🔥 Glaives de fer : deux cent cinquième jour de guerre
🙏 Cette Matinale est sponsorisée par le ministère de l’Alya et de la Klita et de Nefesh be Nefesh.
‘’ L’an prochain à Jérusalem, Hag Pessah Sameah ‘’
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👉 Otages : guerre psychologique.
Le Hamas montré une vidéo hier deux otages israéliens, Kita Sigal et Omri Miran, détenus depuis plus de 205 jours dans la bande de Gaza. Les otages ont appelé le gouvernement israélien à s’engager dans des pourparlers pour un échange. Les familles des otages ont réagi en demandant au gouvernement d’agir rapidement.
👉 Liban : En réponse aux attaques de l’armée israélienne dans les villages du sud du Liban pendant le week-end, le Hezbollah a envoyé vers minuit (entre samedi et dimanche) une salve de 26 roquettes lourdes vers Meron et ses environs. Représailles massives aériennes de Tsahal dans le sud du pays des cèdres.
👉 Weekend News : changement de cap !
Yossi Cohen, ancien chef du Mossad, a soutenu dans le passé qu’un accord ne devrait être conclu que si tous les otages sont libérés. Cependant, il a récemment déclaré qu’il était impératif de libérer les otages rapidement, même si l’accord n’incluait pas tous les otages. Cohen a également critiqué le ralentissement des opérations militaires, affirmant qu’il ne comprenait pas pourquoi l’élan initial s’était soudainement arrêté.
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👉 Hague : Netanyahu jugé ?
L’effort pour empêcher l’émission de mandats d’arrêt en Israël par la Cour pénale internationale (CPI) est en cours. Les actions entreprises par le bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu sont coordonnées pour contrer cette éventualité. Des allégations selon lesquelles Israël aurait agi de manière disproportionnée à Gaza alimentent ces spéculations.
👉 USA : comparé à Trump !
David Friedman, ancien ambassadeur des États-Unis en Israël, a accusé Joe Biden d’abandonner les Juifs américains, ce qui aurait provoqué les récentes attaques antisémites. Il a critiqué l’administration Biden pour ce qu’il considère comme un manque d’engagement envers Israël et une minimisation de l’antisémitisme. Il appelle Biden à soutenir fermement Israël et à condamner l’antisémitisme.
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💵 Économie : millionnaire à l’âge de 16 ans
Hadar Ashouach, âgé de 23 ans, est un jeune Israélien qui se concentre sur une campagne de sensibilisation israélienne “offensive”, visant à contrer les manifestations antisémites et anti-israéliennes qui se déroulent sur les campus prestigieux aux États-Unis. Selon lui, la plupart des étudiants participant à ces manifestations sont influencés par des idées préconçues et pensent que c’est “cool”.
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📣 Le supplément matinal
Message du matin : 7 au 7 !
Nous avons du mal à réaliser ce qui nous est arrivé ce 7eme jour de Souccot, ce douloureux Simha Thora. Comment avons-nous pu subir un pogrom sur notre propre sol ? Avec une armée aussi puissante que la nôtre ? Avec un Hamas que tous les généraux disaient soumis ?
Et pourtant, nous voilà, six mois plus tard, prêts à revivre la traversée de la mer Rouge pour ce Shevihi de Pessah. Dans un nouvel état d’esprit, une nouvelle vision de la vie, de notre histoire. La force de notre peuple réside dans cette capacité à se remettre en question et à s’adapter au changement, face à l’adversité grandissante. Hag Sameah !
A A
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🧐 Opinion : La pratique de la victoire du Hamas. Par Dr. Yehuda Blanga
Le Hamas a subi un coup dur, mais il est difficile de dire qu’Israël a atteint ses objectifs, car les capacités politiques et militaires du Hamas n’ont pas été anéanties, et les prisonniers ne sont pas rentrés chez eux. Au contraire, le retrait de l’armée israélienne des territoires de la bande de Gaza a conduit au retour du Hamas, qui tente de renouveler ses forces. Pendant les mois où l’armée israélienne était présente à Gaza, l’objectif du Hamas était de continuer et de gagner du temps. Pour lui, la survie est une victoire. Après la conclusion du premier accord de libération de prisonniers, le Hamas n’avait aucune intention de conclure un autre accord.
Si le Hamas n’a pas l’intention de restituer les otages, il n’y a aucune raison pour qu’Ismaïl Haniyeh, Khalid Mashal et Moussa Abu Marzouk (malgré sa citoyenneté américaine) continuent à vivre.
Le premier accord a été conclu en raison de la pression militaire massive d’Israël, ainsi que du soutien massif des pays d’Europe occidentale et des États-Unis en faveur d’Israël. Le volume du soutien qu’Israël a reçu, en raison du choc des massacres du 7 octobre, a surpris l’organisation dans une certaine mesure.
Cependant, après le dernier coup de libération de prisonniers le 1er décembre, le Hamas a su mener des pourparlers pour un autre accord en fonction de ses intérêts, et présenter ses réalisations à tous les Palestiniens : il a obtenu un cessez-le-feu dans les combats, la libération de terroristes des prisons israéliennes et l’expansion de l’aide humanitaire. De plus, le Hamas a appris deux choses importantes de cet accord : premièrement, de la couverture médiatique israélienne, le Hamas a su que la pression sociale sur le leadership israélien obligerait le niveau politique à se replier et à passer à un autre accord, cette fois dans des conditions beaucoup plus confortables pour l’organisation.
