🔥 Glaives de fer : deux cent douzième jour de guerre
👉 Otages : pas de réponse
Le plan discuté requiert un cessez-le-feu temporaire et le retrait des Forces de Défense Israéliennes de certaines zones densément peuplées de Gaza. En échange, le Hamas libérerait un nombre spécifié d’otages, y compris des femmes, des enfants, des adultes âgés, des malades et des blessés. Israël, en retour, libérerait un nombre très important de terroristes. Le plan inclut plusieurs étapes.
👉USA : enfin blâme sur le Hamas
Le secrétaire d’État, Antony Blinken, affirme que le sort de la cessation des hostilités est entre ses mains. Il exhorte le Hamas à accepter un cessez-le-feu et la libération des otages. Blinken s’oppose à toute action militaire israélienne à Gaza, soulignant que cela ne ferait qu’aggraver la situation.
👉 Tul Karem : Cinq terroristes ont été tués
Au cours d’une opération anti terroriste de plus de 12 heures, un membre d’une unité de commando a été gravement blessé. Cette cellule avait précédemment mené des attaques, dont l’assassinat d’un soldat de réserve et une fusillade contre un autobus. Après des heures de combat, deux terroristes ont survécu à l’effondrement du bâtiment, mais ont finalement été neutralisés. Depuis le début de la guerre des couteaux en Judée-Samarie, 474 terroristes ont été tués.
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👉 Hevron : triste découverte..
Les funérailles d’Eliakim Shlomo Livman, victime de l’attaque du Hamas, auront lieu aujourd’hui à 16h00 au tombeau des Patriarches, suivies d’un cortège funéraire jusqu’au cimetière ancien de Hébron. Eliakim Livman, un garde de sécurité, a sauvé de nombreuses vies lors de l’attaque. Sa famille a découvert qu’il avait été assassiné et que ses restes avaient été enterrés par erreur avec une autre victime.
👉 USA : liquidation ciblée
Un haut dirigeant terroriste du Jihad islamique, Imad Za’arab, a été éliminé par les forces israéliennes à Rapha. Za’arab, a été eliminé avec deux autres terroristes de l’organisation. L’opération, a ete coordonnée par le renseignement militaire et le Shin Bet.
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💰 Economie : perdant perdant.
Alon Liel, ancien ambassadeur israélien en Turquie, souligne que La décision turque de suspendre les échanges commerciaux a un impact considérable sur les deux économies, étant donné que la Turquie est un partenaire commercial crucial pour Israël. Il évoque également la possibilité que des hauts responsables du Hamas se rendent à Istanbul plutôt qu’à Doha, bien que des pressions internationales puissent les empêcher.
Taux de Change
💶 Euro : 4,00 shekels
💵 Dollar : 3,72 shekels
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⚽️ Sport : reprend sa couronne
Après le sacre du FC Barcelone la saison dernière, le Real Madrid vient de remporter son 36e Championnat d’Espagne.
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📣 Le supplément matinal
Message du matin : de Yom Hashoa à Yom Hazikarone
Nous entrons dans une période très triste, marquée par la commémoration de deux événements majeurs. Tout d’abord, Yom Hashoah, une journée dédiée à la mémoire de l’horreur des camps de la mort, où femmes, hommes et enfants ont été exterminés dans des conditions effroyables. Cette période de commémoration commence ce soir et durera jusqu’à demain soir.
Il est important de préciser qu’il n’est pas juste de comparer la Shoah avec les événements du 7 octobre, bien que la cruauté et la brutalité puissent sembler similaires. Le 7 octobre, après deux ou trois jours, nous avons pu relever la tête, combattre et infliger à nos ennemis des pertes et des dommages dont ils se souviendront longtemps.
La journée de Yom azikaron, dédiée à la mémoire des soldats tombés, sera particulièrement douloureuse cette année avec les pertes récentes survenues depuis Simha Torah. À cela s’ajoute le souvenir des civils assassinés, augmentant encore la souffrance de cette période.
Heureusement, nous sommes sur notre terre et, malgré ces moments difficiles, nous célébrerons finalement Yom Haatsmaout, la journée de l’indépendance d’Israël.
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🧐 Opinion : De la troisième génération à la première : Ce Yom Hashoa aura un aspect différent | Michal Kadosh
En ce jour de commémoration de la Shoa, il y aura des gens qui ont tout perdu, une fois de plus. Et il y aura aussi nous, les pousseurs de chariot, dont le rôle n’est plus seulement de mener nos vies tranquillement, de recevoir des amis et de la famille de temps en temps et d’éviter les tracas du surbooking, mais d’être les Israéliens qu’on nous a ordonné d’être ceux qui ne sont plus là.
