
Par Jean-Marc Lévy, vice-Président d’Israël is Forever Alsace
Commencée durant la crise du COVID, la fin de règne d’Emmanuel Macron n’en finit plus de s’achever, épuisant les ressources d’un pays exsangue mis en coupe réglée par une caste qui a fait main basse sur la démocratie, qui se maintient au pouvoir par un jeu de bonneteau électoral en faisant fi du résultat du vote des électeurs et au prix de la violation de la séparation des pouvoirs et de la Constitution.
En huit ans, Emmanuel Macron a en effet fait de la France un monde orwellien, dévoyant la Vè République dont les institutions sont prises en otage par ses affidés pour établir un régime quasi-totalitaire et liberticide centré sur sa personne et servi par une oligarchie et une nomenklatura qui veulent conserver leurs prébendes.
Un régime basé sur une réduction des libertés individuelles, sur une falsification historique permanente et sur la volonté de contrôler l’information ; un régime qui pervertit, salit ou détruit tout ce qu’il touche, où l’atteinte à l’intégrité physique n’est plus taboue et où la pulsion de mort prédomine.
Un régime qui rackette les Français et qui détourne le fruit de leur travail pour éliminer des associations qui déplaisent à l’Etat macronien, pour financer des associations ou des ONG séparatistes, pour financer des pays qui n’en ont pas besoin ou qui détestent la France, ou pour financer des agences d’Etat dont l’expertise ultime est de les rééduquer.
Un régime qui ouvre toutes les boites de Pandore possibles dans l’aveuglement le plus complet pour briser tous les tabous de notre société et détruire le socle de notre civilisation.
Un régime de gauche qui a abandonné ses valeurs traditionnelles : travail, peuple, nation, éducation, laïcité et qui aime tellement les pauvres qu’il ne cesse de les multiplier ; la réalité d’un système macronien qui désintègre l’état régalien et qui aime tellement l’insécurité, les narcotrafiquants et les antisémites qu’il les laisse prospérer ; la réalité d’un système politique à bout de souffle qui ne peut survivre que par l’interdiction et la censure.
Huit ans après son arrivée au pouvoir, le macronisme apparait pour ce qu’il est : la synthèse entre un pétainisme et un zeste de communisme chinois (pour le contrôle social). Un pétainisme sans Maurras, mais avec Ricœur !
En effet, dès la fin des années 1990, Emmanuel Macron devient l’assistant puis l’intime du philosophe Paul Ricœur qui lui conseille de faire de la politique, estimant que lui-même n’avait pas été à la hauteur des événements de mai 1968. « C’est Ricœur qui m’a poussé à faire de la politique, parce que lui-même n’en avait pas fait » affirme Emmanuel Macron qui se présente à l’élection présidentielle de 2017 comme un « président-philosophe » revendiquant un compagnonnage intellectuel et une filiation philosophique.
Or, cette filiation pose problème : Paul Ricœur, qui a beaucoup travaillé sur les notions d’Histoire, de Vérité, de Mémoire, d’Oubli, concède qu’il a été « séduit » par le maréchal Pétain jusqu‘en 1941, sans qu’on ne sache exactement le mois où prend fin cette séduction, ce qui lui permet de gagner un an.
Or, c’est toute une série de lois antijuives qui commence dès le 16 août 1940 (interdiction d’exercice de la médecine) et qui se prolongera durant toute l’année 1941 (le statut des Juifs de France date du 3 octobre 1940) et on ne sait pas à quel moment, Ricœur jette « l’éponge pétainiste ».
Toujours est-il qu’il n’a pas été rebuté par l’abolition de la République, ni par la Collaboration avec l’Allemagne nazie – « le langage de Hitler est d’une belle dureté, j’allais écrire d’une belle pureté », écrit Ricœur en 1939 – ni par cette Révolution nationale qui se révèle rapidement xénophobe et antisémite. Or, Ricœur ment !
Il est en effet avéré [1] qu’il était encore pétainiste en 1943 ayant participé activement à un « cercle Pétain », créé en décembre 1941 et actif jusqu’en 1943 [1] et qu’il était aligné, au moins jusqu’en 1944, sur les thèses pétainistes développées par Jean Guitton dans Fondements de la Communauté française, un texte préfacé par Pétain, faisant office de petit livre brun du fascisme français. Jusqu’à sa mort en 2005, Ricœur s’emploiera à escamoter son pétainisme d’après 1941. En juin 2000, au cours d’une conférence donnée à la Sorbonne, Ricœur présente ses propositions sur la question juive et avoue son trouble face « à l’inquiétant spectacle que donne le trop de mémoire ici, le trop d’oubli ailleurs » en indiquant que la société française ne saurait être « indéfiniment en colère avec elle-même », précisant finalement le fond de sa pensée dans La Mémoire, l’Histoire, l’Oubli (Seuil, 2003) : « Il ne faudrait pas qu’une nouvelle intimidation venue de l’immensité de l’événement [la Shoah] et de son cortège de plaintes vienne paralyser la réflexion sur l’opération historiographique » [1]. De la part d’un homme qui fut pétainiste de 1939 à 1944, qui a menti sur son passé en escamotant son pétainisme d’après 1941 durant le reste de sa vie, qui s’est présenté comme le philosophe de l’Histoire, de la Vérité, de la Mémoire, et de l’Oubli, vouloir escamoter la Shoah dans un négationnisme et un révisionnisme philosophiques constituait finalement l’acte ultime d’un faussaire. Un faussaire qui fut le mentor philosophique d’Emmanuel Macron à qui il a transmis son rapport particulier à l’Histoire, à la Mémoire et à la Vérité, une leçon de « philosophie » bien apprise que son disciple a déclinée en révisionnisme, en négationnisme et en antisémitisme d’Etat, plaçant la France en passe de devenir un protectorat du Qatar du côté de l’Iran, du Hezbollah et du Hamas.
