L’Islamisation tranquille de Nangis, une ville de 10 000 habitants

Yannis Ezziadi

Yannis Ezziadi, comédien et auteur dans les pages culture du magazine Causeur, est allé à Nangis, “un village au milieu des champs”. Les chiffres et le ressenti : “On ne se parle pas” .

Le malaise civilisationnel de la France profonde ne compte pas

Yannis Ezziadi répond aux critiques qui lui ont été adressées après la publication d’un reportage dans lequel il dépeint le quotidien des habitants de Nangis, une commune de Seine-et-Marne marquée par une montée du communautarisme.


Je vais vous raconter ici la petite et terrible histoire du déni de réel. L’histoire des chiffres contre nos yeux. Le 11 mai dernier – moi qui ne suis pas journaliste de profession mais comédien et auteur dans les pages culture du magazine Causeur–j’ai entamé un reportage de quelques jours dans le village de Nangis – au cœur de la Brie – en proie à une délinquance grandissante et à un communautarisme musulman dont nos yeux seuls suffisent à nous fournir la preuve sur un plateau. J’y ai passé six jours pour me promener, pour regarder, discuter avec les gens et tenter de comprendre ce qui se passe, ce qu’ils ressentent. Quand je dis ils, je parle de ceux que l’on appelle les «Français de souche». Je veux savoir comment ils vivent ce «métissage» diront certains, ce «changement de peuple» diront d’autres. Mes yeux et mes oreilles ont été mes seuls outils. Mon reportage est sorti dans le numéro de juin de Causeur. Mon récit, mon constat, vous pouvez les trouver en détail dans ce reportage de huit pages intitulé Ma première Burqa. Mais si j’écris ici, c’est pour dénoncer le déni et la tentative de décrédibilisation dont j’ai été instantanément l’objet. Il semblerait que ce que j’ai vu n’existe pas, que mes yeux se trompent, que ma bouche mente.

Le 8 juin, Jean-Marc Morandini a consacré une émission à mon reportage dans laquelle il m’a invité à débattre. Entre autres face à moi, Gerald Briant, adjoint PCF au maire du 18ème arrondissement de Paris, qui dès le départ a tenté de me disqualifier. «C’est un plaidoyer pour le grand remplacement , pour la théorie complotiste du grand remplacement», clame-t-il indigné ! Ça, je m’y attendais, bien évidemment. Mais ses arguments principaux pour balayer d’un revers de main mon travail ont été la science et les chiffres ! Je ne me base pas sur la science selon lui. Ce que je ne renie pourtant pas. C’est d’ailleurs un extrait de mon propre texte qu’il cite pour appuyer son attaque: «Bien sûr, dans tout ce que vous venez de lire, rien ne repose sur des études, des calculs, des chiffres. C’est simplement le ressenti des personnes que nous avons croisées». Pour Gérald Briant, cela ne compte donc pas. Pour lui, c’est très clair, on se fiche de ce que les gens ressentent. Ce qu’il souhaite est très clair aussi: des études et des chiffres qui prouvent le contraire du ressenti d’une partie de la population, qui prouvent par de très sérieux calculs que les gens ne voient pas ce qu’ils voient. Lorsque des chiffres viennent appuyer la «théorie» d’un changement de population, ils ne l’intéressent d’ailleurs pas plus que le ressenti.

Tous, m’ont confié leur malaise dû à la sensation d’islamisation de leur ville. Pas une personne ne m’a tenu un propos raciste. Mais tous m’ont dit ne plus se sentir chez eux, se sentir dépossédés de leur village.Yannis Ezziadi

