
Il y a 4 ans, pour l’investiture du président américain Joe Biden, c’est une jeune poétesse afro-américaine de 22 ans, Amanda Gorman, qui était montée à la tribune, pour dire, avec émotion, son texte :
« Quand le jour arrive, nous nous demandons où trouver la lumière dans cette ombre sans fin ?
La peine que nous portons, une mer où nous devons patauger.
Nous avons bravé le ventre de la bête.
Nous avons appris que la tranquillité n’est pas toujours la paix, et que les normes et notions de ce qui est juste ne sont pas toujours justice. »
Frêle, en tailleur jaune canari, elle m’avait ému.
C’était porteur de paix et de justice.
Ce qui a suivi, la guerre en Ukraine, le massacre du 7 octobre.
Évidemment, Amanda Gorman n’y est pour rien.
Mais, je me souviens que la traduction de ses œuvres avait fait polémique.
En Europe, Amanda Gorman, par le biais de son agent avait signifié aux éditeurs étrangers de lui proposer pour la traduction quelqu’un qui lui ressemble (femme, jeune, noire).
Aucun traducteur homme et blanc n’était admis.
En France, Fayard avait publié l’œuvre d’Amanda Gorman, « La Colline que nous gravissons et autres poèmes », dans la version d’une rappeuse et mannequin belgo-congolaise, Marie-Pierre Kakoma.
Peu importe si ces traductions pouvaient être médiocres.
Priorité à l’assignation identitaire.
Tel était le choix d’Amanda Gorman.
André Markowicz, traducteur de Dostoïevski, l’avait déploré, et avait rappelé que la traduction est justement « et avant tout, partage et empathie, accueil de l’autre », et « reconnaissance ».
Nous connaissons aujourd’hui les conséquences qu’a provoqué dans les universités américaines et européennes, cette idéologie « woke » avec en particulier, le déchaînement d’un féroce antisémitisme.
…
C’est sûr, hier, l’investiture de Donald Trump avait moins de gueule que celui de Biden.
Moins poétique, moins humaniste.
Plus botoxé et peroxydé.
Seul l’élégant chapeau de Melania Trump m’a séduit.
Mais si dans les 4 ans à venir, les guerres s’arrêtent et que la poésie reste universelle, je suis prêt à applaudir.
Daniel Sarfati
Trump a abordé hier le probleme de la recompense au merite pour tous quelque soit la race ou la couleur .
Il a vu juste car cette ideologie fumeuse et destructrice de la » segregation positive » a jouė de mauvais tours aux personnes meritantes .
Dans ce domaine la France etait en avance , et elle s est enfonçée sous la pression woke dans une ideologie inepte .
Le fait que les mots « philosophie », « littérature » et « poésie » aient été complètement vidés de leur sens coïncide avec la déchéance intellectuelle et morale du monde occidental (et pas seulement occidental). Les polémiques racistes au sujet de la traduction en sont la parfaite illustration : le parti national-démocrate est l’un des plus racistes, identitaires et obscurantistes.
au monde. Il illustre également l’alliance entre Ukronazis à l’ancienne et Islamonazis modernes, du moins en Amérique du Nord et en Europe de l’ouest. Au moins, Trump ne pousse pas la démagogie et l’infâmie au point d’instrumentaliser la poésie : même l’électorat le plus inculte des Républicains est moins débile que celui des « démocrates », des macronistes et des Européistes.
La poésie étant par essence intemporelle et universelle, ce qu’éctivent ces « poètes » ou « poétesses » wokistes, identitaires et racistes ne peut même pas être considéré comme de la mauvaise poésie…puisque ce n’est pas de la poésie : c’est même la négation absolue de toute forme de poésie.
Trump est en train de mettre fin à l’ère Bisounours de l’Occident. Il parle en adulte à des citoyens adultes. Les progressistes habitués aux discours sirupeux mensongers vont devoir grandir et sortir de leur jardin d’enfants.
Le verbe et le glaive(en cas de crimes et de conflits) sont plus efficaces que ces ridicules bougies ours en peluche et fleurs tout de suite fânées.
J’ai été d’abord enthousiasmée par le discours d’investiture de Mr Trump, cette énergie cette volonté farouche pour réparer l’Amérique mises à mal par Biden, Obama,et puis ce que défend le président c’est SON pays, ses intérêts mais en ce qui concerne le reste du monde et surtout Israel, on allait voir ce qu’on allait voir si jamais les otages n’étaient pas libérés dès son investiture ;mais l’accord n’est pas bon; les otages sont libérés par 3 puis 4, des centaines de terroristes vont sortir de prison Hamas va reprendre des forces, et pendant ce temps la vie des otages est en très grand danger 42 jours, c’est trop long. Non cet accord n’est pas bon.
On ne comprend rien à ce que sont les États-Unis modernes si l’on n’a pas conscience du degré inouï de racisme anti-blancs et anti-Juifs (voire anti-asiztique et antilatino à un degré moindre) existant chez une large partie des Afro-américains. Et bien sûr des Blancs wokistes. Même chose qu’en Grande-Bretagne et qu’en France. L’Amérique raciste vote aujourd’hui à 90% démocrate. Dites vous bien qu’il y autant de rapport entre la réalité des États-Unis et ce que vous montrent les médias + Hollywood qu’entre la réalité de l’univers et les sites platistes (théorie de la terre plate) ou conspirationnistes.
Indépendamment des questions économiques, c’est le problème numéro 1 de la société américaine, son talon d’Achille.