Venu recevoir le prix d’honneur attribué par Pen America, le groupe de défense de la liberté d’expression et de la littérature dont fut le président, Salman Rushdie fit jeudi soir sa première apparition publique depuis l’attaque qui faillit lui coûter la vie en août dernier.
Prenant la parole en français, espagnol et anglais devant les 700 personnes venues assister au gala de l’organisation de défense des écrivains, il réaffirma son soutien aux iraniennes et déclara: “Le terrorisme ne doit pas nous terroriser. La violence ne doit pas nous dissuader. La lutte continue”.
J’ai récemment lu une interview de Salman Rushdie qui m’a enlevé toute estime pour lui. Après l’habituel refrain sur Poutine “tyran” (appris par cœur comme ceux qui répètent que Netanyahu est “d’extrême droite”) il nous sert un discours nauséeux et dégoulinant à souhait sur la “White supremacy” …! Du pur wokisme comme un article du New York Times. J’ai enfin vu qui il est vraiment. Un peu comme Sifaoui que je prenais pour quelqu’un de bien jusqu’à ce qu’il nous montre qui il est réellement avec le procès Bensoussan.
Du double discours. De la double pensée et une imposture.