Caton. Insurrections françaises

La France mère des arts des armes et des lois, la France de la République une et indivisible, laïque et sociale, chavire sous les coups de populations et de leurs progénitures émigrées de confession musulmane, sans réagir ou très peu et sans vision à long terme.

Les immigrés n’ont pas été intégrés et ont conservé leurs mœurs, leurs coutumes et essentiellement la loi musulmane-la Charia. Supposés fuir les oppressions politiques et religieuses des pays soumis à un islam rigoureux, ils s’emploient avec une constance surprenante à reproduire en France les schémas religieux et culturels qui les opprimaient.

Ils osent même l’imposer aux autochtones qui les reçoivent. Ils fuient dit-on chez les bienpensants, la misère qui sévit dans leurs contrées. 

Justement, ils devraient doublement apprécier la liberté et la satiété découvertes dans leurs pays d’adoption. Au contraire, ils d’ingénient à déliter et à démembrer le pays d’accueil, suçant sa substance et en maudissant les autochtones frappés d’une étrange atonie ou sidérés par la violence qui s’abat sur eux.

La France se décompose sous leurs coups par la multiplication des Mosquées, des burqas, des écoles coraniques autorisées et clandestines, la séparation des sexes de plus en plus pratiquée, d’exhibition des drapeaux algériens, marocains ou tunisiens en lieu et place du drapeau français piétiné ou brulé. 

Elle vacille aussi, par le dévoiement d’une pensée totalitaire qui la culpabilise pour son passé colonial et pour les faiblesses de ses gouvernants qui ont tenté sans succès, des politiques d’apaisement complaisance et même de compromission à l’égard de délinquants de plus en plus audacieux et issus pour leur grande majorité, de communautés irrédentistes.

Les lois ne sont plus respectées et les décisions de justices sont méprisées. Quand la loi de la République est méprisée, le despotisme y supplée pour le malheur de tous.

L’année 1962 ne marque pas la fin de la guerre d’Algérie comme on peut le croire, elle marque le début de la conquête de la France par l’islam militant encouragé par une immigration massive incontrôlée. C’est ainsi que de nombreux quartiers ex communistes de la ceinture rouge de Paris et de grandes métropoles française ont vu s’avancer des revendications de plus en plus éhontées de la part de ces conquérants soutenus par l’indifférence et le silence souvent complice des masses musulmanes nouvellement installées et prolifiques.

Les Algériens notamment, nouvellement indépendants et se croyant victorieux, annonçaient que la France serait à son tour, colonisée, non par le fracas des armes mais par  

« le ventre des femmes musulmanes ». Ce programme a été mis en œuvre très tôt, tant l’immigration de travail s’est progressivement transformée en immigration de masse et aggravée ensuite, par la politique aberrante de gouvernants confits dans l’opulence que leur accordent les ors et les fastes de la République.

De la politique d’asile au « regroupement familial », des « Sans papiers »  illégaux de plus en plus nombreux et de plus en plus tolérés à la politique de soumission aux pays du Maghreb et de l’Afrique sub-saharienne.

Les gouvernements après le départ du Général De Gaulle, ont favorisé cette immigration massive ou ont fermé les yeux sur ce phénomène qui devait irrémédiablement conduire à l’éclatement de la société française en deux camps ennemis : 

-L’un revendique de plus en plus de privilèges contraires aux principes constitutionnels de liberté (Voir le sort des femmes dans les cités) et d’égalité (Voir la laïcité bafouée dans les lieux publics.

-L’autre, encore majoritaire, ne veut rien voir, reste sourde aux cris de haine émanant des cités se blottit dans une veule permissivité et s’émeut soudain lorsque des barbares de 16 ans hurlent, cassent, brulent, pillent leur pays.

Les médias, nouveaux maitres à penser de l’Occident, dictent leurs ordres au peuple de France ses injonctions de se repentir des errements anciens, d’adopter les formes humiliantes d’un humanitarisme dévoyé et univoque.

Tout se conjugue pour ouvrir le voie royale aux extrémistes islamiques alliés de fortune, aux supposés défenseurs des droits humains.

Les dernières émeutes furent à leur début, vues avec un angélisme désarmant: Les bandes armées de mortiers et de barres de fer, vengeaient la mort indigne d’un jeune délinquant, tué par un policier. N’aurait-il pas été normal de s’en remettre aux services du Parquet et aux tribunaux pour que Justice soit rendue et les sanctions prononcées dans la paix civile ?

Ne respectant pas la mort brutale du jeune homme, ils en ont fait un prétexte pour se répandre en hordes criminelles dans les villes, pour se heurter aux forces de l’ordre et pour se livrer à des pillages ignobles en bandes organisées.

La France officielle, au lieu d’agir, a réagi, comme à l’accoutumée. 

Qui peut augurer de l’avenir qui s’annonce sous un jour menaçant pour le pays tout entier ?

© Caton

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