Gouvernement de Netanyahou : grosses inquiétudes
Israël vers la dictature ? (103 min)
Gabriel Abensour – enseignant, Richard Prasquier – président du Keren Hayessod
Le débat
- Un pays très fragmenté Nouvelles tensions avec les arabes israéliens (16min)
- Netanyahou, à bas les juges ! Intrication des pouvoirs (24min)
- Les dilemmes du centre-gauche Echec de coalisation (9min)
- Des harédim mieux intégrés Contre les valeurs démocratiques (11min)
- Le parti ethno-nationaliste au pouvoir Militantisme réligieux (16min)
- Questions du public Tribunaux rabbiniques, prises de positions
Biographie des Conférenciers
Gabriel Abensour – enseignant
Gabriel Abensour est originaire de Strasbourg. Il émigre en Israël à 18 ans et rejoint la Yeshivat Hakotel pour cinq années d’études religieuses, suite auxquelles il entame ses études universitaires à l’Université Hébraïque de Jérusalem. Après un B.A. de philosophie, économie et sciences politiques, Gabriel rejoint le département d’études juives, où il se focalise depuis sur la pensée rabbinique nord-africaine. Doctorant, sa thèse porte sur la littérature rabbinique algérienne à l’epoque coloniale. Gabriel étudie aujourd’hui à l’institut Shalom Hartman (Jérusalem) et enseigne et écrit sur différentes plateformes juives, en hébreu et en français. Il a cofondé le centre d’étude Ta Shma à Jérusalem, qu’il dirige aux côtés de R. Bitya Rozen-Goldberg. Pour plus d’informations sur Ta Shma: https://www.pardes.org.il/summer-francais/
Richard Prasquier – président du Keren Hayessod
Richard Prasquier, né le 7 juillet 1945 à Gdańsk en Pologne, est un médecin cardiologue français, président du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) de 2007 à 2013. Il a contribué à un ouvrage collectif sur le sauvetage des juifs par Monseigneur Théas, évêque de Montauban et a reçu le prix de l’association Zakhor pour la Mémoire en 2006, pour son travail au sein de Yad Vashem. Le 11 septembre 2013, Richard Prasquier devient président de la section française du Keren Hayesod.
Organisateur
Heureusement qu’il y a un point d’interrogation.
Récemment, Il y avait l’émission Répliques d’Alain Finkielkraut et deux invités, Messieurs Encel et Barnavi. Il n’ya pas eu de débat car les deux invités étaient à peu près d’accord sur tout. M. Baravi est très pessiliste et M. Encel a pu placer dex ou trois fois le mot voyou à ladresse de ministres, as usual.
Très déçu par cette émission alors vous pensez un autre débat, dans lequel j’ai trouvé M. Prasquier long et anecdotique, mais M. Abensour m’a pru plus intéressant voire passionnant.
Ceux qui parlent de “dictature” en Israël sans voir que l’UE est au mieux une démocrature (et se rapproche de la dictature à grands pas) me font l’effet de neuneus. Manger des tacos, lire Annie Ernaux ou écouter du rap nuit à la santé physique et mentale.
Ce titre est infâme surtout venant de Prasquier responsable du Keren Hayesod ( terminé les dons à cette organisation)
Scandaleux et honteux qui servira aux ennemis d’Israël
Non israel sera toujours une démocratie n’en déplaise à ces 2 compères
Netanyahu a toujours respecté la démocratie ce qui n’est pas le cas de cette gauche manipulée qui manifeste colle le font les fascistes rouges pour déstabiliser et payer par millions de dollars par la CIA via Biden Obama
Biden ne s’en cache pas et les arabes sont fous de joie devant ces manif qui mettent en danger israel
vous oubliez le point d’interrogation ?
Oui heureusement
Merci mais le titre reste
Nos lecteurs ont évidemment raison: le point d’interrogation est odieux et grotesque sur ce point précis. Où va-t-on? Je pense aussi que le point d’interrogation est “vous”, peut-être pour attirer le lecteur, et il m’étonnerait qu’il ait échappé aux décideurs du site et aux intervenants. Il faut donc se féliciter que l’article soit lu. SC pour TJ
Cher André Mamou,
Le point d’interrogation ne change rien à l’affaire… Imaginez-vous un débat intitulé “Israël Etat raciste?” ou “Les Juifs sont ils un peuple déicide?”
Je pense que M. Prasquier est un honnête homme et qu’il ne devrait pas accepter que son intervention soit présentée sous ce titre. Peut-être faudrait-il l’en informer?
Hag Saméah
Pierre
Ce débat sur Akadem est une vaste esbrouffe, avant même de rentrer dans le détail des inepties proférées par les deux intervenants. Ils ont aussi proféré des affirmations juste. Toutefois, un débat digne de ce nom aurait du confronter des personnes aux positions contradictoires d’autant que la controverse sur ce sujet est très vive en Israel. Là, aussi bien Prasquier que Abensour sont globalement d’accord. Au passage l’intervention d’Abensour est on ne peut plus insipide et ennuyeuse. Et on ne mentionne même pas le titre de ce débat que ne dédaignerait une réunion de BDS en France.
Comment se fait-il , qu’Akadem ne fait pas débattre un seul intervenant favorable à la réforme judiciaire du Gouvernement actuel???? Aucune vidéo sur Akadem consacrée à ce sujet ne fait intervenir un spécialiste de Droit ou de sciences politiques explicitant en quoi selon lui cette réforme renforce la démocratie. Pourtant de tels experts ne manquent au sein de la communauté francophone d’Israel qui de plus, est identifiée à 80% avec la droite israélienne. Ce fossé, cet abime qui se se creuse entre les Olim de France et les médias juifs communautaires comme Akadem ou Radio J est extrêmement préoccupant. Le public exposé aux vidéos d’Akadem n’a donc pas droit à écouter les deux sons de cloche afin de se faire une opinion en connaissance de cause. Le monolitisme d’Akadem et dans son sillage de l’ensemble des radios juives en France est un fait indéniable aujourd’hui. A ce titre, ces médias aujourd’hui prennent se le relai de e France 2 et Libération pour diffuser la désinformation sur Israel.