Le prix Alexandra Leyris 2021-2022

C’est finalement le 11 septembre prochain à 15 heures à la mairie de Saint-Mandé que le Prix Littéraire Alexandra Leyris de la loge George Gershwin du B’nai B’rith France, sera attribué à son lauréat.

Philippe Amar

Le jury, présidé par Jean-Pierre Allali avait présélectionné 25 ouvrages portant sur le judaïsme ou Israël. Et c’est Philippe Amar qui l’a emporté pour son roman « Les trois vies de Suzana Baker » paru aux Éditions Mazarine.

La cérémonie de remise aura lieu en présence du maire de Saint-Mandé, Julien Weil et du Grand rabbin Moshé Lewin. Outre son diplôme, Philippe Amar recevra un tableau offert par la présidente de la loge, Patricia Waserman.

Un intermède musical avec Frédéric Zeitoun et un buffet agrémenteront cette cérémonie.

Les membres du jury ont, d’ores et déjà abordé la lecture des ouvrages en lice pour la deuxième édition (2022-2023) du Prix Alexandra Leyris.

Alexandra Leyris

Rappelons qu’Alexandra Leyris était la petite fille du célèbre chanteur constantinois Raymond Leyris dit « Cheikh Raymond », beau-père d’Enrico Macias. Membre très active de la loge George Gershwin, Alexandra Leyris a été emportée par la maladie le 1er juin 2019 à la veille de son anniversaire. Elle allait avoir 42 ans.

Inscriptions : loge.george.gershwin@gmail.com

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2 Comments

  1. Bonsoir, Alex,

    On communiquait beaucoup par téléphone, j’ai apprécié ta grande générosité, la tendresse avec laquelle tu abordais l’humain, ta complicité. On parlait des expos que tu prévoyais sur la Shoah ou des choses de nos vies et cela ne faisait qu’un. Tu avais aussi rendu hommage à ton grand-père auquel tu ressembles tant. Tu m’as déclaré froidement le nom du mal que tu portais au téléphone, et que tu partais pour Percy-Clamart, en attente d’une greffe urgente de moelle. On n’a même pas eu le temps d’y songer, je n’ai jamais eu la réponse aux questions pour palier.

    Je suis content que la communauté, en France, ne t’aies pas oubliée et que tu prêtes ton nom à la remise d’un prix, où tu travaillais, à St Mandé.
    J’ai fait ce que j’avais en tête à l’époque et suis parti vivre au pays dont nous parlions souvent, mais où tu avais aussi vécu une terrible épreuve.
    De revoir son petit sourire en coin, dans cet article tout-à-l’heure, m’a remis un coup, comme si tu étais là, et en même temps, le “prix” (que tu as payé) et que tu décernes, te replace dans cet ailleurs de ces librairies vivantes qui brûlent à tout jamais. Tu es en éclaireuse et guerrière vaillante des meilleurs livres que tu aimais et je n’ai pas à savoir si c’est bien ou mal, si cela conjure ce qui ne devait pas être…

    Je ne sais pas ce que l’on fait de nos mémoires, dans des cas semblables, puisque tout se rapporte à l’intime de conversations entendues par nul autre, et te voilà devenue institution, une “chapelle ardente”… 42 ans, tout à faire… Mes hommages, Alex.

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