Maxime Seligman. I speak up for Israël

I speak up for israel

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Combien de temps allons-nous attendre ? Combien de convois allons-nous encore envoyer ?

Gaza se veut autonome, mais vit à nos crochets. Ils prennent notre nourriture, notre essence, notre gaz, notre électricité… et maintenant nos habitants.

Nous avons brisé le cessez-le-feu comme ils ont brisé chaque accord.

Parmi les plus de 250 otages enlevés, et ceux qui sont revenus, aucun n’a témoigné d’un soutien de “résistants” ou de civils cherchant à les sauver, ou même à leur rendre la captivité plus douce. Des viols, des strangulations, des sévices et la famine, voilà ce que les otages ont vécus et vivent encore. Et pire encore.

Nous comptons les vivants et ils comptent leurs morts. Les chiffres de l’autre côté sont gonflés, comme ils l’ont toujours été. Pourquoi en serait-il autrement aujourd’hui ?

Le 7 octobre n’a pas été une simple attaque, elle a été suivie et même précédée par une série d’attentats terroristes. À la bombe, la voiture-bélier, au couteau, contre des civils désarmés en pleine ville. Pas contre des centres d’armement terroristes comme c’est le cas aujourd’hui.

Alors si tu ressens une quelconque culpabilité, pose-toi la seule vraie question :

Pourquoi tes frères et sœurs choisissent-ils de commettre des crimes contre l’humanité plutôt que de vivre en paix et de prospérer ?

Si, depuis ton appartement parisien et derrière tes lunettes Gucci, tu te demandes pourquoi le monde va mal, c’est peut-être parce que trop de gens détournent le regard au lieu d’exiger la vérité.

Par ce message, je ne cautionne aucune vie retirée ni attaque quelconque, je demande la paix bi-latérale et la fermeture des frontières.

Rendez-nous nos otages et laissez-nous vivre en paix.

© Maxime Seligman