Je pense pour ma part que les chiffres sont importants, qu’ils peuvent nous servir. Mais ce travail ne relève pas de mon domaine. Mon domaine à moi, c’est la retranscription de l’expérience sensible, c’est le récit d’êtres vivants, avec leurs peurs, leurs doutes, leurs souffrances. Et c’est, à mon avis, au moins aussi important que les chiffres. Cette souffrance des êtres n’est pas mesurable par des calculs et des études. Doit-elle pour cela ne pas compter, ne pas être prise en compte, être balayée par le revers d’une main méprisante et scientifique ? Pour Gérald Briant,« ce n’est pas un travail sérieux ». Peut-être devrait-il pousser un peu plus loin sa pensée et dire que ce que les gens ressentent n’est pas sérieux. Je le répète, je n’ai fait que me promener et discuter avec quelques personnes croisées sur mon chemin. Une quarantaine. Tous, je dis bien tous, m’ont confié leur malaise dû à la sensation d’islamisation de leur ville. Pas une personne ne m’a tenu un propos raciste. Mais tous m’ont dit ne plus se sentir chez eux, se sentir dépossédés de leur village. Les témoignages à ce sujet se ressemblent tous. Suis-je tombé, par hasard, sur les quarante seules personnes de Nangis à penser cela ?

Une autre tentative de déstabilisation et de déni m’est venue ce jour-là d’un deuxième interlocuteur sur le plateau de Morandini, le conseiller de Paris du Groupe indépendant et progressiste et actuel candidat «Ensemble» aux législatives, Pierre-Yves Bournazel, qui a tenté de m’enfermer dans le piège «islam-islamisme». Il a commencé le commentaire de mon texte par une précision: la différence entre islam et islamisme, différence qu’il faut absolument faire selon lui. Comme si je faisais l’amalgame. Mais quel amalgame ? Je ne suis pas islamologue, il est vrai, et ne compte d’ailleurs pas le devenir. Ce qui est islam d’un côté et islamisme de l’autre ne m’intéresse pas. Ce à quoi je m’intéresse dans ce reportage, c’est à certaines pratiques culturelles et religieuses, à un certain mode de vie d’une partie non négligeable des personnes de confession musulmane de Nangis qui heurtent l’autre partie de la population qui ne l’est pas. Je laisserai donc le soin à Pierre-Yves Bournazel de catégoriser ces pratiques religieuses et culturelles.

Puisque le problème pour lui ne semble être que l’islamisme, je lui demande si le voile – simple et non intégral – est de l’islamisme. Il me répond que non. Je lui demande alors: «Que répondez-vous aux habitants de Nangis qui voient tous ces voiles comme autant de drapeaux islamiques plantés sur le territoire de leur ville ? Que dites-vous à tous ces gens qui trouvent que leur ville, pour cette raison, devient musulmane ?» Sa réponse : «Là aussi, distinguons l’islamisme et l’islam. Quand il y a des revendications religieuses où on veut imposer sa foi sur la loi de la République et sur le vivre ensemble, nous devons être très fermes et défendre les principes républicains […] deuxièmement, les premiers à se battre contre l’intégrisme religieux c’est souvent les mamans, les gens dans les quartiers qui veulent vivre leur foi – ou d’ailleurs parfois ils n’ont pas la foi – tranquillement et sans être sous pression. Et notre devoir c’est de les protéger ou de les émanciper». Morandini fait alors remarquer à Bournazel qu’il ne répond pas à ma question. «Mais c’est quoi la question ? Il faut dire que les musulmans sont des islamistes ?», s’exclame le candidat «Ensemble».

Bournazel ne répond évidemment pas à ma question. Lui aussi méprise complètement cette problématique du ressenti des «Français de souche» culturellement menacés par un islam d’atmosphère qui les étouffe. Il répond à cette question par un autre ressenti, celui des personnes de confessions musulmanes qui seraient, selon lui, les premières victimes. Ce sont les musulmans qui semblent l’intéresser. Peut-être est-ce moins nauséabond de s’intéresser au ressenti des «musulmans» qu’à celui des «Français de souche». Rien que le terme «Français de souche» ne met à l’aise personne. Les «de souche», circulez – ou souffrez –il n’y a rien à voir ! Voilà une fois de plus le mépris dont ils sont victimes. Une fois de plus, on ne répondra pas à leurs questions pourtant existentielles. Les Nangissiens que j’ai rencontrés ne m’ont pas parlé d’islam radical, de terrorisme ou de charia. Ils m’ont dit que la population grandissante de femmes voilées et d’hommes en djellabas, les commerces communautaires, l’implantation de la mosquée, toutes ces choses qui se voient, qui leur crèvent les yeux, sont autant de signes qui montrent que leur ville est gagnée par le communautarisme. Pas intégriste, pas djihadiste, pas Ben Ladeniste. Musulmane.

