Charles Baccouche. Im Nin’alu, par Ofra Haza

Ofra Haza

Notre ami et Contributeur Charles Baccouche nous envoie deux versions différentes d’une même chanson yéménite écrite au 17ème par le rabbin Chalom ben Yossef Shabazi et interprétée par la chanteuse israélienne Ofra Haza.

Ofra Haza (עפרה חזה, IPA [ʕafˈraː hazˈzaː]), née le 19 novembre 1957 à Tel Aviv et morte le 23 février 2000 à Ramat Gan, était une actrice et chanteuse israélienne.

Dernière d’une fratrie de neuf enfants, Ofra est issue d’un milieu très modeste originaire du Yémen, sa famille ayant émigré en Israël dans le contexte de la crise au Proche-Orient.

Son talent de chanteuse pop est repéré par le manager Bezalel Aloni qui devient son mentor et les journalistes de la musique la décrivent rétrospectivement comme la Madonna israélienne.

Désignée représentante d’Israël lors du concours Eurovision de l’année 1983, elle remporte la deuxième place avec son titre intitulé Chai, adapté en français sous le titre Va, va, va.

Dès 1985, par le biais d’arrangements pop, de la musique traditionnelle et des chants religieux sur l’album Yemenite Songs, Ofra connaît une consécration internationale symbolisée par le succès du  titre Im Nin’alu.

, à Ramat Gan, Ofra Haza meurt à l’âge de 42 ans d’une pneumonie liée à des complications immunitaires par contraction du SIDA8. Bien qu’elle soit séropositive, le grand quotidien national israélien Haaretz décide d’étouffer l’affaire sur les causes exactes de son décès pour éviter la controverse9 en Israël10.

Sa mort le 23 février 2000 suscite un drame national : les stations de radio israéliennes organisent des rétrospectives sans fin autour de sa musique1 et le Premier ministre Ehud Barak évoque son parcours, le qualifiant de success story à l’israélienne.

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