Les attaques internationales se multiplient contre Israël.

Des motions contre Israël votées au Parlement italien.

 J’ai relevé chez nos coreligionnaires italiens d’Informazione Corretta, sous la plume de Fiamma Nirenstein, que le parlement italien, sur les traces de la Suède, de l’Angleterre et de la France, aurait été investi de demandes de reconnaissance de l’état palestinien.

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Je la traduis : « Il doit y avoir une erreur, ce ne peut être qu’un déluge d’ignorance et de malice qui s’est déversé sur le parlement italien. »
Il n’y a pas erreur quand on apprend d’où viennent les motions revendicatives.
De députés du Gruppo Misto, un groupe parlementaire non-inscrit, mais dûment représenté et enregistré au Parlement, du Parti Démocrate, auxquels s’ajoutent ll Movimento 5 Stelle du démagogue et populiste Beppe Grillo et les écologistes pour défendre une solution négociée que notre consoeur dénonce comme une imposture.
Fiamma Nirenstein déclare justement que les autorités palestiniennes ont toujours refusé une solution négociée car se perpétue leur volonté et leur rêve de jeter les israéliens à la mer, alors qu’un Etat palestinien ne peut naître que d’une reconnaissance mutuelle des deux parties avec la garantie de leur sécurité réciproque.
J’ajouterai qu’il n’y a rien à attendre d’un rapprochement fluctuant Fatah-Hamas, tant que ce dernier n’aura pas renoncé au terrorisme, et le premier au double jeu ?
Quelle contribution à la paix pouvons-nous donc espérer d’un tel tandem ?
Pendant que l’hypocrite Mahmoud Abbas, alias Abou Mazen, envoie ses condoléances aux victimes israéliennes du terrorisme de ses chers frères du Hamas de la bande de Gaza, ceux-ci continuent de perpétrer leurs attaques et de promettre une entité palestinienne religieuse et agressive.

 L’Italienne Federica Mogherini

prend la tête de la diplomatie européenne.

La ministre des affaires étrangères italienne, Federica Mogherini, le 30 août. | AP/Luca Bruno
La ministre des affaires étrangères italienne, Federica Mogherini, le 30 août. | AP/Luca Bruno

Matteo Renzi a réussi à imposer Federica Mogherini, ministre des affaires étrangères italienne, au poste de chef de la diplomatie européenne le 30 août dernier.
Cette sociale-démocrate, qui succède à la non moins détestée (de nous) Catherine Ashton, est qualifiée de bonne candidate par le présidente français François Hollande.
Bonne candidate, en ce qui concerne Israël, nous pouvons en douter.
Si l’Italie s’aligne sur les Etats-Unis et ménage la Russie dont elle dépend énergétiquement, il n’en demeure pas moins qu’au regard d’Israël, sa position est celle de certains états européens.

Après la Suède,

la France et l’Angleterre envisagent

de reconnaître l’Etat de Palestine.

Le diplomate suédois Raoul Wallenberg, fait à titre posthume Juste parmi les nations par Yad Vashem et citoyen d’honneur d’Israël, pour avoir mis toute son énergie et sa compassion au service du sauvetage des juifs, ne s’en remettrait sans doute pas.
Mais c’est bien la Suède, membre de l’Union européenne, qui a ouvert le bal et reconnu en premier l’Etat de Palestine fin octobre.
La ministre suédoise des Affaires étrangères et sociale démocrate Margot Wallstrôm y voyait le droit des palestiniens à l’auto détermination sans rien mesurer, depuis la froideur de ses fjords, de la gravité de cette décision.

Margot Elisabeth Wallstrôm,
Margot Elisabeth Wallstrôm,

Le Royaume-Uni et la France s’apprêteraient à lui emboîter le pas, ce qui porterait à dix le nombre des pays du G20 à reconnaître officiellement l’Etat de Palestine.
L’Assemblée nationale française votera le 28 novembre prochain sur la proposition socialiste invitant le gouvernement à reconnaître l’Etat palestinien, quelques jours avant que le Sénat n’examine une résolution communiste à ce sujet.
Pour défendre Israël, nous ne pourrons pas compter sur l’aide de notre ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, qui déclarait dès mi-octobre que « La seule question, c’est : quelles que soient les modalités et comment être le plus efficace possible ? Ce que nous voulons, c’est être utiles à la paix. Jusqu’à présent notre idée était que la reconnaissance devait être liée à la négociation. A partir du moment où la négociation serait impossible ou n’aurait pas de conclusion, il faudrait évidemment que la France prenne ses responsabilités. »
Pour lui, la reconnaissance de l’Etat palestinien par la France, sera utile aux efforts pour sortir de l’impasse et contribuer à un règlement définitif du conflit», a-t-il expliqué.
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Ira-t-il en Israël pour en convaincre les familles qui vivent chaque jour les attaques terroristes et déplorent la mort de leurs proches ?
Car après les roquettes et les missiles sur Israël, les bulldozers de chantier qui broient les passagers israéliens dans les voitures, ce sont maintenant des véhicules bélier qui fauchent des soldats israéliens et des habitants de Jérusalem qui attendent le tram, dont un bébé.
Pascale Davidovicz
 
 
 
 
 
 

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