Jean-Luc de Cabrières. Lorsqu’on ne peut nier la vérité?

Un film de 47 minutes des exactions du Hamas, le 7 octobre dernier, a été diffusé ce mardi à l’Assemblée nationale à destination des députés français. Une centaine de députés, du RN à LFI, ont assisté à la projection et ont pu voir ces images “d’effroi et d’horreur” selon les témoignages à la sortie du film.

Une chape de malheur s’est comme soudainement abattue sur le Palais Bourbon. La réalité des crimes du Hamas est venue, plus que jamais, percuter les parlementaires. Dès les premières secondes, l’effroi traverse la salle obscure de l’Assemblée nationale, où sont réunis ce mardi soir une centaine de parlementaires. Sur l’écran, les images du massacre défilent pendant 43 minutes, sous le regard immobile des députés du groupe d’amitié France/Israël. Comme le révélait Le Figaro, tous ont été conviés par le président Renaissance du groupe, Mathieu Lefèvre, à visionner le film sur les attaques terroristes perpétrées le 7 octobre dernier par le Hamas en Israël.

Le film, déjà présenté devant des journalistes ou diplomates en Israël et dans d’autres pays, a été réalisé à partir d’extraits des caméras et téléphones des assaillants du Hamas, tués ou faits prisonniers, et d’images captées par des victimes et des secouristes.

Au cœur d’une polémique pour avoir mis en doute les exactions du Hamas, le député LFI David Guiraud sort de la projection l’air grave:

“Les images que j’ai vues sont d’une violence extrême. Comme je vous l’avais dit, j’avais souhaité le faire d’abord pour partager un moment de peine, de douleur, de deuil avec des collègues qui ont été meurtris par les crimes de guerre du Hamas le 7 octobre”, explique-t-il.

Et, je le rappelle, c’est après cela, qu’un ex-candidat député LFI, démissionné de sa candidature par son parti pour violences sexuelles aggravées, se permet de publier un appel à la protection des musulmans de France. À la protection de qui ? De quoi ? Des incultes, des crachats ? De l’opprobre qui devrait faire chape sur ceux qui ne sont pas sortis du rang pour clamer “Je n’en suis pas !” ?

Bouhafs, vous étiez et vous êtes et vous demeurerez un misérable. Un parmi tant.

© Jean-Luc de Cabrières

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