Lire les ouvrages parus, parfois il “faut” le faire, en parler, le plus souvent le journaliste est heureux de faire partager à ses lecteurs son coup de coeur.
On oublie souvent que l’auteur en question les lira, ces recensions, de même que le réalisateur de “Golda” les a lues, les critiques si sévères, de même encore qu’un Polanski lit sans doute tout ce qui s’écrit “à côté” de son oeuvre.
Mais je reviens ici à Alexandre Jardin que j’imagine découvrant la recension si personnelle qu’a faite Gérard Kleczewski de “Frères” sur TJ:
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Et il est rarissime que ça donne cela: “Quand un écrivain que tu suis et admire depuis ses débuts, dont tu apprécies le parcours tout autant que la bienveillance et l’humanisme, écrit ça sur l’article que tu as consacré à son dernier opus (“frères”) et t’appelle sur ton portable alors que tu es dans le tram… #bouleversant“
Nous, cela ne nous étonne en rien, s’agissant d’Alexandre Jardin, et s’agissant de Gérard Kleczewski, lui-même auteur.
Puisque l’un comme l’autre y ont mis “leurs tripes, leur coeur, l’âme et tout le reste”: N’y a-t-il pas comme une sorte “d’évidence” à cette rencontre aux airs magiques.
TJ
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