Sarah Friedland, cinéaste américaine, arbore sa judéité comme étendard pour justifier son ignominie comme les plus grands traîtres français arboraient leur patriotisme pour justifier leur collaborationnisme avec les nazis.
Madame Friedland dans son infinie délicatesse n’a pas attendu longtemps, après l’exécution d’une balle dans la nuque de 6 des otages du Hamas, pour reprendre l’histoire et la sémantique mensongère du groupe terroriste : génocide, apartheid etc…
Va t-il falloir se résoudre à voir le monde du cinéma et des arts en général s’aligner sur les positions des islamistes comme gage de qualité de leurs œuvres et de leur génie ?
Goebbels est-il vraiment mort ?
A-t-on enfin découvert et récompensé à Venise la nouvelle Léni Riefensfal, la cinéaste d’Hitler, ou le nouveau Veit Harlan, réalisateur du “Juif Süss” ?
Celle-ci est juive et américaine, manifestement pas sensible au pogrom du 7 octobre 2023, au sort des otages et au péril existentiel d’Israël et des juifs du monde entier.
Opportunisme ? Conviction ?
Forfaiture dans tous les cas.
Que Dieu bénisse l’Amérique.
Ignoble
© BNVCA
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