Or, depuis cinquante ans, en dépit de la réalité et de l’Histoire – en 1921, la puissance mandataire britannique avait déjà amputé de 77% le territoire promis aux Juifs sur l’Israël biblique par la déclaration Balfour (1917) et la Conférence de San Remo pour calmer les ambitions de conquête de la Syrie par la dynastie hachémite originaire du Hedjaz en créant un protectorat britannique en Transjordanie avant que celui-ci ne devienne en 1923 l’émirat de Transjordanie, c’est-à-dire une Palestine arabe – la politique étrangère de la France concernant le conflit israélo-arabe a toujours consisté à soutenir la « solution à deux états », faisant droit aux revendications territoriales d’organisations terroristes arabes dont l’idéologie empruntait tout à la fois au nazisme, au communisme et à l’Islam.
Nés sur les fonts baptismaux du nazisme, créés ex nihilo par le mufti nazi Amin Al Husseini, élaborés à partir de la propagande fabriquée par le KGB et du narratif arabe révisionniste, le peuple « palestinien » et la cause « palestinienne » sont les plus grandes arnaques historiques de tous les temps, arnaques dont l’Occident et spécialement la Gauche ont toujours fait la promotion, en fermant les yeux sur le recours au terrorisme et sur l’adhésion à l’idéologie nazie (incarnée par le mufti nazi Amin Al Husseini) consubstantielle aux « Palestiniens ».
Le narratif arabe et ce peuple « palestinien » factice sont les éléments d’un grand bluff, assumé et reconnu d’ailleurs par les dirigeants « palestiniens » ; Zuheir Mohsein, dirigeant de l’OLP formé idéologiquement au sein du parti Baas déclarait en 1977 : « le peuple palestinien n’existe pas ! L’Etat palestinien n’est qu’un moyen de continuer la lutte contre l’Etat d’Israël pour l’unité arabe. Il n’y a en réalité aucune différence entre Jordaniens, Palestiniens, Syriens et Libanais ».
L’Europe démocratique et pacifiste – et la France comme élément-moteur – dévoilent depuis longtemps leurs penchants criminels à travers leur soutien obstiné à une solution à deux Etats, avec création d’un état palestinien sans aucune contrepartie sur la renonciation au terrorisme, et à travers un soutien financier dispendieux, sans contrôle sur l’utilisation des fonds versés qui servent pourtant à promouvoir le financement du terrorisme et une idéologie nazie d’éducation à la haine présente systématiquement dans les manuels scolaires.
Tout se passe en réalité comme si l’Europe démocratique prétendant conjurer son passé par le « plus jamais çà » incantatoire et prise (encore ?) en tenaille entre le totem moral d’Auschwitz et sa commisération pour le terrorisme « palestinien » qu’elle finance sans modération et sans contrôle – étant concrètement second contributeur financier du terrorisme palestinien – déléguait finalement aux terroristes islamistes « palestiniens » – le Hamas, le Fatah, le Hezbollah et le Jihad islamique ayant des différences de degré mais non de nature – la tâche de terminer le sale boulot que l’Europe nazie avait commencé avant elle.
La reconnaissance à tout prix d’un état « palestinien » virtuel par Emmanuel Macron, président fantoche n’ayant plus qu’un semblant d’existence sur la scène internationale et obsédé par son palestinisme, est un marché de dupes et une prime au terrorisme. Une façon néocoloniale pour un pays repentant et wokisé par ses élites d’imposer à Israël, après le boycott, après le chantage, après la menace de poursuites pénales internationales ou après la coercition, une solution politique de force où il est patent que la « partie palestinienne » n’a pas comme objectif de vivre côte-à-côte avec Israël mais en se substituant à lui par le djihad – que n’a-t-on voulu entendre les dirigeants « palestiniens » qui ont toujours tenu le discours du djihad en arabe !
