Maxime Tandonnet. Le “quoi qu’il en coûte” poursuit le “c’est gratuit, c’est l’Etat qui paye” et le “socialisme à la française” de jadis

Selon la Cour des Comptes, la dette publique française s’est accrue de 560 milliards en 2020 et 2021 dont 160 pour la crise sanitaire et le reste en augmentations diverses.

Aujourd’hui le pouvoir politique poursuit cette politique de la cigale avec encore son supposé “plan de protection du pouvoir d’achat de 20 milliards” un record absolu en Europe (cf Figaro de ce matin).

Ou s’arrêtera la gabegie? Car le remède est pire que le mal. Le pays surtout à travers la puissance publique dépense bien plus qu’il ne produit d’où l’explosion des déficits, de la dette publique et de l’inflation et la tendance à la désindustrialisation.

Et la politique de gabegie se traduit à terme par un appauvrissement du pays et la paupérisation de la Nation. En prétendant défendre le pouvoir d’achat, ils appauvrissent les Français.

Même démagogie sur le plan régalien (sécurité, immigration). Les coups de menton, l’incantation, la fuite en avant dans les provocations et la surenchère ne sont rien d’autre que la face visible de l’impuissance et de la démission.

Plus ils crient et gesticulent ou multiplient les “annonces”, moins ils en font. Ce qui est terrible c’est que la communication du pouvoir oppose le “sérieux gouvernemental” aux deux “extrêmes”.

Or la politique mise en oeuvre par delà les batailles de jappements est justement celle préconisée par les dits “extrêmes”: gabegie sans fin et sans aucun équivalent en Europe et fuite en avant dans la technique du coup de menton stérile.

© Maxime Tandonnet

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