Deuxièmement, avec le temps, la pression internationale sur Israël augmentera, et avec l’aggravation de la fermentation intérieure dans l’opinion publique israélienne, sensible à la vie humaine, Israël sera contraint d’arrêter les combats. Et si elle veut voir ses fils et ses filles revenir, elle devra s’aligner sur les conditions du Hamas.
À partir de ce stade, la barre fixée par le Hamas pour un autre accord avec Israël n’a pas changé : une fin absolue de la guerre, un retrait de la bande de Gaza et la libération de prisonniers palestiniens, y compris des meurtriers.
Le Hamas a imposé ces exigences parce que pour lui, peu importe ce qui se passe, tout est à son avantage. Si Israël décide de répondre aux exigences, le Hamas présentera aux Palestiniens à Gaza (et dans un sens plus large aussi dans les territoires palestiniens) qu’il est le seul acteur capable de traiter avec Israël et de gagner. Mais même si Israël refuse les conditions de l’organisation, ce sera une victoire pour le Hamas : parce qu’Israël n’a pas réussi à libérer les prisonniers, et à cause du tableau d’ensemble : d’énormes quantités d’aide entrent à Gaza, les marchés reprennent leur activité, les habitants de la bande de Gaza retournent chez eux et se photographient même sur la plage, l’armée israélienne a achevé le retrait massif, et la position internationale d’Israël est en baisse – tout cela sans que le Hamas ait même eu besoin de renoncer à une chose. Pourquoi le Hamas devrait-il montrer de la souplesse s’il se sent victorieux ?
Eh bien, en apparence, Israël est piégé. Mais cela ne signifie pas que nous devons y plonger. Trois mouvements peuvent aider à changer la situation :
1. premièrement, une action large et immédiate pour détruire les cellules du Hamas.
2. Deuxièmement, l’annexion de territoires dans le nord de la bande de Gaza – non pas pour la colonisation (cela pourrait venir plus tard), mais comme une mesure de punition pour le Hamas, comme une preuve tangible des dommages territoriaux infligés aux habitants de Gaza et comme une bande de sécurité pour les localités périphériques.
3. Et troisièmement, le retour à la politique de liquidations ciblés du sommet du Hamas, à la fois à l’étranger et à Gaza.
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📕 Le message de Sivan Rahav-Meïr : Voici la traduction en français du texte hébreu :
La mer s’ouvrira pour nous – 5 choses sur la fête à venir !
1. La fête qui commence aujourd’hui (dimanche) soir est appelée *Chvi’i shel Pesach* (le septième jour de Pâque). Lors de la première fête de Pessah, la soirée du Seder, nous avons célébré la sortie d’Égypte, et maintenant nous célébrons la *scission de la mer Rouge*. Pharaon et l’armée égyptienne ont été laissés derrière et se sont noyés, tandis que les enfants d’Israël traversaient la mer à sec.
2. Il est coutumier pendant *Chvi’i shel Pesach* de lire le *Chant de la mer* la Shira – des versets poétiques qui décrivent cet événement. Face à cette réalité joyeuse et surprenante, nos ancêtres ont tout simplement éclaté en chants émouvants.
3. Bien sûr, nous continuons à manger des matzot jusqu’à la fin de la fête, et il y a beaucoup d’ajouts dans les prières durant la fête (“Ya’aleh Veyavo”, Hallel, prière de Moussaf et dans certaines communautés également la prière de “Yizkor”).
4. De nombreux livres indiquent qu’il est bon de prier pendant la fête pour une “scission de la mer Rouge” – dans les domaines du couple, de la subsistance, et jusqu’à la situation du peuple d’Israël et du monde. Nous avons besoin d’une scission de la mer Rouge dans tant de domaines ces jours-ci. C’est une fête qui nous rappelle que même quand il semble qu’il n’y ait pas d’issue, quand tout est oppressant et étouffant – nous avons réussi à sortir de situations bien plus difficiles par le passé. La réalité peut toujours surprendre et changer pour le mieux, avec l’aide de Dieu, et la solution peut venir d’une direction inattendue. Puissions-nous l’espérer, bientôt.
5. Beaucoup ont l’habitude de tenir un *”repas du Mashiah”* le lundi après-midi – suivant l’appel du Rabbi de Loubavitch à tenir un repas festif avec des matzot et du vin, en espérance de la rédemption. Et à la fin de la fête, le lundi soir – *la Mimouna*, la fête de la foi, la célébration des Juifs marocains à laquelle se joignent de nos jours des membres de toutes les communautés.
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🔥 Horaires de Shabbat :
Jérusalem :
Entrée : 18:41
Sortie: 20:01
Tel Aviv :
Entrée: 19:01
Sortie: 20:03
Haïfa :
Entrée: 18:54
Sortie: 20:04
Ashdod :
Entrée: 19:01
Sortie: 20:03
Eilat :
Entrée: 18:48
Sortie: 19:57
Paris :
Entrée: 20:52
Sortie: 22:06
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🤣 Tamid be Sim’ha :
Deux amis se rencontrent. L’un, joueur invétéré dit à l’autre :
– Il faut que je t’annonce une grande nouvelle : j’arrête de jouer ! Plus de casino, plus de tiercé, plus de poker…
– Bravo, lui dit l’autre. Mais pardonne-moi, te connaissant, j’ai du mal à y croire. Je suis même sûr que tu ne tiendras pas !
– Ah bon ? Tu paries combien ?
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“Le peuple d’Israël n’a pas peur d’un long cheminement.”
עם ישראל לא מפחד מדרך ארוכה
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