Ce qui vous dérange vient de vous, de votre cœur malade et non de délits comptabilisés dans des chiffres officiels retranchés, recoupés, analysés par la science triomphante.Yannis Ezziadi

On m’explique que ce que je rapporte dans les pages de Causeur n’a pas d’importance. Ou pire, que ce que je dis avoir vu et entendu n’existe pas. Les chiffres, les études, la science, la loi. Tout cela contre mes yeux et mes oreilles ? Tout cela contre la sensation, contre le cœur ? Lorsqu’un journaliste se rend sur un terrain de guerre afin d’interviewer la population bouleversée, on ne lui rétorque pourtant pas que son travail ne vaut rien car ce n’est que le ressenti des populations qu’il a rencontrées, et qu’il faut des chiffres, des études approfondies pour étayer son propos. C’est pourtant cette arme avec laquelle on m’attaque. Je me promène, je regarde, je discute, j’écoute ce qu’on me dit, je tente de me mettre à la place des habitants pour les comprendre. Voilà un travail qui n’est pas sérieux, qui ne vaut rien. C’est pourtant ce qu’on appelle le reportage. Se rendre sur le lieu d’un événement, récolter sur le vif des témoignages, des informations et en rendre compte dans les pages d’un journal. Mais le reportage, visiblement, n’est valable que pour certains sujets. Pour celui du malaise civilisationnel et de l’insécurité culturelle, il ne compte pas. Voilà pourquoi, chers Nangissiens, ce que vous m’avez raconté n’a aucune importance. Voilà pourquoi un trait sera tiré sur vos paroles qui ne comptent pas. Voilà pourquoi les problèmes qui sont les vôtres ne seront pas réglés. Ce qui vous dérange n’est pas interdit. Ce qui vous dérange vient de vous, de votre cœur malade et non de délits comptabilisés dans des chiffres officiels retranchés, recoupés, analysés par la science triomphante. On vous l’avait pourtant dit qu’il ne fallait pas confondre l’insécurité et le sentiment d’insécurité. Il ne faut pas non plus confondre l’islamisation et le sentiment d’islamisation. Votre ressenti n’est pas scientifique, alors soyez gentils… Gardez vos sentiments pour vous ! Et la prochaine fois, revenez avec des chiffres. À ce moment-là, on verra ce qu’on peut faire !


Yannis Ezziadi est comédien et auteur dans les pages cultures du magazine Causeur.

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21 Comments

  1. Bravo pour ce travail objectif et lucide. Ayant vécu dans une cité sensible je comprends parfaitement le vécu des habitants. Ce n’est plus du déni venant de ces responsables car à ce niveau c’est de la complicité active pour gagner l’électorat musulman! Honte sur ceux là qui pour garder le pouvoir sont prêts à toutes les compromissions !

