
Concernant Israël, certaines personnalités, auréolées d’une judéité talismanique, se permettent des jugements moraux sans rapport avec les réalités existentielles et militaires du terrain. Pire, elles font de cette arrogance morale le fondement d’une proposition politique qui contribue à construire l’opinion, et plus particulièrement à renforcer l’antisionisme de principe du camp islamo-gauchiste. C’est ainsi que derrière une proclamation humaniste relevant de la niaiserie larmoyante, on lit des accusations qu’ont déjà reprises en cœur les adversaires d’Israël. Tel est le cas d’un texte pervers publié dans « Tenoua », « Gaza/Israël : Aimer (vraiment) son prochain, ne plus se taire », où Delphine Horvilleur se livre à une exhibition de moralité qui est un pur exercice rhétorique.
Source: Causeur
En fait elle a compris que le vent tourne, elle a peur, elle a raison d’avoir peur,le vent tourne…
Ah ! démonstration brillante, mais tellement stérile ; inféodé, encadenassé et aveuglé par son idéologie sioniste il réécrit le narratif historique d’une appropriation injuste et mortifère qui dure depuis des décennies, et pour finalement justifier les massacres indifférenciés et inutiles, les destructions à grande échelle, la famine, où tout gazaouis serait un terroriste en puissance. Faut croire qu’il est en perdition de son humanité et pire, sûrement affecté profondément dans son cœur, son âme et son esprit par une infirmité ontologique chronique et irréversible.