Gérard Brazon. Adeline Hazan veut que Nicole Belloubet libère 7000 prisonniers de plus !!!

Adeline Hazan

Comme le dit Marion Maréchal dans Valeurs Actuelles, ce gouvernement se place à la gauche du Parti socialiste. Les LREM ont la couleur d’une droite pâlichonne, le goût des aristocrates, mais ils ont la vision des moules !

Nicole Belloubet, la moule judiciaire, a fait libérer 8 000 détenus dont 130 condamnés pour radicalité islamiste. La moule judiciaire considère sans doute qu’il vaut mieux des assassinats au couteau que des assassins malades du Covid-19.

Elle annonce fièrement que « le nombre de détenus dans les prisons françaises a diminué de près de 8 000 personnes en un mois, et le taux de surpopulation s’établit désormais à 107 % contre 119 % début mars (…) ».

Que dira-t-elle aux familles des premiers poignardés ? Qu’elle ne savait pas… qu’elle pensait que… que les peines étaient quasi finies ? Le quasi étant l’excuse suprême de cette femme qui a fait partie du Conseil Constitutionnel ! La plus haute juridiction nationale. On peut imaginer vers quel gouffre la France est entraînée par ces « élites » inconséquentes, incapables, irresponsables et destructrices !

Comme ce n’est pas suffisant, il faut continuer à creuser toujours plus profond. Le contrôleur général des lieux de privation de libertés, madame Adeline Hazan, nommée en 2014, a appelé le gouvernement à aller plus loin en libérant 7 000 détenus supplémentaires en fin de peine. (Je n’aime pas la féminisation des noms d’emplois).

Qui est cette femme ? Madame Adeline Hazan, née le 21 janvier 1956 à Paris. Elle a 64 ans et c’est une femme politique française, membre du Parti socialiste. Magistrate, présidente du Syndicat de la magistrature de 1986 à 1989, celui-là même qui avait mis en place le « Mur des cons » !  Elle fut députée européenne, puis maire de Reims, présidente de Reims Métropole de 2008 à 2014 nous dit son Wikipédia.

Toute sa carrière au service du sabotage d’un système judiciaire. Islamo-collabo de la première heure, elle poursuit son travail de sape en retraite et recyclée.

Alors oui, nous diront ces femmes, cela ne concerne que les fins de peines ! Qu’il faut libérer de la place dans les prisons françaises surpeuplées, et c’est sans doute vrai.

Pourquoi, pour une population française qui augmente chaque jour, d’année en année, population immigrée comprise, celle qui pèse le plus souvent dans les tribunaux, on réduit de fait, par le jeu d’un ratio tout simple, les places de prisons ?

Pourquoi, au contraire, ne pourrions-nous pas augmenter nos capacités ?

Pourquoi ne pas construire des places supplémentaires à travers des solutions extra-métropolitaines, rétablir des établissements de type Cayenne sur nos îles d’outre-mer, en plus moderne bien sûr, plus aux normes, mais bien plus efficaces que nos prisons surchargées !

Pourquoi n’est-il pas possible de confier au privé la construction et la gestion des prisons où ne seraient mis, dans un premier temps, que les simples délits, les courtes peines, et confier aux prisons d’État les crimes les plus lourds ?

Il faudrait aussi en finir avec cette obligation de garder en France des condamnés étrangers en fin de peine.

Il faudrait qu’en cas de récidive, on puisse retirer la nationalité, et renvoyer ceux-ci dans leurs pays d’origines !

Il est certain que la plupart des concernés réfléchirait à deux fois avant de récidiver. Quant aux étrangers, bon débarras, tout en en prenant la précaution de bien les identifier (photos, empreintes, ADN, etc.) avant leur départ par le premier avion. Famille comprise si elle le désire !

Alors oui, on me dira que cela dépend d’un visa consulaire que beaucoup d’État refusent de donner, car ils ne veulent pas récupérer leurs mauvais sujets !

Il me semble que nous dépensons un pognon de dingue en aides diverses, en contrats variés, et en soutiens financiers et donc, que pour avoir toutes ces aides, il serait judicieux qu’elles soient examinées à l’aune de leurs compréhensions judiciaires !

Tout est possible, il suffit de le vouloir ! C’est la volonté politique qui manque. C’est le manque de courage, la lâcheté ambiante des politiciens de droite comme de gauche. C’est les compromissions, les intérêts personnels, la peur d’être taxé de raciste, du discours des mondialistes, des ONG dites humanistes, etc.

Il faut que la peur change de camp ! Cela passe par une volonté politique sans compromission, ayant d’abord et avant tout l’intérêt de la France et des Français.

Le reste n’est qu’agitations de tartuffes ! Madame Belloubet en est un, parmi beaucoup d’autres dans les administrations policières et judiciaires. Le Président et son équipe en sont d’autres.

Source: Le Blog de Thérèse. 13 avril 2020.

Therese Zrihen-Dvir est écrivain et essayiste.

Therese Zrihen-Dvir

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