Sylvie Bensaid a vu “Simone, le Voyage du siècle”

J’ai assisté à l’avant-première de “Simone le Voyage du siècle” organisée par la wizo.  Ce film est incroyable. Il est très fidèle à la vie de Simone Veil, merveilleusement interprétée par Elsa Zilberstein et Rebecca Marder.

“Simone – Le voyage du siècle”, film d’Olivier Dahan, est consacré au destin de Simone Veil, son enfance, ses combats politiques, ses tragédies. C’est le portrait épique et intime d’une femme au parcours hors du commun qui a bousculé son époque en défendant un message humaniste toujours d’une brûlante actualité”.

Pour Olivier Dahan , “faire le portrait cinématographique d’une personne est une façon d’aborder l’Histoire du pays, ou d’une époque, de développer des thématiques sociales et psychologiques, de réécrire une histoire avec un angle de vue spécifique et personnel. C’est en fait l’inverse d’un biopic. Les producteurs du film l’ont compris et m’ont fait confiance dans ce processus particulier. Simone, Le Voyage du Siècle est avant tout, un film sur la transmission. Les 15 dernières minutes du film sont la somme de ce que je voulais dire avec ce film et la vraie raison pour laquelle j’ai essayé de le faire“.

Ce fut une très belle soirée suivie d’un échange autour d’un cocktail 
Merci la wizo 
Date de sortie : 12 octobre 2022 

Sylvie Bensaid

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1 Comment

  1. Je ne vais plus au cinéma mais je ferai encore une exception (après le biopic d’Elvis) pour “Simone, le voyage du siècle”. J’ai la plus grande et la plus vive admiration pour Simone Veil, une grande dame, belle, bonne et intelligente, une femme politique d’envergure comme hélas on n’a plus en rayons aujourd’hui. Elle s’est battue pour mettre fin à une terrible et mortelle injustice, les morts en série de jeunes femmes, parfois déjà mères de famille, piégées par une grossesse qu’elles n’avaient pas souhaitée, qu’elles ne pouvaient pas assumer et trop démunies pour que son interruption soit faite dans de bonnes conditions d’hygiène.Elles en mouraient ou perdaient la santé.
    J’avais également lu son autobiographie – rien à voir avec la prose insipide d’une Ernaux – là on sent l’écriture d’ un être humain avec des sentiments, pas un robot .
    A propos du titre de ce livre (Une vie), elle avait indiqué, en préface :
    “Maupassant, Maupassant que j’aime, ne m’en voudra pas d’avoir emprunté le titre d’un de ses plus jolis romans pour décrire un parcours qui ne doit rien à la fiction”.
    J’ai été agréablement surprise d’apprendre que, comme moi, cette femme que j’admire aimait Maupassant !

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