Samuel Paty. La lâcheté d’un Alexis Corbière et le courage d’un J.P. Obin

“Le métier d’enseignant, ce n’est pas de choquer en permanence les élèves, mais de le faire progresser”, déclare Alexis Corbière…

Indécence. Lâcheté. Compromissions. Menus arrangements. Ou en Une minute et 8 secondes, la méthode d’un Alexis Corbière, pataugeant, ramant, prêt à tout et même au pire pour espérer glaner quelque électorat.

Mais Alexis Corbière a voulu répondre au torrent de critiques après ses propos sur les caricatures à l’école et l’accusant de justifier l’assassinat de Samuel Paty: “Je ne parlais pas de Samuel Paty”, explique au HuffPost Alexis Corbière, qui dénonce “une polémique manœuvrière indigne”.

Réponse du Syndicat des Commissaires de la Police Nationale:

“Dis papa, c’est quoi l’islamogauchisme? Ben, écoute Alexis Corbière qui essaye de justifier l’injustifiable, alors qu’un professeur, Samuel Paty, a été décapité par un islamiste. Lui et ses amis préfèrent traiter les policiers de barbares d’ailleurs, plutôt que les islamistes”, accuse l’organisation syndicale.

Caricatures de Charlie Hebdo : "N'y a t-il pas là dedans des dessins qui ne sont pas fait pour des adolescents ?", interroge @alexiscorbiere. "Ce n'est pas pour autant que j'empêche la critique des religions, mais un outil pédagogique doit être adapté." #SamuelPaty #CVR pic.twitter.com/DzXpK82pBS

— LCP (@LCP) October 15, 2021

#PasdeVagues : "On est dans une culture institutionnelle où la peur du conflit règne depuis des siècles. L'école laïque est la fille de l'église, ce sont les mêmes systèmes", indique Jean-Pierre Obin. #SamuelPaty #CVR pic.twitter.com/E1Po5W9LY2

— LCP (@LCP) October 15, 2021