    • Je partage entièrement « l’impression » que Nangis donne à Yannis Ezziadi. Moi non plus, je n’ai pas de chiffres. Mais, habitant un petit village sans un seul commerce, je vais faire mes courses à Nangis, je me balade à Nangis, je parle aux gens, et j’ai des yeux pour voir.
      Depuis qqs années, les voilées ont envahi la ville. Pas seulement le foulard, hein ! Le hijab bien noir, gris ou marron. Elles font les commissions avec les enfants, tandis que Monsieur, sur le parking, fait ronfler le moteur, pour le chauffage en hiver, pour la clim en été (avec parfois la fenêtre ouverte, mais bon….)
      A la campagne, ça fait drôle.
      Encore plus drôle, le spectacle donné par les jeunes-filles, en hijab, courant très vite en se bouchant le nez parce qu’un filet de vent portait à leurs narines pieuses le parfum de saucisses grillées, à la braderie, dans le parc dit « du château » ! C’était l’an dernier. Le cochon était-il toujours présent sur le grill cette année ?
      Et enfin, moins drôle cette fois, un autre épisode sur la braderie. Je bavarde avec un vendeur, je me retourne pour mettre mon achat dans mon caddie, hop ! plus de caddie. A vingt pas de là, un homme en robe marron marchait d’un bon pas, mon caddie à la main. J’ai réclamé mon bien, qui me fut rendu avec comme excuse « Je me suis trompé de caddie ». J’ai réussi à ne pas l’insulter. Ce voleur (qui a quitté le parc sans aucun caddie) a fait beaucoup pour mon doute profond quant au désir d’intégration respectueuse de ces nouvelles populations. C’est réellement désolant.

  2. Bonjour , au préalable je précise que je suis Belge ,progressiste et défenseur de la démocratie , la vraie pas celle travestie à outrance par les médias de la pensée unique et autre moralisateur adepte de la naiveté . J’ai depuis longtemps la conviction profonde que de plus en plus de musulmans et surtout parmis les jeunes générations ,confondent terre d’acceuil avec territoirs conquis, ils sont les vainqueurs d’une guerre imaginaire qu’ils n’ont pas menés et nous en sommes les vaincus! les dirigeants politiques surtout de gauche mais pas que, les confortent dans cette utopie par pure opportunité électoraliste et par peur de ce qu’ils craignent le plus être qualifié de “raciste” ,d’intolérants,d’extémistes de droite par le nouveau clergé tout puissant les médias et leurs cohortes de journalistes infuenceurs .Ceci les musulmans champions du monde de la victimisation l’ont compris depuis longtemps et en on fait l’élément principal de leur stratégie de conquêtes . Nous leurs offrons depuis des décénnies au travers de notre système social le dû des vaincus aux vainqueurs. ceci explique cela.

  3. Yannis Ezziadi a fait un reportage sérieux et important . Il est resté 6 jours et il a parlé à 40 personnes . Il rapporte ce qu’il a vu et entendu. Ceux qui ne sont pas d’accord avec ce reportage qui dérange leurs convictions ne sauraient opposer une fin de non recevoir sous prétexte qu’il n’est pas une étude chiffrée du degré d’islamisation , étude illégale d’ailleurs . Non, au reportage contesté par ces membres du camp du bien , il faudrait opposer un autre reportage de 6 jours et de dizaines d’interlocuteurs montrant que tout va bien à Nangis et qu’il reste encore un peu de temps avant que tous les non musulmans aient quitté la ville et que la ville change de nom et adopte par exemple le nom de El bilad Nangis !

  4. “Tous, m’ont confié leur malaise dû à la sensation d’islamisation de leur ville. Pas une personne ne m’a tenu un propos raciste. Mais tous m’ont dit ne plus se sentir chez eux, se sentir dépossédés de leur village” : pas de racisme ??!! Ah bon…
    Remplacez l'”islamisation de leur ville” par “les juifs sont partout”
    et demandez vous si personne ne tient de propos antisémites/racistes

    • Il s’agit de femmes voilées, d’hommes en djellabas, de mosquées avec appel à la prière, de boucheries et de restaurants hallal. La sensation d’islamisation est en fait une simple constatation : la France de notre enfance n’est plus en territoire de France .

