

« Boualem Sansal est laissé aux oubliettes par l’État Français » (Vincent Hervouët)
Boualem Sansal « est tout à fait contre » l’initiative du groupe Patriotes pour l’Europe au Parlement européen, qui souhaite proposer son nom pour le prix Sakharov 2025 pour la liberté de l’esprit. C’est son éditeur Antoine Gallimard qui l’a affirmé dimanche 14 septembre sur France Inter. Boualem Sansal « s’oppose vigoureusement à ce que ce groupe d’extrême droite puisse le soutenir », « je le sais par sa femme », a-t-il déclaré.
Eh bien Non. Nombreux Nous sommes infiniment choqués que quelqu’un, fût-ce son éditeur, « Et surtout son éditeur », pût ainsi relayer la parole improbable de notre ami embastillé, notre ami que nul ne peut visiter, si ce n’est, à dose homéopathique, son épouse.
Son Comité de Soutien ne s’y est pas trompé, qui recadre Gallimard et l’accuse d’ »instrumentalisation politique »: « Vous desservez la cause de Boualem Sansal ».
Merci Vincent Hervouët de remettre l’église au centre du village.
Pour Rappel: C’est le groupe d’eurodéputés Patriotes pour l’Europe, présidé par Jordan Bardella, qui a proposé le nom de l’écrivain pour le prix annuel européen.

Les Patriotes ne sont pas d’extrême-droite, du moins pour la plupart. L’extrême-droite islamonazie se trouve dans les rangs d’en face et Boualem Sansal le sait bien. Cela sent l’intox.
incroyable
cette nouvelle me laisse sans voix
que son éditeur qui ne lui a même pas
parlé puisse prendre cette initiative
merci mr hervouet
Gallimard sous petain pas très brillant .
Un collabo.qui a sauvé sa peau en 44-45 par ses relations.
On se souvient que le Gallimard de l’époque(Gaston si je ne me trompe) avait abandonné Irène Nemirovski qui lui demandait de l’aide car il était son éditeur ,Irène qui a fini à Auschwitz.
Ces Gallimard surfent sur la vague politique dominante du moment , petain en 40-44 et aujourd’hui le macronisme et la gauche.rappelons que l’éditeur de Filnkielkraut est aussi Gallimard , et que Finkielkraut a sacrément intérêt à faire profil bas sur Israël si il ne veut pas être traité comme Boualem Sansal. Lamentable.
« Nous sommes infiniment choqués que quelqu’un, fût-ce son éditeur, « Et surtout son éditeur », pût ainsi relayer la parole improbable de notre ami embastillé, notre ami que nul ne peut visiter, si ce n’est, à dose homéopathique, son épouse. »
Le moins qu’on puisse dire en effet, c’est que les conditions ne sont pas réunies pour que l’on croie sur parole à ce refus. Tout, absolument tout, porte à en douter.