J’adore cette époque qui voit tomber tous les masques:
La gauche est une prostituée qui bafoue ses propres valeurs d’émancipation et de laïcité.
Les dirigeants palestiniens reconnaissent enfin qu’ils ne veulent pas d’un état indépendant à côté d’Israël mais à la place d’Israël.
L’antisémitisme relativement en sommeil après 1945 se réveille plus fort que jamais sous prétexte d’antisionisme radical qui prête à l’état des juifs toutes les tares traditionnellement attribuées aux juifs.
L’antiracisme se dévoie en racismes.
La démocratie n’est plus qu’une formule.
Les rois sont nus aux yeux des peuples.
Les corruptions se révèlent au grand jour.
Les experts sont confrontés à leurs erreurs.
Le populisme devient populaire et la trahison des élites évidente.
Un nouveau totalitarisme piétine sans masque et en dépit de ses ridicules le corps d’une démocratie malade.
Mais comme le disait Hölderlin: “Là où croît le péril, croît aussi ce qui sauve.“
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