Nous ne devons plus de respect au “Monde”

Nous respectons tous les media, quelles que soient leur orientation.

“Le Monde” nous oblige à nous affranchir définitivement de cette politesse élémentaire.

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5 Comments

  1. Tous les lecteurs du Monde que je connais sont des antisémites palestinophiles…et complètement fachos (pas seulement sur les bords).
    J’en connais hélas beaucoup, et pas un seul ne fait exception.

    Mais c’est pour ainsi dire quasiment toute la presse française, voire francophone, qui est à jeter aux ordures. Il s’agit d’ailleurs d’un milieu (presse, TV, industrie du spectacle, politique, universités) assez homogène, coupé du reste de la société et peuplé de bobos ne se fréquentant qu’entre eux. Des consanguins, en somme.

  2. Edwy Plenel, alias Joseph Krasny qui approuvait le massacre des athlètes israéliens à Munich en 1972, compagnon de route de toutes les dictatures d’extrême-gauche depuis cinquante ans, a été le directeur de l’Immonde quotidien du soir. Ce personnage a été le totem de toute une profession depuis des décennies. Tous les organes de presse où il est passé sont devenus les fosses d’aisance d’un “pseudo-journalisme”.

  3. Et que dire de Radio-France Insoumise ? Si à Beyrouth on se réjouit ce soir des tirs de missiles sur Israël, à Radio-France on doit sabler le champagne.

    Quant au “Monde” il est l’exact reflet de l’état actuel du monde, c’est-à-die pas brillant. Pourquoi s’en étonner ? Un monde mondialisé, globalisé, sans frontières, sans attache ou attachement à rien, bref un monde dans lequel Israël est une anomalie, un vestige insupportable promis à disparaître et auquel le nouveau monde voue une haine immarcescible. Une seconde shoah est en gésine qui s’accomplira cette fois-ci au nom des grands sentiments, de l’humanisme éclairé, de cette humanité future unie ou réunie, n’ayant pour seul titre que le droit inaliénable de tous les hommes de vivre sur terre en individus affranchis de tout (patrie, passé, généalogie, etc.). Un homme qui n’est plus rien que lui-même, c’est-à-dire rien qu’un simple étranger sur la terre, promis à l’oubli et à l’effacement. Un homme qui n’est plus qu’une anomalie. Plus contingent et vain, dirait M. Caron, que la plus innocente moustique femelle qui peuple nos marais. Chez Sartre, la contingence de l’homme était une expérience métaphysique. Pour la France Insoumise, pour les frères, en passe de faire de la France une terre d’Islam, pour le Conseil de l’Europe et les ONG qui sont ses bras (dés)armés, pour les Nations-Unies, c’est la promesse d’un arrêt de mort.

    Merci à M. Netanyahu à la tête de l’État d’Israël d’être le seul dirigeant à avoir le courage d’effectuer ce “retour à l’envoyeur”. Cessez-le-feu ? non ! plutôt que cessent ceux qui font feu.

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