La détermination et le courage d’un peuple trop calomnié, mal aimé. Par Jacques Neuburger

Après cela on parlera d’autre chose, musique ou peinture, ou plage…

Des sujets souriants.

On ne va pas parler de compagnies d’aviation hispaniques. Ni de ministre des AE françaises, ni du locataire revanchard et narcissique, impulsif et pas très efficace de l’Elysée.

Pour en revenir à cette photo elle dit quelque chose sur la ténacité et le courage d’un peuple trop calomnié, mal aimé.

Cette photographie me rappelle un cousin à moi qui en 73 avait laissé ses deux jambes dans son tank dans le Sinaï. Non sans avoir auparavant mis hors d’état de combat plusieurs blindés adverses. Depuis il vit à Eilat avec sa famille, a bénéficié de prothèses aussi perfectionnées que possible, a travaillé bien sûr et dès qu’il le peut navigue en mer, sa passion. Ceci aussi dit la détermination et le courage.

© Jacques Neuburger

Suivez-nous et partagez

RSS
Twitter
Visit Us
Follow Me

7 Comments

  1. L humanité de notre peuple aveugle les occidentaux , laches , egoistes et confits dans leurs mensonges , ils courent vers leur perte et leur mepris de l apport juif les guide vers le precipice .

    • entièrement d accord merveilleuse photo quel courage pour ce glorieux soldat son adorable épouse MAZEL TOV que votre bonheur soit béni et Merde à Macron et tous les anti ISRAEL et anti sionistes anti juifs en France et dans le monde que vive ISRAEL une belle leçon de Résilience Am ISRAEL Haï 🇮🇱🇮🇱🇮🇱💙🤍❤️

  2. « Tu raconteras à tes enfants la traversée du désert et la délivrance ; tu raconteras à tes enfants… Moïse tendu vers Canaan ; tu raconteras… le temple réfléchissant le soleil, et le yom kippour et le sort de l’homme pesé dans la balance du bien et du mal ; tu raconteras Esther et la délivrance de la domination perse… Tu raconteras… Tu raconteras… Le serment. Ne pas oublier, ne jamais oublier, porter au-delà des corps, la cité des cités ; génération après génération le même rêve à réinventer : traversée et au bout, oui, un jour, au bout de l’exode, un jour malgré les ruines et les décombres, un jour malgré la famine et le deuil, un jour avec la force des chemins parcourus, un jour, l’arrivée au port : la terre, la terre annoncée, la terre retrouvée. Et l’exil. L’exil et la détresse d’être l’homme de l’infortune au nez moqué ; l’homme aux pieds de sable chassé, pourchassé, chargé entre nations et religions, de tous les péchés du monde; l’homme-peuple sans terre, sans État, vilipendé, assailli, calomnié, diffamé, harcelé, insulté et jalousé jusque dans son malheur… Exils. Exodes. Marchée… l’Europe, marchées les nuits trouées d’angoisses… Tant de chemins et partout la persécution comme destin et un matin : ordonnances organisant le boycott des commerces juifs ; un matin, obligation pour les Juifs de mentionner sur leurs papiers le prénom d’Israël pour les hommes et de Sarah pour les femmes ; un matin, le port de l’étoile jaune obligatoire ; et les camps, et les convois, et les trains, les wagons, les charrettes, les trains, les trains de mort, et les visages creusés, creusés par la famine, et les corps nus clopinant, et les chambres à gaz, les fours crématoires, les flammes, la fumée, les colonnes de fumée… Nuages et cendres… Le meurtre organisé, l’extermination froidement administrée ; la Shoah. Oui cela est advenu. Ne jamais oublier.
    Et avoir vu Dachau, « Dachau le travail c’est la liberté », avoir vu Buchenwald, « Buchenwald, Centre de recherche sur le typhus » ; avoir vu et entendu, entendu sur les routes de la mort, le silence et le ricanement du monde, et pourtant vivre ; ne jamais dire : « Ici s’achève ma route ! C’est fini ; c’est terminé ! ». Espérer comme un défi à la mort. Ni Titus, ni Ammon, ni les buchers de l’inquisition, ni les nazis… qu’importe la fureur en face… Survivre… Vivre… Vivre avec furie, respirer, aimer, donner le jour ; répondre à la mort par la vie.
    Mai 1948 : voici l’azur du soleil levant, voici Israël ocre et orangé ; voici Néguev, voici le fleuve Jourdain. Puisque Dieu s’est retiré du monde, puisque le droit sans la force n’est qu’une plaisanterie, voici Israël : un État, une armée, un drapeau. Trompettes du jugement dernier ? Voici Israël revenu et voici Israël aussitôt combattu. Combattu à mort : 1948, guerre des six jours, guerre du Kippour, terreur… Morts. Et la haine galopant au delà des orangers ; et Israël désigné, livré à la vindicte globale. Et on condamne, on distille le poison : Israël ? Puissance coloniale. Le sionisme ? Un racisme. Et Durban, oui, Durban, là où les Juifs furent les premiers aux côtés des Noirs à monter au front contre l’apartheid; à Durban, l’accusation qui fuse : Israël-apartheid. Comment ? Et on s’en donne à coeur joie, on tambourine : Israël-apartheid… Apartheid, apartheid, on martèle le mot comme on creuse un trou dans la poussière.
    Israël – apartheid, analogie farfelue, loufoque, méprisant pour les victimes noires de l’apartheid. Et quoi donc ? Les victimes du régime d’apartheid ? Mais on s’en moque ! On s’en moque éperdument : il s’agit de distiller le poison, de trouer la vérité, de renverser le sens des choses. Israël apartheid ; Israël- boycott ; « À mort Israël ! ». On veut Israël couché-cadavre. Au nom de l’antisionisme. L’antisionisme, cet autre nom de l’antisémitisme. La langue nerveuse et oblique, la haine voltigeant dans le regard, que dit, que fait en réalité l’antisioniste ? Il déplace la haine anti-juive : « Non, je ne déteste pas les Juifs, je m’insurge seulement contre Israël ; proclame-t-il. Regardez ! Regardez les images. Ils sont quand même condamnables ! » Compassion pour les Palestiniens ? Solution des deux États ? Que non ! Un seul et unique État : qu’Israël soit jeté dans l’abîme et que les Juifs redeviennent un peuple sans État, un peuple sans terre, un peuple flottant voué à toutes les immolations : tel est en vérité le dessein de l’antisioniste. Et Israël dans l’abîme ; cela est déjà advenu ; ne pas oublier que cela Ne pas oublier ». « Israël, Israël Que dit, que fait en réalité l’antisioniste ? » David Gakunzi
    22 août 2015 Que L’Eternel bénisse Israël

  3. Salut,

    J’espère que vous allez bien.

    Je m’appelle Rachid, je possède actuellement « Peuple.info », un domaine premium parfaitement adapté à votre entreprise. Il peut booster votre présence en ligne ou rediriger vers votre site actuel si vous préférez ne pas le modifier. J’ai contacté plusieurs entreprises susceptibles d’être intéressées, et vous êtes le premier contacté.

    N’hésitez pas à me contacter si vous êtes intéressé. (Le domaine est disponible sur GoDaddy).

    Une opportunité à ne pas manquer!

    Cordialement,
    Rachid Lemsiah

Poster un Commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*