Ça devient carrément lugubre chez les propagandistes du torchon antijuif Le Temps .
En grande difficulté financière, malgré leurs soutiens dont l’identité n’est pas connue d’un lectorat en baisse significative, la qualité diminue de jour en jour.
Dans leur vulgarité, ces idéologues qui sont la honte de la profession font dans le discours argotique, en oubliant de mentionner l’identité des otages dont les corps seront rendus à Israël : ces personnes ont un nom, qu’on n’est pas près d’oublier (contrairement à celui de leurs misérables plumes et leurs calomnies):
Shiri, Ariel et Kfir Hy »d.
Voici ce que ces ordures ont oublié de préciser :
Lors du pogrom de leurs alliés, le 7.10.2023, Shiri avait 32 ans.
Avec Yarden, elle avait deux fils aux cheveux roux : Ariel, 4 ans, et Kfir, qui n’avait que 9 mois.
Les images de Shiri, terrorisée, tenant ses rouquins dans ses bras, entourée de militants du Hamas (dans le Temps, on préfère parler de « civils innocents »), ont fait le tour du monde.
Ce matin-là, après des échanges angoissés avec sa sœur par texto, Yarden quitte la pièce sécurisée pour tenter de les sauver. Il est capturé séparément. Les parents de Shiri, José Luis et Margit Silberman, sont assassinés par les « Gazaouis innocents ».
Le 1er février 2025, Yarden est échangé contre des « otages palestiniens » (dixit le Temps). Le 18 février, le Hamas annonce détenir les corps de Shiri et des enfants.
Le peuple d’Israël sait de quoi sont capables ses ennemis. Il les vaincra !
© Joel Hanhart
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