Depuis que je me souviens de moi, les conséquences de la Shoa étaient présentes dans la maison où j’ai grandi. Les histoires, les photos, ce peu que mes grands-parents ont réussi à sauver et le peu de famille qui leur restait semblaient surgir de temps en temps, rappelant combien de souffrance se cachait derrière le silence qui a suivi. Lors de mon travail de recherche, quelque part en classe 7e ou 8e, j’ai vraiment réalisé ce qui s’était passé, et en gros – que nous ne savons pas vraiment grand-chose en dehors des faits secs : les camps, la fin de la guerre, l’aliyah, et le reste est de l’histoire.
Ce soir, une veillée aura lieu pour le jour du souvenir de la Shoa et de l’héroïsme, le premier après le 7 octobre. Celui qui nous a forcés à être témoins des expériences que nous avons entendues il y a des dizaines d’années, seulement elles étaient en noir et blanc, et elles ne comprenaient pas les messages WhatsApp annonçant l’arrivée des meurtriers abominables, des images claires montrant la cruauté impensable, et un cyber-état indépendant et fort comme le nôtre, la nation du cyber.
En ce jour de la Shoa, exactement comme pendant la Seconde Guerre mondiale, il y aura des gens qui ont perdu toute leur famille et qui ont survécu pour raconter. Pour recommencer à zéro. Pour essayer de digérer ce qui s’est passé dans le pays qui nous a été donné sur un plateau d’argent. Il y aura aussi des survivants de la Shoa qui revivront cette terreur, cette fois en Israël, simplement parce qu’ils ont choisi de vivre dans les kibboutzim autour de Gaza, dans les communautés du sud du pays, ou simplement parce qu’ils ont décidé de rendre visite à leurs proches là-bas lors de la fête de Simha Torah.
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📕 Le message de Sivan Rahav-Meïr : Le soir de la Journée de commémoration de la Shoah et de l’héroïsme 5784
Voici une histoire qui m’a particulièrement marquée :
Le rabbin Eliezer Silver, l’un des leaders du judaïsme aux États-Unis, était le président du “Comité de secours” qui a œuvré pendant et après la Shoa pour sauver les survivants. Peu de temps après la fin de la Seconde Guerre mondiale, il est arrivé dans l’un des camps de personnes déplacées. Il a organisé une prière et a invité l’un des survivants à se joindre à lui.
L’homme a catégoriquement refusé, expliquant : “Dans le camp, il y avait un homme pieux qui a réussi à introduire un livre de prières et a permis à d’autres de prier aussi. Au début, je l’admirais pour son courage et sa compassion envers tous, mais le lendemain, j’ai compris la situation réelle : il ‘a prêté’ le livre aux gens en échange de nourriture. Il a simplement profité de leur faiblesse. Des Juifs affamés lui ont donné leur dernière miette de pain en échange de quelques minutes d’utilisation du livre. Si c’est ainsi que les Juifs agissent, je ne veux plus ouvrir le livre au monde !”
Le rabbin Silver a écouté attentivement, a réfléchi un moment, puis lui a répondu avec bénédiction : “Cher Juif, je comprends ton cœur. Il est difficile de juger quelqu’un dans une telle situation, et il est vraiment inapproprié d’utiliser ainsi un livre de prières. Mais j’ai juste une question : pourquoi choisis-tu de ne voir que l’homme qui a utilisé son livre pour prendre le pain de la bouche des Juifs affamés ? Pourquoi ne regardes-tu pas les nombreux Juifs qui étaient prêts à donner leur dernier morceau de pain juste pour prier dans ce livre ? Et ne devrait-il pas être approprié que nous continuions à faire ce qu’ils ont sacrifié leur vie pour nous enseigner ?”
J’ai entendu cette vieille histoire pour la première fois cette année, probablement pas par hasard. Même face à un mal cruel, nous choisissons ce sur quoi nous nous concentrons. Nous choisissons comment agir. Nous choisissons comment interpréter les événements.
On peut se concentrer uniquement sur les échecs. Parler uniquement des erreurs, des atrocités, de ce qui reste à enquêter, de tout ce qui était corrompu, décevant et douloureux pendant la joie de la Torah. Il ne faut pas minimiser tout cela, Dieu nous en préserve.
Mais on peut aussi contempler tout ce qui a été révélé depuis lors : la grandeur d’esprit, le choix de la vie, la résilience, la solidarité mutuelle, la foi, la force, toute la beauté et le bien qui se révèlent et grandissent.
Bonne nouvelle.
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“Le peuple d’Israël n’a pas peur d’un long cheminement.”
עם ישראל לא מפחד מדרך ארוכה
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