Caroline Glick. Le sens de la dernière initiative de l’administration Biden contre Israël

Dans le « Caroline Glick Show » de cette semaine, l’auteur Lee Smith rejoint Caroline Glick pour parler de la dernière initiative de l’administration Biden contre Israël et de ce que cela signifie.
Lundi, la chaîne israélienne Channel 14 a rapporté que le FBI avait informé le ministère israélien de la Justice et les Forces de défense israéliennes qu’il avait ouvert une enquête criminelle officielle sur la mort par balle de la journaliste d’Al Jazeera Shireen Abu Akleh à Jénine en mai.

Caroline Glick et Lee Smith discutent de la façon dont l’administration a contraint le gouvernement sortant à accepter la responsabilité de sa mort dans un échange de tirs entre les terroristes du Jihad islamique palestinien et les forces de Tsahal au printemps dernier.

Maintenant, deux mois plus tard, l’administration a lâché le FBI sur les soldats israéliens.

Selon Smith, la décision contre Israël est conforme à la politique intérieure de l’administration. L’auteur place les efforts de l’administration pour réaligner l’Amérique vers l’Iran et loin d’Israël et de l’Arabie saoudite dans le contexte de son traitement de ses ennemis politiques. Il explique le continuum cognitif de l’administration entre ses ennemis politiques et sa politique étrangère : les gouvernements alliés qui ne partagent pas la vision du monde progressiste sont regroupés avec les ennemis politiques de Biden.

L’antisémitisme aux États-Unis

Dans son introduction, Caroline Glick discute de la généralisation effrayante de l’antisémitisme aux États-Unis à la lumière du monologue d’ouverture insidieux du comédien antisémite Dave Chapelle dans “Saturday Night Live” de la semaine dernière. De plus, elle décortique les invectives antisémites qu’elle a absorbées dimanche soir après avoir publié une photo d’elle avec le président Donald Trump sur son fil Twitter. “L’antisémitisme en Amérique est courant, légitime et en croissance rapide, et les Juifs doivent commencer à le combattre comme si leur vie en dépendait”, prévient-elle.

https://www.jns.org/the-fbi-has-been-weaponized-against-israel/?utm_source=The+Daily+Syndicate&utm_campaign=

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3 Comments

  1. Primo le terme “progressisme” relève de la newspeak comme celui d'”antiracisme”. Pourquoi ne pas nommer les choses par leur nom ? “Progressisme” = Néo Fascisme
    “Antiracisme” = Racisme inversé + antisionisme = Racisme tout court + Antisémitisme

    Bien sûr que le parti fasciste qui dirige la capitale du 4eme Reich est furieusement antisémite. Mais pas que : cela fait partie d’un tout plus vaste, comme déjà signalé par moi ou d’autres. Il me semble d’ailleurs que Goldnadel, Pina, Rojzman, Finkielkraut et Pina l’ont globalement compris.

    Israël devrait comprendre que son alliance historique avec les USA va vers sa fin. Une victoire de Trump ne changerait absolument pas la donne car comme avec l’Europe de l’ouest et exactement pour les mêmes raisons le processus de rupture est irréversible. Avant de Gaulle la France était le meilleur allié d’Israël…voyez où nous en sommes aujourd’hui. Ce sera la même chose avec les USA.

    • Avec Biden la situation a empiré, non seulement pour les américains qui voient la dégringolade de leur économie mais pour l’Europe et Israel qui ont perdu l’allié que représentait l’Amérique qui laisse monter le faschisme . Je pense que Trump n’aurait pas cette politique en ce qui concerne Israel ;en ce qui concerne la France ,il avait montré son mépris envers la macronie Un nouveau président français et la disparition politique de Biden serait une bonne chose.

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