme « Judée-Samarie » s’ancre dans une réalité archéologique imparable. Chaque parcelle de terre raconte une histoire millénaire, documentée par des vestiges remontant à l’âge du fer, des inscriptions hébraïques précises et une continuité architecturale incontestable.

🕊️ Ces terres ne sont pas un concept abstrait. Ce sont des lieux de mémoire vivante, où chaque pierre témoigne de générations de présence juive. Hébron, Bethléem, Silo : des noms qui résonnent bien au-delà des simples étiquettes géographiques, des noms que veulent effacer les tenants des nouvelles théologies, même sécularisées, de la substitution.

📚 À l’inverse, « Cisjordanie » apparaît comme une construction purement artificielle. Popularisé par le royaume de Jordanie, tout aussi artificiel, ce terme n’est qu’un artifice colonial, une tentative délibérée d’effacer l’histoire juive du berceau du peuple juif.

🔍 L’appellation jordanienne nie systématiquement la continuité historique. Elle transforme un espace chargé de sens en une zone administrative vide de toute substance culturelle. Un tour de passe-passe géographique qui cherche à déraciner un peuple de sa terre pour y implanter un néo-peuple fondé sur une contre-identité

⚖️ La transformation toponymique relève d’un acte d’autodétermination. L’affirmation de la légitimité du peuple hébreu sur la Terre d’Israël défie les récits néo-coloniaux, qui se parent des attributs du post-colonialisme.

🌱 La toponymie devient ici un acte de résilience.
Un peuple qui se souvient, qui réaffirme ses racines, qui refuse l’amnésie imposée, qui refuse la novlangue du Quai d’Orsay et des agences relayant son discours faisandé.

✊ C’en est fini des narratifs qui justifient le crime.

LA VÉRITÉ N’EST PAS MORTE !

Et tant pis pour ceux qui confondaient performativité du langage et effacement de l’autre.

© Joel Hanhart

Joel Hanhart is Ophthalmologist @ Shaare Zedek | Head of the Medical Retina Unit