Depuis le 7 octobre 2023, on sait très exactement ce que réserverait vraiment la « solution à deux Etats » présentée comme le remède de tous les maux du Proche-Orient, alors que depuis 2005, les kibboutzim du Sud d’Israël expérimentaient à l’échelle réduite une coexistence côte à côte avec la bande de Gaza, dans des frontières qui, finalement, n’étaient ni sûres ni reconnues, avec parfois une foi inébranlable en la paix, que n’avaient pu abattre ni la haine atavique anti-juive du voisin « palestinien », ni les ballons incendiaires ni même les missiles des attaques terroristes du Hamas de 2014, 2018 et 2021 (près de 15000 missiles au total). Dès lors, la « solution à deux Etats » prônée par un très grand nombre d’Etats comme celle plus radicale à « un Etat » : From the River to the Sea, vociférée sur tous les campus par des gauchistes acculturés, idéologisés et en voie d’islamisation, sont très exactement une continuation de la solution finale nazie par d’autres moyens !
Depuis le XIXè siècle, le socialisme a toujours été la courroie de transmission de l’antisémitisme et on peut mesurer aujourd’hui tout ce que l’antisémitisme doit à la Gauche depuis le début des années 2000, à la Gauche médiatique en particulier, et à Emmanuel Macron depuis 2017 : en macronie, si on prétend combattre l’antisémitisme en croissance incessante et jamais interrompue, il y a aussi un statut implicite des Juifs, puisque les auteurs d’actes antisémites sont rarement poursuivis et encore plus rarement condamnés, l’affaire Sarah Halimi étant emblématique de la politique d’Etat d’Emmanuel Macron menée avec la complicité d’une justice rouge qui en a fait une maladie psychiatrique. Un discours mensonger accepté et avalisé avec reconnaissance par des « responsables » du judaïsme français, apostats ou Bné Kloum dhimmis en Galout.
On savait déjà que le pacifisme intégral structurait la Gauche depuis plus de trente ans. Le pacifisme – c’est-à-dire la doctrine que tout vaut mieux que la guerre – a toujours nourri tous les totalitarismes. Un pacifisme qui, il y a quatre-vingts dix ans, a fait le lit du nazisme et de la Collaboration ; un pacifisme aujourd’hui qui a choisi la paix de l’Islam – soumission se traduit en arabe par Islam – c’est-à-dire le sabre ou le Coran, la paix des morts ou des convertis de force !
On sait également depuis toujours que les trois mamelles du socialisme sont l’incompétence, la malhonnêteté et l’hypocrisie.
S’y ajoutent désormais les quatre mamelles du macronisme : lâcheté, trahison, soumission et collaboration. La collaboration avec le totalitarisme et le terrorisme aujourd’hui comme la collaboration avec le nazisme au siècle dernier.
Une collaboration et une soumission consentie au wokisme, au terrorisme, à l’islam et à l’islamisme où marches blanches, fleurs, bougies et ours en peluche sont devenus la seule réponse de la lâcheté occidentale à la barbarie et au terrorisme. De surcroît, une fois leurs yeux dessillés, les pacifistes sont en définitive les plus grands va-t’en-guerre, une guerre qu’ils ne font jamais puisqu’ils envoient toujours les autres se battre pour eux. Depuis quatre-vingt ans, la Gauche s’est employée à escamoter son comportement, son antisémitisme et son alliance objective avec le nazisme pendant les débuts de la Collaboration et du pacte germano-soviétique. Depuis le 7 octobre 2023, elle ne peut plus les cacher !
Le 22 septembre 2025, à la tribune des Nations Unies, le soir de Roch Hachana 5786, Emmanuel Macron, président fantoche néo-pétainiste reconnaîtra un état virtuel terroriste et islamo-nazi. Il n’y a pas lieu de s’en étonner : tout est parfaitement raccord ! Peut-être qu’en même temps, pour faire bonne mesure, il aura l’indécence de souhaiter une bonne année aux Juifs de France. Le respect dû aux lecteurs m’empêche de préciser ce qu’il peut faire de ses vœux ! Je ne veux ni de son miel ni de fiel ! Dans sa mégalomanie jupitérienne, Emmanuel Macron comme tous les pacifistes croient pouvoir jouer avec la bête immonde, voire la calmer ou la rassasier : ils n’ont jamais fait qu’aiguiser son appétit !
© Jean-Marc Lévy pour Israël Is Forever Alsace

Jean-Marc Lévy analyse exactement ce qu’est Macron depuis 1990, son amitié et son affiliation avec Paul Ricoeur, antisémite notoire . une véritable collaboration islamo gauchiste que ce président en fin de vie mandataire impose à la France, en la ruinant, en la privant de libertés de paroles, en lui imposant une civilisation étrangère qui déteste la France et son mode de vie et cela en laissant l’immigration massive-qui remplit en partie nos prisons- entrer dans notre pays.Et si les français ne se révoltent pas, ce président fantoche, qui veut reconnaître un état qui n’existera pas est encore là pour deux ans