La quatrième couverture de son livre “Les rives de la mémoire” sera peut-être son épitaphe :
“J’ai grandi à Oran, une ville inondée de soleil, que j’ai plus tard appris à aimer. Adolescent, je ne rêvais que d’en partir. Quitter cette Algérie française sans horizon. Vivre à Paris. Voyager. Le journalisme, où je m’engageai par hasard, fut un moyen inespéré d’assouvir ma curiosité. ([…] Ces rives de la mémoire sont aussi peuplées de celles et ceux qui ont le plus compté pour moi tout au long de ce périple”.
Que la terre soit légère à ce grand professionnel
TJ
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