7 octobre. À qui l’insigne faute, demandent “les tatzpitaniyot”, dites “les yeux de Tsahal”

Des soldates en train de contrôler des caméras de surveillance dans un centre de commandement au camp de Tsahal à Reim, dans le sud d’Israël, le 5 novembre 2023 (Crédit : Armée israélienne)

Aujourd’hui, 5 mois après l’innommable, à présent que les masques sont tombés et que chacun assiste au grand bal de l’hypocrisie où il est loisible d’un jour clouer Israël au pilori et d’oser, 5 mois après, demander à l’ONU ( à l’ONU) une enquête pour les viols commis par l’organisation terroriste que ceux-là traitent comme un “état en place”, aujourd’hui donc, sortent des bribes de “renseignements” que les mêmes croient être des scoops mais que le plus sérieux et les avertis savent, souvent via TJ, mais mettent pour le moment “de côté”, parce que l’heure du grand déballage public n’est pas à l’ordre du jour, Israël se battant dans la plus insigne solitude, Israël se voyant boycotté plus que de raison, Israël avant été sommée d’aller rendre des comptes à La Haye, tout cela devant un monde qu’on croyait seulement lâche et qui hélas se compromet dans la judéophobie la plus crasse.

Bien évidemment des failles sécuritaires, il y en eut. Et TJ, qui déjà avant l’été signalait les signes d’une guerre totale à venir, avait publié sous https://www.tribunejuive.info/2023/12/28/fin- un papier où Yigal Karmon, président fondateur du Memri, institut de recherche des médias du Moyen-Orient, listait les signes d’un 7 octobre, prévoyant qu’une guerre contre Israël devrait éclater à l’automne, et s’étonnant, depuis, que personne ne prit la peine de l’écouter.

Idem concernant les soldates guetteuses affirmant avoir alerté de “mouvements suspects” sans avoir été entendues. “Parce que jeunes. Parce que tout en bas de la hiérarchie de l’armée, disent elles qu’on appelle “les yeux de l’armée”, les tatzpitaniyot en hébreu, chargées qu’elles sont de la surveillance sur le terrain, 24 heures sur 24, sept jours sur sept.

Idem concernant la vulnérabilité de la barrière de sécurité séparant Gaza de l’Etat hébreu et qui, réputée insubmersible, n’a pas fait le poids.

Des voix dénonçant les services de sécurité qui … n’auraient rien vu ou n’auraient rien voulu voir.

L’armée, les services de renseignements, la police…

“Toutes les preuves étaient là. […] Le problème, c’est la manière dont les informations ont été analysées. Ce n’est rien de moins qu’une catastrophe au niveau du renseignement et d’un point de vue opérationnel. C’est un échec important et c’est la première fois, depuis la création d’Israël en 1948, que des communautés israéliennes ont été occupées. Des gens ont été tués dans leurs maisons. C’est un échec pour l’armée et pour l’Etat qui ont le devoir de défendre leurs citoyens, explique Michael Kobi, professeur de stratégie militaire à l’INSS, l’Institut national de sécurité israélien, ajoutant ces mots terribles: “L’autre erreur majeure, c’est la croyance absolue dans la technologie de surveillance et l’absence physique de soldat qui en découle. Le 7 octobre, ils n’étaient que 200 autour de Gaza”.

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