La saine colère du Docteur Jean-Louis Bellaton

Docteur Bellaton

Cinquante ans de médecine de campagne!
J’ai 76 ans passés et j’en ai vu des épidémies de grippe dès 1969-1970, qui tuaient 30 à 40 000 personnes sans qu’on affole une population infantilisée par l’idée de la mort et -surtout- par médias et hommes politiques qui surfent sur la vague.

J’ai de nombreuses années assumé un cabinet de 40 à 5O malades par jours et nuits et dimanches en dépit de 3 associés que j’avais accueillis à mes côtés.

Encore inscrit au Conseil de l’Ordre, je viens de soigner une dizaine de personnes atteintes du COVID 19 et j’y suis passé moi-même sans encombre en n’hésitant pas à prendre Nivaquine + Antibiothérapie.

Oui, on n’est pas certain de l’efficacité de ce traitement… mais alors, que proposer à nos patients ?

Pour mes amis et parents, comme pour moi, je n’ai pas hésité.

Toxicité de l’Hydrochloroquine?

Toxicité de l’Hydrochloroquine? J’en ai prescrit comme tous les autres médecins pendant 50 ans (sans qu’on m’emmerde) contre le Paludisme et dans certaines affections rhumatismales sans la moindre incident alors que j’ai dû hospitaliser des cirrhoses au Paracétamol chez des non alcooliques, sans parler des hémorragies digestives sous Aspirine…

Le Confinement

Le Confinement : certes pour les personnes fragilisées et afin de ne pas engorger les services de réanimation qui n’existaient pas dans les années 70.

Mais on le prouvera quand nous serons en possession de Tests sérologiques fiables : quoi qu’on fasse, les 3/4 de la population auront contracté le COVID 19 en ne présentant qu’une simple «gripette» ou une forte grippe.

La cacophonie des “Grands Professeurs”

Que dire de la CACOPHONIE des « GRANDS PROFESSEURS » (combien d’entre eux ont-ils réellement fait de la Recherche fondamentale ?), des grands professeurs qui n’ont pour la plupart jamais eu à soigner une grippe et des Pneumopathies virales alors que nous en avons soigné des milliers au cours de notre carrière et que sommes, nous, médecins de Famille en 1ère ligne pour soigner les 3/4 des personnes atteintes du COVID 19.

Oui : qu’ont-ils à proposer ?

Alors, qu’on laisse le médecin de famille responsable faire son boulot sans lui interdire tel ou tel produit !

Ou alors, qu’on lui interdise le droit de soigner !

Seuls quelques grands spécialistes et chercheurs ont droit de nous apprendre.

Toute mon admiration va aux médecins de réanimation et à leurs assistants qui se dévouent de façon merveilleuse 24 heures sur 24 pour les cas désespérés.

Mais si un jour, il se confirme que Nivaquine et Plaquenil ont une efficacité -même relative- contre le COVID 19, alors nous serons en droit d’accuser tous ceux qui nous l’ont interdit, d’avoir mis en danger la Vie de centaine de milliers de malades et -voire- de les traduire en Justice.

Car, pour avoir été Maire pendant 19 ans et Conseiller Général Régional 12 ans, je doute de l’esprit de Culpabilité de certains “GRANDS ÉLUS” élus !

Exerçant à Saint-Georges de Reneins, 69 830, le Docteur Jean-Louis BELLATON sait de quoi il parle: après cinquante ans de médecine de campagne, ce praticien n’est pas surpris par les ravages de coronavirus, et ne peut retenir sa colère lorsque l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et d’autres chercheurs refusent de prendre en compte certaines tentatives censées freiner la propagation du coronavirus ou soigner les malades victimes du Covid-19.

Source: Facebook.

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7 Comments

  1. Parait qu’administrée aux crédules, l’Hydroxychloroquine produit, en moyenne, des réactions délirantes dans un cas sur deux.
    Et élevés sur Astérix et Obélix, nous sommes tous crédules. C’est dans nos gênes.

    Prière donc de se rendre compte qu’il y a un vaste monde au-delà du village gaulois assiégé où un druide chevelu, moustachu et barbu en blouse blanche fait des miracles avec une potion magique.
    Et ce vaste monde, oh shame on us, à défaut de parler latin, parle Anglais.

    Voilà ce qu’en dit le TRES prestigieux « Nature » (prononcez Neyytchère, what else) : https://www.nature.com/…/s41586-020-2286-9_reference.pdf … In English of course.