      • cher andre mamou …. la faute a qui cette islamisation de la france ?? d abord ca a commencer avec de gaulle qui a fait venir 500 000 algeriens pour travailler pour les grandes glorieuses en france pour les grands travaux et c est giscard president et chirac pm qui ont decidé de reunifier les familles des travailleurs musulmans et surement mitterand a fait de meme en faisant venir lui les africains et c est sous sarkozy qui fait venir ses amis du qatar islamiser les quartiers des banlieues francaises et hollande comme macron venus apres ont fait de meme “” ils ont tous fait rentrer bcp d immigrés et l islamisation de la france est là et pour cela moi j ai voté marine le pen parce que j en ai marre des arabes des femmes voilées des africains muzz (moi meme je me suis fait attaqué par 2 negros il y a 2 ans en allant a un meeting de keren layedidoute a paris et depuis ces africains et arabes on devrait tous les expulser manu militari et on laisse faire cela que ca soit la gauche extreme ou socialiste ou ecolos bobos ou communistes ils sont tous partisans de faire venir en france la misere du monde alors que michel rocard avait dit en 1988 comme pm de mitterand que la france n a pas a recevoir la misere du monde ca suffit mais helas la gauche en general soutient l immigration massive et n oublions pas que la majorité des aides francaises partent aux immigrés muzz au lieu d aller pour les francais dans le besoin !!

        la france fout le camp comme israel aussi fout le camp en laissant faire cela faire les arabes ce qu ils veulent “”israel perdra d annee en année “” et si israel ne fait rien contre l islamisation rampante d israel comme expulser les arabes dd israel qui n aiment pas israel et je ne comprends pas que les bolcheviques achkenazes se sotn trompés sur toute la ligne avec ben gourion etc de en pas expulser les 200 000 arabes en 1948 devenus 2 mions de nos jours et regardez dans les villes mixtes “” de plus en plus de juifs se font attaquer par ces arabes là et la justice israelienne est tellement pourrie par la gauche ou les juges de gauche qu elle ne fait rien contre ca !!

        moi je pense qu avec ben gvir et smotric tout ca pourrait changer si on les laisse faire “bibi pourrait les aider a devenir pm avec le soutien du likoud et des religieux en general “” !!

        am israel chai “

  5. Pauvre Patrick , il n’a rien compris . Les juifs ont été chassés , torturés , exterminé et pourtant il ne faisaient pas de prosélitisme(on leur reproche même d’être repliés sur eux même et de ne pas accepter le melange :créolisation comme dit Mélangeons ) .Le résultat , ils sont obligés de partir ,de quitter le 93 , Sarcelles , le 19e ,des villes et villages de province sous la menace et les agressions physiques .Mais pauvre Patrick vous n’avez rien compris , voire vous participez à l’islamisation de la France et donc au gran remplacement !!!

    • Bonjour
      Pour vous répondre, deux des mes enfants (juifs) ont des prénoms arabes. J’imagine qu’à ma manière je participe à l’islamisation de la France et au gran (sic) remplacement. Et ,horreur !, mon fils a deux meilleurs copains musulmans. Un juif et deux musulmans amis au fin fond d’un village de province… On court vers la fin de la civilisation

      • @ patrick
        18 JUILLET 2022 À 16 H 50 MIN

        Vous dites au début de votre propos : “Pour vous répondre” et vous exposez les prénoms de vos enfants, la religion de leurs copains. Je ne vois pas là une réponse aux critiques qui vous sont formulées.

    • Le grand remplacement, théorie diffusée par Zemmour. Le même Zemmour qui minimise la politique sciemment antijuive de Vichy, qui juge « criminel » le discours du Président Chirac sur la reconnaissance de la responsabilité de la France dans la déportation des juifs de France et qui conteste l’innocence du capitaine Dreyfus… Ça devrait faire réfléchir

      • Vous répondez à côté ! Une petite ville française de presque dix mille habitants qui devient une ville où les habitants sont en tchador et djellaba et où les cloches des églises ont été remplacées par les muezzins sur haut parleur , et vous faites le pseudo intelligent anti raciste ? C’est vous le raciste qui vous réjouissez de voir une ville de France devenir terre d’ Islam !

  6. J’habite en province et je pourrais vous raconter des anecdotes effrayantes…mais elles ne concernent pas des Arabes. Ni même peut-être des Musulmans.

  7. Quand les élus ne prennent pas la peine de proposer des mesures concrètes pour susciter l’assimilation dans la population immigrée, voilà ce que cela donne …
    Tout ce qui les intéresse, décidément, c’est qu’ils votent pour leur réélection.

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