Alors même que le 7 mai le Bureau des Nations Unies pour la Coordination des Affaires Humanitaires ( dit “Office for the Coordination of Humanitarian Affairs” ou Ocha ), reprenant sans la moindre vérification les bilans diffusés par le bureau de propagande du Hamas, classé organisation terroriste par l’Union Européenne, la plupart des instances internationales et les pays civilisés, annonçait que la confrontation opposant la milice islamique à l’Armée israélienne avait causé la mort de 33 797 Palestiniens depuis le 8 octobre, dont 9 500 femmes et 14 500 enfants, ces deux catégories de civils totalisant 71 % du total des morts arabes dans l’enclave,
Alors même que le Hamas attribuait ces chiffres au prétendu “ministère de la Santé” du Califat islamique qu’il a instauré dans la bande de Gaza en juin 2007, après avoir renversé l’Autorité Palestinienne qui gouvernait ce territoire de façon barbare en les précipitant vivants du haut des plus hauts édifices de l’enclave et en annonçant que “l’ère de la laïcité dans la bande de Gaza était révolue et que la bataille opposant l’Islam aux infidèles se terminerait avec la victoire de l’Islam”,
l’AFP et ses clients de la quasi-totalité de la presse française ont diffusé sans ciller les bilans d’OCHA, milice terroriste islamique sanglante en guerre avec la laïcité, la propagation de communiqués émanant d’une organisation de ce genre relevant soit d’une complaisance partisane, soit d’un manque total à la déontologie journalistique.
Pourtant, aujourd’hui, L’ONU, acculée à réduire de moitié le bilan des civils tués à Gaza et le faisant sans fournir la moindre explication, accepte de donner systématiquement à leur source le titre de … “ministère de la Santé”.
Persister à essaimer ces données en mai 2024 relève de l’infamie.
Aucun observateur indépendant ne peut vérifier les assertions du ministère de la Santé de Gaza, relayées par le bureau de presse du mouvement islamiste.
Alors que le conflit avait commencé depuis un mois, l’agence américaine Associated Press mettait déjà en garde.
“Manque total à la delonlotologie journalistique” qui est la norme dans tous les domaines. Le niveau de désinformation médiatique, de confusionnisme et de novlangue n’ayant aucune limite, le mieux est de ne plus jamais accorder le moindre crédit à ce qu’affirment les médias mainstream. Quand je veux des informations fiables sur Israël et le Moyen-Orient, je lis Tribune juive ou d’autres sites équivalents parce que je sais très bien que le reste sera au mieux très approximatif au pire de la propagande islamiste et antisémite. Quel que soit le sujet concerné, la règle d’or est : Évitez le Mainstream. Une fois cette règle adoptée, on peut songer à s’informer sérieusement.