    Cette lecture scientifique n’est certes pas à la portée du profane que je suis ; mais heureusement « Les Echos » a lu :
    « L’article publié dans ‘’Nature’’ apporte…une explication aux lourds effets secondaires cardiaques observés au cours de certaines études portant sur l’hydroxychloroquine et INTERROMPUES pour cette raison. L’hydroxychloroquine se lierait en effet à une protéine appelée hERG, essentielle à la régulation de l’activité électrique du cœur ».

    « Nature » n’est pas le seul.
    Concernant le miracle homme/médicament providentiels dont nous sommes friands en temps pareils ; la fédération française des diabétiques dit ceci, sur son site https://www.federationdesdiabetiques.org/…/traitement… :
    « Il n’existe à ce jour aucun traitement préventif ni curatif d’efficacité démontrée contre l’infection à COVID-19. ….. ».

    Concernant un médicament antipaludéen (sans doute l’hydroxychloroquine) cette fédération dit :
    « Les données sont actuellement totalement insuffisantes pour être probantes de fait dans l’état actuel des connaissances…Actuellement, hors de l’hôpital, ce médicament n’est recommandé ni en curatif ni en préventif car il peut être responsable d’effets indésirables sévères rares mais gravissimes (hypoglycémie, troubles du rythme cardiaque) et qu’il a de très nombreuses interactions médicamenteuses.
    Son rapport bénéfice-risque défavorable à ce jour doit en INTERDIRE l’utilisation en particulier en automédication ou en auto-prescription d’un médecin pour lui-même ».

    Sachant que deux études récentes corroborent tout ça : rien ne permet de supposer que la chloroquine est plus efficace que l’eau gazeuse ; mais cette dernière n’a pas d’effets secondaires.

    Et j’ajoute : La nature inédite du Covid19 réside surtout dans notre réaction.

    Dans les épidémies précédentes on fabriquait des cercueils et on attendait que ça se passe ; l’immunité collective par infection généralisée finissait par faire descendre la « vague » (courbe de Gauss, diraient les matheux) caractéristique de ce genre de phénomène naturel.

    Là, ayant « évolué » ( ???… ), sous la pression de « l’opinion publique » relayée par les « réseaux sociaux » et craignant l’effondrement systémique, hospitalier et général, on cherche à « aplatir » la courbe moyennant, surtout, confinement.
    MAIS le faisant on entrave l’immunité…
    MAIS si Dame Nature veut que la surface sous la courbe soit une constante, on ne fera qu’en générer plusieurs, de « vagues ». Cela ne s’arrêtera pas tant que l’immunité collective n’est pas atteinte…

    Mais la vérité n’est pas bonne à dire. Le premier politicien qui le dira sera lynché.
    Aux bons entendeurs salut.

  2. Encore un médecin de campagne dont la formation médicale continue s’est arrêtée il y a 20 ans ou plus !!! Comment peut il se mettre à jour sans utiliser les fameux de mon temps , j’ai l’intuition sur deux cas dont le mien que la chloroquine marche, et tout ceci en étant maire , conseiller général , voir , si je peux dire ce nom plus de 50 malades par jour !!!! 5 malades à l’heure soit une moyenne après avoir ouvert la porte et la refermer de 6 minutes par patient…. quelle bonne médecine de bon-papa ,se terminant par tout va bien….

  3. Docteur Bellaton, bonjour,
    Je viens de lire votre témoignage dans Alternatives Santé.
    J’en ai bu du petit lait “d’entendre” un médecin qui tient les mêmes propos que moi quant au scandale de l’interdiction de la choroquine et l’opinion qu’il s’agit quasiment là d’un crime contre l’humanité qui mériterait d’être jugé.
    Nous, qui savons si bien pratiquer des sondages, pourquoi n’y en a-t-il pas au sujet de cette pandémie sur les médecins qui ont pratiqué ou non la chloroquine
    et les résultats qu’ils en ont obtenu?
    Alors que des responsables politiques l’ont interdite arbitrairement…
    dis-je pour être sympa.

    Je vous remercie infiniment de votre témoignage, en espérant qu’il sera entendu le plus de gens possible de la base, pour qu’ils réalisent le scandale et que bouge enfin les choses. Enfin.
    Je vous plains beaucoup, médecins, d’avoir été ainsi bridés et privés de soins réussis à vos patients.

    Jacotte d’Ardèche

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